(R)évolution

Posté en tant qu’invité par Bubu:

strider a écrit:

Bubu a écrit:

Oh oh, attention : en trottinant en basket, on sollicite
beaucoup moins les genoux, car on amortit bien plus en
descendant sur la pointe des pieds.
Ce qui n’empêche pas qu’il est aussi possible de courrir en se
faisant mal aux genoux, bien courrir ça s’apprend.

curieux alors qu’un médecin me dise que le phénomène de
cartilage bousillé au genou concerne particulièrement les
traileurs alors que comme tu dis, ils sont sensés savoir « bien
courir »…

Ce n’est pas parce qu’avec des chaussures permettant de trottiner il est plus facile de limiter les chocs en descente, que tous ceux qui ont ces chaussures limitent les chocs !
Les trailers peuvent potentiellement plus facilement limiter les chocs en courant bien, mais ça ne veut pas dire qu’ils savent tous bien courrir ni qu’ils le font !
Et je suis bien le premier à ne pas savoir descendre en courant. Ce qui me contraint à faire du parapente-stop, mais ça ne marche pas, alors du chamois-stop, non plus, alors j’attends la neige. Mais je n’ai que la pluie, alors je me résouds à faire du vache-stop, mais vu que j’ai attendu la neige, il fait nuit et elles ne sont plus là. C’est la misère…

perso je ferai pas la parrach’ sèche en basket de trail, pas
plus qu’en nepal evo, je prend mes trango S et j’ai les
avantages des 2 sans en avoir les inconvénients

Pareil, c’est bien mieux en petites grosses pour négocier l’ébouli ou le névé à la descente : ça peut passer en basket, mais ça passe mieux et plus souvent en grosses ou assimilées.
Pour l’aspect cramponables des chaussures, vu que j’ai déjà mis des crampons automatiques sur des petites chaussures (genre salomon), ce n’est pas trop un argument pour moi :slight_smile: Mais bon dans du 40°, vaut mieux des vraies chaussures cramponnables !

Posté en tant qu’invité par tetof:

« Tu serais étonné des con …ies que l’homme est capable de faire. »
Tu as raison. Généralement si les conneries passent, l’homme est considéré comme un héros. Si les conneries ne passent pas et que l’homme casse, on le considère comme un imprudent.
Ton gars est passé, c’était donc un héros.
:-):slight_smile:

Posté en tant qu’invité par Marc Lassalle:

Pour confirmer ce que dit tetof, j’avais lu un article où il était écrit que le fait de marcher (ou courir), en particulier en descente, avec des chaussures basses ne tenant pas la cheville, développait la « proprioception » des pieds et augmentait la souplesse et la musculature des chevilles davantage que l’emploi de chaussures rigides hautes tenant la cheville.

L’abus de protection et de rigidité n’est donc peut-être pas la panacée en matière de prévention des entorses.

Pour ce qui est de la rando un peu sportive en montagne (en terrain sec sans névés, mais accidenté et caillouteux) j’ai depuis longtemps pris le parti d’utiliser des chaussures légères de trail et je ne suis pas prêt à reprendre des chaussures de rando plus lourdes et plus rigides… (on est tellement bien dans des chaussures basses et légères !!).

A+ Marc

Posté en tant qu’invité par tetof:

Pour l’aspect cramponables des chaussures, vu que j’ai déjà mis des crampons automatiques sur des petites chaussures (genre salomon), ce n’est pas trop un argument pour moi :slight_smile:

Des crampons à lanières peuvent se mettre sur des baskets de base. Il suffit de rajouter une sangle sous le crampon.:slight_smile:

Posté en tant qu’invité par strider:

tetof a écrit:

Je ne connais guère de grimpeurs de TA prennent des grosses
rigides pour les approches car 2 kg de pompes au beaudard ne
permettent pas de grimper « fort ». A Presles, tu voies
couramment des sandalettes de bases pour certaines approches.
C’est génial et impossible de trouver plus légers.

on ne parle pas des mêmes TA, moi je te parle de TA de haute montagne, ce n’est pas pareil pour ce que j’en ai fait il y a avait des approches de névés, terrain péri-glaciaire ou glaciaire
ex certains parlent des 9 cheminées ou du pilier sur de la dent de crolle comme du TA hé bien pour moi c’est pas du TA, c’est de la voie TRAD…évidemment là sur des TA de proximité je prend les baskets mais quand c’est montagne désolé je préfère un truc plus adaptable à tout type de terrain.
enfin quoi des trango à 1,2 kilo la paire, ou des roc et ice, c’est pas la mère (michelle) à boire (du génépi) ça se trimballe très bien en montagne, faut trouver un compromis c’est tout

Quand tu as pris l’habitude de « courir » en basket dans les
terrains pourris, il est difficile de remettre des enclumes au
pied. Marcher sans se bousiller de chevilles s’apprend. A force
d’évoluer dans des terrains pourris en baskets, il est probable
que ma cheville est plus costaud que celui qui compte sur ces
chaussures pour compenser sa maladresse.

jusqu’au jour ou…personne n’étant parfait

C’est une évidence qu’une chaussure montante/rigide protége
mieux que des baskets. Il est évident que j’utiliserais des
pompes rigides si j’avais les chevilles fragiles. Mais, avons
nous tous besoin de cette protection supplémentaire ? Pour ma
part, j’ai décidé que non : les inconvénients sont supérieurs
aux avantages. Light is good for you. En Alpi, j’ai des petites
grosses à 1350g. Je ne prendrais jamais des pompes de rando
plus lourdes pour aller faire de la marche qui est une activité
moins technique. Je ne suis pas un super héros et le matos
light permet de compenser mon niveau de forme. :slight_smile:

moi aussi tu me diras…

et si le PG fait des campagnes pour inciter les gens à aller en
grosse autant en rando qu’en alpi, c’est pas par hasard, tu les
prend peut être pour des imbéciles ou t’estimes-tu tellement
supérieur et invulnérable que tu te sens au-dessus de cela ?

Tu peux bien faire raconter ce que tu veux au PG. Les baskets
sur glacier, un crampon pour 2, 1 pioche pour 2, des pitons en
titanes, 1 seul brin d’ice line, un kway à la place du gore-tex
etc… sont des techniques couramment utilisés en montagne.
Alors oui, nous pouvons tous prendre des spantik, un gore-tex à
1kg, la ceinture, les brettelles et le parachute okazou mais il
faut arrêter de faire croire que cette norme doit s’imposer à
tous comme des paroles d’évangiles.

encore une fois, Christophe tu as tendance à voir un peu tout dans les cas extrèmes : j’ai l’impression que pour toi, c’est soit on suit la norme, si elle existe d’ailleurs, soit on est en dehors…ben il y a un milieu a trouver entre les deux. Perso c’est ce que je cherche : je garde des bases « scolaires » d’alpinisme, et j’applique des astuces perso…rien n’est parfait de toute façon et j’avoue me sentir parfois dans le bon filon, d’autres situations je ne sens pas très catholique :o) il n’y a pas de mal à être scolaire de temps en temps…

Que vient faire le mythe du super héros. Comment nous faisons
quand il n’y avait pas de portable et que nous ne pouvions pas
prévenir les secours au moindre bobo => tu te démerdais. Il n’y
a pas besoin de s’appeler Joe Simpson pour porter un collègue
ou bricoler une attele. Il suffit d’avoir besoin de le faire.
Quoi que tu en dises, nous allons vers une société d’assisté ou
le portable à remplacé le cerveau. Nous connaissons tous des
situations où le coup de téléphone n’a été qu’un outil de
confort.

tu extrapole complètement, tu vois encore une fois dans les 2 cas extrèmes opposés alors que c’est pas la majorité des cas :o)

comme je le dis : entre le mec obstiné qui veut rien savoir des secours -par honneur, vanité ou soit-disante responsabilité- qui aime en rajouter à ses blessures et continuer à se risquer encore plus même blessé et le type irresponsable qui appelle son portable à deux cents mètres de la vallée pour une broutille, il y a tout un monde!!

et voilà que tu me sors les cas extrèmes de Simpson :o) etc…bon il n’y a pas que deux situations possibles sur Terre en cas d’accident.
un gars fortement blessé est probablement plus irresponsable de continuer alors qu’il a les moyens d’appeler les secours et de limiter la casse, de ne pas mettre ses amis en danger plus longtemps alors qu’il est diminué, ou de se foutre en l’air s’il est tout seul, alors que ce type doit bien avoir de la famille quelque part, il y a des moments où il faut faire parler le bon sens, c’est pas plus difficile que ça.

et aussi ne pas toujours tout voir en extrème comme si le monde était noir ou blanc, voilà ce que je te suggère Christophe, fais-en ce que tu en veux :o) mais souvent c’est tellement facile de donner des leçons, jusqu’au jour où…
…mais chacun voit midi à sa porte c’est sur, je le comprend bien, ce pourquoi on ne peut pas être pas toujours d’accord :wink:

Posté en tant qu’invité par ratasol:

strider a écrit:

on doit parler aux mêmes médecins alors car j’ai plusieurs fois
entendu tout le contraire :wink:

Ben en fait les medecins pensent aux coureurs qui viennent consulter.
mais ils pourraient tout aussi bien parler des nombreux marathoniens
qui ne consultent pas et qui n’ont pas de problémes.
Cela dit c’est juste de dire que la cap est un sport plutôt traumatisant quand on debute
car il n’est pas facile de passer a travers tous les types de blessures qui guettent le coureur a pied.cela demande beaucoup de pratique, d’experience, d’ecoute de son corps, pour courir sans bobos.

Bien sûr il faut utiliser des chaussures de bonne qualité et
adaptées a sa morphologie et a sa foulée.il faut aussi
savoir
s’ammenager des periodes de recuperation.

perso j’ai fait les deux, j’ai essayé et j’ai toujours eu mal
au genou

as tu consulté un podologue pour une analyse de ta foulée.
80% des blessures en cap proviennent d’une chaussure mal adaptée a sa foulée.
il m’a fallu 10 ans de pratique pour pouvoir choisir une nouvelle paire de chaussure
qui ait tres peu de chance de générée une douleur ( genoux, tendon d’achille, hanche, tibia, cuisse…etc…)

rien à faire le vélo de route me convient nettement mieux, je
ne dis pas que c’est moins violent, surtout quand on habite
dans les Alpes mais on sait que se sont plus les muscles qui
prennent en vélo de route que les articulations, en sachant que
ça douille un peu les contractions notamment quand on fait des
cols.

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par greg:

Salut tout le monde, j’ai essayé de suivre à peu près toute la discussion assez passionée que vous menez et je voudrais juste donner mon petit avis de montagnard ou d’inconscient comme certains peuvent le penser.

En fait je me reconnais assez bien dan la personne décrite par Pierre(sauf peut être le short moulant facon jogger). J’ai déjà fait la parachée en basket et sans casque et y’a peu de temps la pointe de l’echelle par l’arrete nord dans les memes conditions.

Le casque est sans doute plus sujet a discution que les baskets qui sont a mon avis gage de legereté et de confort. pour ce qui est des entorses, on est capable de s’en faire dans des chaussure de ski alors certe le risque est plus elevé en basket, mais des chevilles averties le gereront très bien. Pour ce qui est du neve avant le col, comme il l’a été dit nous le descendons quasiment tous à la ramasse, alors une chute a la montée aurait le meme effet et nous rammenerait à la case départ.

Pour le casque, c’est effectivement un peu comme le port de la ceinture en voiture ou encore le port du casque en moto. Personnellement dans les configurations « light » je ne le prends. Il chauffe trop vite la tete et j’ai un peu cette sensation de manque de liberté.
Ces raisons sont sans doute assez mediocres, mais cette sensations de legereté induite par le faible equipement apporte (en tout cas à moi) une tel dimension à la course que l’on effectue que le risque est mis au 2eme plan.

Posté en tant qu’invité par strider:

ratasol a écrit:

as tu consulté un podologue pour une analyse de ta foulée.
80% des blessures en cap proviennent d’une chaussure mal
adaptée a sa foulée.
il m’a fallu 10 ans de pratique pour pouvoir choisir une
nouvelle paire de chaussure
qui ait tres peu de chance de générée une douleur ( genoux,
tendon d’achille, hanche, tibia, cuisse…etc…)

ben je crois que j’ai un souci de puissance inégale de reception selon la jambe en foulée au moment de l’impact sur le sol car en général j’ai mal aux hanches après…donc effectivement le podologue doit peut être dire la cause
en vélo avec les pédales auto et une bonne adéquation braquet/souffle/puissance musculaire, hé bien j’arrive plus facilement à trouver ce qu’il me faut.

Posté en tant qu’invité par pierre:

tetof a écrit:

Tu as raison. Généralement si les conneries passent, l’homme
est considéré comme un héros. Si les conneries ne passent pas
et que l’homme casse, on le considère comme un imprudent.
Ton gars est passé, c’était donc un héros.
:-):slight_smile:

Joliment dit.
Ce que je ne vous ai pas dit (il faut bien que je garde quelques souvenirs pour moi, quand même !), c’est que c’était un héros discourtois.
C’est pour cela que ça ne doit pas être greg …

C’est une autre affaire.

Posté en tant qu’invité par tetof:

mais souvent c’est tellement facile de donner des leçons, jusqu’au jour où…
Je ne donne pas de leçon. Je parle uniquement de ma petite expérience. J’ai déjà été hélitreuillé pour une explosion de rotules, mais je suis redescendu des Bans avec un doigt en bouillie (le téléphone ne passait pas), avec mes 67kg tout mouillé j’ai trimballé un collégue de 80kg depuis le bec de sormiou, idem pour Alexis qui était redescendu des Cornouses avec une cheville en vrac (un bout de bois avait permis de faire une canne et je le tenais du coté de la cheville en vrac). Il n’y avait pas de super-héros, uniquement des mecs sachant un peu de se débrouiller par soi même. Tu parlais bien d’une entorse de cheville et pas d’un truc grave ?

Ce we, j’ai encore assisté à un secours de confort. C’est tellement facile de se balancer dans une course sans avoir le niveau et d’appeler le joker parce que tu n’as pas envie de passer une mauvaise nuit. Je n’ai pas dit que c’était une généralité.

Posté en tant qu’invité par strider:

tetof a écrit:

mais souvent c’est tellement facile de donner des leçons,
jusqu’au jour où…
Je ne donne pas de leçon. Je parle uniquement de ma petite
expérience. J’ai déjà été hélitreuillé pour une explosion de
rotules, mais je suis redescendu des Bans avec un doigt en
bouillie (le téléphone ne passait pas), avec mes 67kg tout
mouillé j’ai trimballé un collégue de 80kg depuis le bec de
sormiou, idem pour Alexis qui était redescendu des Cornouses
avec une cheville en vrac (un bout de bois avait permis de
faire une canne et je le tenais du coté de la cheville en
vrac). Il n’y avait pas de super-héros, uniquement des mecs
sachant un peu de se débrouiller par soi même. Tu parlais bien
d’une entorse de cheville et pas d’un truc grave ?

idem pour nous quand on a descendu le gars qui avait le talon explosé dans la pente du col de la parrach’ suite à une assiette qu’a fait un rebond innattendu
on a pris les sacs pour le névés en dessous, il a fait le toboggan avec…arrivé en bas du col ben il y a plus de danger car la course était finie, plus d’exposition, donc évidemment à ce moment-là, on a jugé que c’était pas la peine d’appeler les secours puisque la retraite était courte et facile, ne mettant en danger la vie de personne…on l’ai aidé à marcher, puis un alpagiste qui s’apprêtait à descendre avec ses chiens, l’a redescendu avec son 4x4 une fois arrivé en bas du vallon au pied des pistes.

Ce we, j’ai encore assisté à un secours de confort. C’est
tellement facile de se balancer dans une course sans avoir le
niveau et d’appeler le joker parce que tu n’as pas envie de
passer une mauvaise nuit. Je n’ai pas dit que c’était une
généralité.

c’est vrai que il y a des pratiques dans ce sens et qu’il faut les dénoncer, bon ce n’était pas le sujet de base
pour moi un type est autant irresponsable de ne pas appeler les secours alors que c’est nettement plus raisonnable pour lui et pour les autres et qu’il le peut, qu’un type qui appelle les secours pour une bricolle alors son retour n’est pas exposé et n’engage pas la vie des autres…
nous sommes donc bien d’accords sur le fond, suffisait d’éclaircir la forme, Christophe :wink:

Posté en tant qu’invité par pierre:

greg a écrit:

Pour le casque, c’est effectivement un peu comme le port de la
ceinture en voiture ou encore le port du casque en moto.
Personnellement dans les configurations « light » je ne le
prends.

Tu en écris plus que tu ne crois, cher greg !

Les deux formes correctes eussent été :
" … dans les configurations « light » je ne le prends pas. ", ou bien
" … dans les configurations « light » je le prends. "

Tu n’as pas choisi entre les deux phrases …
Est-ce que tu ne te sens pas très clair, là dessus ??? Hummmmm ???

Posté en tant qu’invité par ratasol:

Marc Lassalle a écrit:

Pour ce qui est de la rando un peu sportive en montagne (en
terrain sec sans névés, mais accidenté et caillouteux) j’ai
depuis longtemps pris le parti d’utiliser des chaussures
légères de trail et je ne suis pas prêt à reprendre des
chaussures de rando plus lourdes et plus rigides… (on est
tellement bien dans des chaussures basses et légères !!).

A+ Marc

Pareil, mais faut quand même ajouter une petite precision.
Il faut pas etre trop lourd quand même pour utiliser des trails
et d’autre part c’est quand même onereux, parce que ces chaussures elles sont pas données et elles s’usent tres vite.

Posté en tant qu’invité par greg:

haaaa tu m’as demasqué.

en fait ma 1ere ecriture fut « je ne le prends que lorsque que la course l’oblige »
sous-entendant que la paraché ne l’oblige pas.
Cette pensée etant bien evidement absurde car meme si il existe des courses plus ou moins sujettes au parpinage, le casque permet dans une certaine mesure de nous en preserver.
Donc après une petite reflexion (oui on peux penser qu’elles sont rares pour moi),
je me suis rendu compte que c’est moins, la course elle meme, que l’etat d’esprit dans lequel je me trouve, qui me fait choisir mon materiel.

Je voulais donc bien dire « je ne le prends pas ».

Posté en tant qu’invité par pierre:

greg a écrit:

Je voulais donc bien dire « je ne le prends pas ».

Tu voulais, mais tu n’as pas pu le faire.
CQFD.

On est quand même de drôle de bêtes, vous ne trouvez pas ?

Posté en tant qu’invité par greg:

Je suis plus surpris par la dureté des propos de certains, que par les differences de style de la pratique de la montagne.
Effectivement nous sommes bien des betes.

Posté en tant qu’invité par AlbanK:

l’Urbain a écrit:

L’expérience m’a appris qu’on ne se cogne dans les surplombs
QUE quand on a un casque sur la tête.
Voilà pourquoi je n’en prends plus.

-L’expérience m’a appris qu’on est considéré comme malade

QUE quand on avale des médicaments.
Voilà pourquoi je n’en prends plus.

[%sig%]