Je vais peut-être me répéter, mais ce n’est pas à l’avantage d’une fédé d’avoir des formateurs problématiques :
- mauvaise image de la fédé
- probablement moins de personnes formées (puisque moins de dates disponibles si on enlève les stages qui ne nous plaisent pas)
- et au final, probablement perte d’adhérents et d’encadrants.
Sauf si les fédés font tout pour encourager l’encadrement pro (mais il ne me semble pas que ce soit le cas, au CAF en tout cas).
Je pense que le problème principal aujourd’hui, c’est que des formateurs on n’en trouve pas à tour de bras (et pourtant, le niveau demandé n’est pas forcément très haut si on est déjà initiateur, au CAF du moins). La plupart du temps, ce sont également des personnes impliquées au sein de la fédé, soit au niveau régional, soit au niveau départemental (mais pas forcément). Donc pour les déloger, ce n’est pas forcément facile, on est d’accord. Mais ça ne veut pas dire qu’il ne faut pas signaler les problèmes.
Et puis, le meilleur moyen d’avoir son mot à dire au niveau départemental ou régional, c’est encore de faire partie de ces institutions.
@bens : une fois que le stage est validé, il y a vraiment peu de chance que la fédé reviennent sur la validation. Il n’y a donc aucune raison pour que les participants d’un stage ne témoignent pas (après la validation) s’ils estiment que le comportement du formateur n’est pas adéquat. Après si le formateur n’est pas capable d’entendre des critiques et que cela amène à par exemple une censure des stages pour les autres adhérents de ton club, c’est d’autant plus grave, et le siège devrait en être informer a minima (il y a abus de pouvoir).
@J2LH : normalement, on devrait pouvoir éviter ce terme, on fonctionne avec les UF. Nota : ça pourrait s’apparenter à l’initiateur rando alpine non?