A l’évidence, tu n’as jamais fait de mauvaises rencontres avec un patou complètement dérangé, qui te barre la route, bave, te casse les oreilles avec ses aboiements et affiche des crocs jaunes plein de bactéries…oui, avec ces bestiaux le taser s’impose.
Rien à voir avec les chiens d’aéroports qui font leur job, sans te viser personnellement.
Mais j’ai aussi croisé des patous placides. L’un deux, sorti de nulle part, m’a suivi pendant deux heures jusqu’au sommet. A chaque carrefour de pistes, il m’attendait, et semblait m’interroger sur la direction à suivre. Je lui ai proposé des bricoles à grignoter, il les a refusées, j’en étais presque vexé !