Posté en tant qu’invité par Francois:
nicolas a écrit:
Francois,
On t’a reconnu
Je m’en doute bien, mais je ne cherchais pas à me cacher!
Non, ce n’est pas aux chaussettes rouges (quoique d’apres
certaines, ca jure abominablement avec le polaire rose et ca
se repere de loin).
Non, ce n’est pas aux youkaidi entonnes par les GM des camps
de reeducation par la montagne dont et ceraines vallees
pyreennes resonnent encore,
c’est cette maîtrise de l’indicatif passé antérieur:
« un faux pas eût été fatal ».
Excuse-moi de te contredire, mais il s’agit là d’un imparfait du subjonctif. Quant à cette phrase, elle n’est pas de moi. Elle est tout bonnement tirée des vieilles descriptions d’itinéraires (Whymper etc.)
Voila, tout est dit, c’est le style qui fait l’homme.
Il y a derriere cette phrase toute la serennite du vieux sage
qui commente, amusé, les vaines preoccupations des petits
jeunes.
Pas tout à fait. Il se trouve que les vaines préoccupations des petits jeunes, comme tu dis, sont aussi les miennes. Et je trouve très intéressant de réfléchir sur notre activité et de faire un peu « d’épistémologie alpine ».
Pour un peu, cela se rapproche du style Livanos,
"« La paroi etait verticale, et se redressait encore », mais en
plus souple et un rien modeste.
Tu ne vas plus pouvoir m’encadrer mais je vais encore rectifier. Le texte exact est « La paroi, déjà verticale, se redressait encore ».
allez, Francois, regale nous d’une histoire forte de cette
ere revolue,
Ben franchement, actuellement, je n’ai pas trop le temps.
Qu’importe la cotation, un faux pas eût été fatal…