Qu'est qui a lancé chez vous la passion de la montagne

Posté en tant qu’invité par Gilles74:

chamonix et son cirque imréssionant de cimes et toutes les histoires des alpinistes, héros ou anonymes ( merci le ParisMatch des annees 80 et 90 qui m´a fait rever de desmaison, Boivin, Edlinger, destivelle, Profit, Batard et d´autres qui se mesuraient seul a des faces nords de plus en plus dures et qui faisaient la premiere page )a un moment ou tout dans nos société se simplifiait, s´automatisait et se rationalaisait ( téléphériques, acces massif a la montagne etc…).

je n´ai que 23 ans mais pour moi la grimpe est une passion car l´alpinisme porte des valeurs qui résistent tellement a certians dogmes de la société moderne que je déteste: l´alpinisme est un sport qui s´effectue loin des villes ou la nature est reine: pas de frime, pas de compétition malsaine (pas pour moi en tous les cas), les grandes gueules ne peuvent plus se la ramener etc…

d´autres aventures humaines telles aue le vendée globe challenge en voile par exemple ou les récits des premiers explorateurs ( Cook, Bougainville) ont nourri ma passion pour tous les exploits humains en milieu naturels difficiles .

J´aime la nature et d´autre sport ou on est proche de la nature ( surf notamment)
la pureté de ce sport, de ses valeurs: un idéal de camraderie et de repousser ses limites dans une quete de l´inutile uniquement pour la beauté du geste, l´amour de la nature et la pureté des lieux dans lequel on évolue.

Posté en tant qu’invité par cecile:

t’es ouillon avec ton reblochon. de toutes façons, c’est le beaufort que j’préfère… quelle traître! aimer les fromages savoyards… alors voilà, j’ai commençé à raconter comment j’étais tombée dedans et personne s’interesse à la suite. on est peu d’choses.

Posté en tant qu’invité par nico:

ouillon? je connaissais pas cette insulte…
COmment ça c’est pas bien d’aimer les fromages savoyards? J’adore le reblochon surtout en tartiflette… miam!

C’est donc le beaufort en 2? Gourmande va! ;o)

Posté en tant qu’invité par Mitch’:

Lorsque j’étais môme, vers 13 ou 14 ans, mes parents m’ont lâchement abandonné, durant l’été, aux mains de mystérieux moniteurs de colonie de vacances. Je suis allé faire un séjour de 5 semaines dans le Valais Suisse. Dans le Val d’Anniviers pour être précis. A l’époque, je ne connaissais la montagne que par le ski, que je pratiquais depuis 6 ou 7 ans.
J’étais hébergé dans un petit village charmant du nom de ST-Jean Val d’Anniviers (entre Vissoie et Grimentz). Le Dirlo de la colo était fou de montagne et nous a un jour emmené voir un glacier. Après quelques heures de marche et une nuit en camping au pied du barrage de Moiry (avec marmottes, chamois et feu de camp au rhododendron) , nous sommes arrivé le lendemain au dessus du Glacier du même nom. Et là ce fût l’enchantement. A partir de ce jour, j’ai décidé que je serais alpiniste. Cela fait maintenant bientôt 30 ans que cela dure et cette passion ne m’a jamais quittée.
Je n’ai qu’un regret: n’être jamais retourné là-bas. D’autant que j’en garde un autre souvenir très marquant. J’y ai connu mes premiers émois amoureux avec une gentille et belle autochtone, du prénom de Maria.Vous croyez qu’elle m’attend encore? :wink:

Posté en tant qu’invité par Fantomas:

c’est chiant la montagne!!!
Ca bouche le paysage!!!
;-)))

Posté en tant qu’invité par Michel C:

Quand j’avais 8 ou 9 ans, on allait randonner chaque année une dixaine de jours en montagne avec mes parents. C’était toujours très dur pour moi car j’avais une très mauvaise condition physique et mes parents étant très fin psychologues l’état d’esprit était du genre « marche ou crève ». Malgré ça ou à cause de ça, j’étais fasciné par ces montagnes et par le défis qu’elles représentaient. A la même époque, j’ai lu les livres de Frison-Roche, Annapurna Premier 8000 et quelques autres récis d’aventures en montagne et je crois que ça a été le véritable déclic. J’ai su alors que je voulais faire de l’alpinisme.
Cette passion a eu le temps de grandir puisque ce n’est qu’à 16 ans que j’ai pour la première foi fait de l’escalade (en école) et à 22 ans que j’ai chaussé des crampons pour la première foi. Car malheureusement à l’époque je ne connaissais personne pour m’initier, je vivais dans un petit village de 3000 habitants et je n’avais pas un centime en poche.