Question pour ffme sur les topos

Posté en tant qu’invité par grimpissimo:

Pourquoi la grande institution qu’est la FFME ne rassemblerait elle pas tout les topos existant et en accord avec les editeurs ,pour les mettre en achat en ligne sous forme PDF ?
cela reglerait le probleme des photocopies…
un topo à télécharger en ligne payant…
qu’en pensez vous mr troussier?
avis des grimpeurs?

Posté en tant qu’invité par Nukem:

grimpissimo a écrit:

avis des grimpeurs?

Pis on pourrait demander au magazine Grimper de leur refiler la base de donnée qu’ils ont dû commencer quand ils voulaient vendre des topos en ligne pour gagner du temps …

/* Je sait pas pourquoi, je sens que ça va partir en live cette histoire … */

Posté en tant qu’invité par legros:

les topos livres sont biens… mais tu fais un topo tu fais un topo… tu raconte pas la vie des petites fleurs et tu te concentre sur l escalade

Posté en tant qu’invité par M Troussier:

La politique fédérale en matière de gestion, d’entretien, de maintenance des falaises et de signatures de conventions est déléguée aux CD FFME.
Il appartient à chaque CD FFME de mener sa politique en la matière en fonction de ses compétences , de ses ressources humaines (bénévoles, CT, salariés) et financières.
La publication de topos est historiquement diverses et la FFME ne peut en toute logique que s’intéresser aux falaises dont elle a la gestion via la signature d’une convention ou quand elle a agit par le biais de la commission équipement en mettant des fonds et du matériel à la disposition des équipeurs.
Ces bases posées, on comprend que chaque CD à sa « politique » éditoriale en matière de topos, comme en matière d’équipement.
Comme ce n’est pas écrit dans divers « post » ici et là, le bénévolat fédérale est rarement pris en compte et rémunéré (normal c’est du bénévolat)., y compris dans la production de topos et l’équipement.
Faire un topo (de qualité) s’apparente de plus en plus à un travail de profesionnel (ce que font très bien certains CDFFME, mais pas tous) .
Les buts à atteindre en matière de publication sont divers. La question est posée et certaines Fédération ont apporté une réponse très professionnelle avec l’embauche de nombreux salarié (plus de 10 à la FF randonnée!!!)
On comprend l’ampleur du dossier. De plus il faut constamment réaliser des mises à jour, à l’échelle du territoire c’est énorme.
Voici donc une partie de la réponse.
L’autre partie c’est l’unification des procédures de production, l’uinification des droits d’auteurs et de reversement, et une charte graphique à proposer aux auteurs de topos FFME, on y travaille (l’idée fait son chemin car la protection des auteurs de topos ne se fait que sous conditions, et aller en justice coûte du temps et de l’argent) et ce sera un thème central de notre colloque fédéral cet automne. Equipement de falaise, gestion des ressources, matériel, équipement et production de topos…

Posté en tant qu’invité par fada:

L’inconvenient des topos en .pdf c’est qu’ils se retrouvent aussitôt à telecharger gratuitement sur le web !
1 qui paye 1000 qui ne l’achetent pas …

Posté en tant qu’invité par erwan:

pourquoi se compliquer ?
d’après moi, il y a 2 cas:

  • le topo est en vente, et dans ce cas, on l’achète, et c’est bien normal.
  • le topo est épuisé, et aucun éditeur ne le reprend. Dans ce cas, on peut se permettre de photocopier, voir de publier gratuitement sur le net.
    Qu’en pensez-vous ?

Posté en tant qu’invité par M Troussier:

Il faut savoir que le copy right, qui permet des poursuites judiciaires, s’applique à un ouvrage existant.
Le piratage de topos en cours d’existence ou en rupture de production permet toujours de poursuivre le plagiaire avec des chances diverses.
Mais la question mérite d’être poser. Que faire quand un topo est épuisé ?
La réponse peut être la suivante, cession des droits d’auteur ou réédition. Dans ce cas l’auteur devrait faire une remise à jour. S’il ne la fait pas un autre auteur peut se saisir du problème et faire un nouveau topo (cf le topos wingo jobly qui circule en ce moment, il reproduit des topos existants, il plagie des topos épuisés et non renouvellés, et il topographie des falaises sans topos).
Si on veut que l’argent aille dans la bonne poche (celui de l’équipeur, du gestionnaire, mais pas du plagiaire qui vampirise le travail des autres) il faut continuer de faire des topos.
A charge pour les grimpeurs de les acheter.

Posté en tant qu’invité par J2LH:

M Troussier a écrit:

Mais la question mérite d’être poser. Que faire quand un topo
est épuisé ?

Se reposer.

Posté en tant qu’invité par erwan:

le problème, c’est quand le topo est épuisé, que personne ne le refais, et que bien des grimpeurs, les nouveaux locaux et les autres, le voudraient bien pour pouvoir grimper…
Dans ce cas là, n’est-ce pas normal de faire circuler des photocopies et de publier des topos en ligne ? Je le fais personnellement, et j’assumerai toute conséquence