Pulsion de mort et inconscient en montagne

Salut.
Cela me paraît un bon compromis. Merci.

et comment se manifesterait cette « pulsion de mort » ??

Bon, ça m’apprendra à lire les derniers messages de la discussion avant de rechanger le titre… Tu peux le changer si tu veux.
Salut Toscano. La discussion a été déplacée car elle ne pouvait simplement plus continuer sur un forum dédié aux conditions en montagne…
Il fallait donc la déplacer ailleurs. Un sujet dans le forum des discussions générales abordait le même problème, c’est pourquoi je l’y ai rattaché.
Si tu préfères maintenant qu’elle soit séparée, c’est fait.
Mais c’est dommage, car on y discutait de la même chose, par exemple ici : [quote=« system, post:77, topic:152754 »]
Dans ce sens commun, le vertige n’est pas autre chose qu’une phobie d’impulsion. C’est dire que ces personnes ont peur de ressentir une pulsion leur commandant de se jeter en bas, avec toutes les conséquences. Ils redoutent donc leurs propres pulsions mortifères.
[/quote]
ou là : Suicide en montagne et sports à risque

Salut CSV,
Merci pour ton message sympa. La place actuelle et le titre me semblent convenir, finalement, bien plus que dans la série sur le suicide: évitons les suicides en série!

Par la recherche et la production de souffrance psychique ou physique avec des mécanismes de récompense (plaisir ) interne au cerveau . Souffrances infligées à autrui ( sadisme , masochisme etc…) ou retournées contre soi ( mise en danger de soi ).
Il semblerait que ce mécanisme de "pulsion de mort " fasse référence inconsciemment aux souvenirs stockés d’anciennes expériences subies (ou que l’on a fait subir ) et notamment pendant la période de l’enfance. Tout le monde naitrait avec ce potentiel qui se construit et s’alimente en fonction de son histoire personnelle, de son éducation , de sa culture ( religieuse etc…) .
Il y en a qui font le choix et cherche l’activation de ces souffrances pour preuve de leur existence. D’autre qui font le contraire en évitant de souffrir ou de faire souffrir. Dans les deux cas se cacherait en arrière plan une recherche d’amour de soi et/ou de la part d’autrui.

1 Like

Tout ça me parait plein de bon sens…

eh ben ,moi, j’éprouve une jouissance infinie à skier dans le carton , alors que mes potes sont sur le dos; et je trouve la poudre vraiment soporifique…tout celà me déprime…
Dites moi, comment faire pour supprimer mon compte ( si seulement j’en ai ouvert un?)et avec les données associées.

C’est une pulsion de mort numérique que tu éprouves ?

En tout état de cause, ce sont des hypothèses. Tout est au conditionnel !

Tout le monde naitrait avec ce potentiel qui se construit et s’alimente en fonction de son histoire personnelle, de son éducation , de sa culture ( religieuse etc…).

Je sais pas où vous allez chercher ces « pulsions de mort » mais ça me semble plus relever d’élucubrations fantasmagoriques que de la réalité.
Ceux qui cherchent l’adrénaline ne cherchent pas la mort (au contraire, c’est une façon d’exister), ceux qui cherchent à faire des exploits cherchent à exister socialement, etc…
Ceux qui « cherchent » réellement la mort le font comme une solution ultime à une souffrance psychique insupportable. Car quoi qu’on fasse l’instinct de survie est toujours plus fort sauf… si on est « déjà plus soi même ». Et ce cas de figure n’est pas accessible à tout le monde. Plus de 90% des suicidés ont des « fragilités psychologiques » (bipo, dépressifs, schizo-x…). Elles sont à mon avis l’origine de la dissociation nécessaire au passage à l’acte pour surmonter l’instinct de survie. Le suicide est conditionné par un terreau favorable (psy), un évènement aggravant (dépression) et enfin l’acte (couic), c’est donc la conjoncture de plusieurs facteurs, il est limité dans le temps, ça n’est pas un mode de vie… Le reste du temps il n’y a pas de « pulsion de mort », juste un risque potentiel. Pour en revenir à nos montagnes, j’y vois beaucoup de têtes brûlées qui narguent la mort (et qui probablement se disent « oh non » le jour où ils se font faucher) mais pas des masses qui la cherchent vraiment au point de se dire « enfin ». Elle est tellement accessible en montagne qu’il n’aurait pas besoin de chercher bien loin.

@azerqsd : moi ça fait 1 an que j’ai demandé ma suppression et toujours rien. C’est depuis que je pourris plus le forum qu’ils s’occupent plus de moi !!

1 Like

une petit exemple d’un certains plaisir à voir l’autre « souffrir » : une chansonnette bien connu qui date mais qui est toujours d’actualité :