Projet A.Petit & Cie au pic de bure

Bonjour,
quelqu’un a t il des infos sur l’avancement de leur projet au pic de bure ?
http://www.lafuma.com/pic-de-bure/

merci

Joli projet.

L’article du blog date de 2011 :slight_smile:

sylvain millet s’était bléssé, et vu que le rocher a l’air moisi, ils ont peut être laissé tomber.
Tu peux demander à arnaud petit, il est assez actif sur facebook

sinon tu peux poster un message sur le blog de Stéphanie Bodet

Posté en tant qu’invité par laster:

C’est avec une fébrilité non dissimulée que j’entreprends la lecture de cette aventure ! Les récits d’ascensions sur un des hauts lieux de l’alpinisme français, c’est le nec plus ultra des lectures.De surcroît au pic de Bure, sur les traces du regretté R. Desmaison.L’entreprise promet des moments intenses, pour les acteurs comme pour le lecteur.Comme quoi, il reste encore, ici et là, de grands « derniers problèmes à résoudre » dans nos Alpes !
Le ton est donné: une paroi immense, intimidante, rébarbative, des surplombs à faire frémir, un rocher douteux et de longues heures en perspective à tracer son itinéraire avec l’incertitude d’atteindre le sommet.Tous les ingrédients sont réunis.
Devant l’ampleur des difficultés,dès les premières longueurs, le doute s’installe.Finalement, l’équipe renoncera, au moins provisoirement.Ma frustration est grande, proportionnelle à l’attente de belles heures d’un combat épique, avorté.La conclusion me déconcerte.Dans cette aventure, il semblerait que tout ne soit pas négatif car l’équipe a testé le dernier cri de ce qui se fait en matière d’équipement de montagne, à grands renforts de marques et de modèles, histoire de bien marquer les esprits.On est rassuré.A défaut de grandes envolées sur les pédales à faire pâlir d’envie feu maître Cochereau sur son Cavaillé-Coll à Notre-Dame, on repart avec la certitude que l’équipement vestimentaire a été, lui, à la hauteur des espérances.Contre toute attente, l’aventure s’est achevée en récit à la de Villiers qui ne manquait aucune occasion, dans chacun de ses romans, de citer le décorateur au service de Malko dans la réfection du château.Les amateurs de SAS me comprendront.

A priori, il n’y a qu’eux !

sinon, il me semble que sylvain millet avait pris un mauvais vol dans la voie. Ce qui avait mit un terme à la tentative.

Posté en tant qu’invité par Franc05:

j’adore

Posté en tant qu’invité par laster:

Oui, certains messages subliminaux ne sont perceptibles que par une frange de lecteurs (pas forcément des adeptes des polards, d’ailleurs).

Posté en tant qu’invité par tititoto:

[quote=« laster, id: 1587031, post:5, topic:139555 »]C’est avec une fébrilité non dissimulée que j’entreprends la lecture de cette aventure ! Les récits d’ascensions sur un des hauts lieux de l’alpinisme français, c’est le nec plus ultra des lectures.De surcroît au pic de Bure, sur les traces du regretté R. Desmaison.L’entreprise promet des moments intenses, pour les acteurs comme pour le lecteur.Comme quoi, il reste encore, ici et là, de grands « derniers problèmes à résoudre » dans nos Alpes !
Le ton est donné: une paroi immense, intimidante, rébarbative, des surplombs à faire frémir, un rocher douteux et de longues heures en perspective à tracer son itinéraire avec l’incertitude d’atteindre le sommet.Tous les ingrédients sont réunis.
Devant l’ampleur des difficultés,dès les premières longueurs, le doute s’installe.Finalement, l’équipe renoncera, au moins provisoirement.Ma frustration est grande, proportionnelle à l’attente de belles heures d’un combat épique, avorté.La conclusion me déconcerte.Dans cette aventure, il semblerait que tout ne soit pas négatif car l’équipe a testé le dernier cri de ce qui se fait en matière d’équipement de montagne, à grands renforts de marques et de modèles, histoire de bien marquer les esprits.On est rassuré.A défaut de grandes envolées sur les pédales à faire pâlir d’envie feu maître Cochereau sur son Cavaillé-Coll à Notre-Dame, on repart avec la certitude que l’équipement vestimentaire a été, lui, à la hauteur des espérances.Contre toute attente, l’aventure s’est achevée en récit à la de Villiers qui ne manquait aucune occasion, dans chacun de ses romans, de citer le décorateur au service de Malko dans la réfection du château.Les amateurs de SAS me comprendront.[/quote]

Si l’ironie de ce texte est volontaire et n’est pas le fruit de mon imagination, alors je trouve ça plutôt efficace et drôle ! Si ce n’est pas le cas, alors le style ampoulé et lourd est une autre source de rigolade…!
Bien à vous !

Posté en tant qu’invité par laster:

En revanche, ton style rédactionnel innimitable trahit ton identité qu’aucun pseudo d’emprunt pour la circonstance ne pourra jamais camoufler :lol: :wink:

Merci de m’avoir accordé un peu de ton temps pour me lire.

Posté en tant qu’invité par tititoto:

[quote=« laster, id: 1587130, post:10, topic:139555 »]En revanche, ton style rédactionnel innimitable trahit ton identité qu’aucun pseudo d’emprunt pour la circonstance ne pourra jamais camoufler :lol: :wink:

Merci de m’avoir accordé un peu de ton temps pour me lire.[/quote]

Cher Monsieur, outre le fait que vous ne soulagiez pas mon interrogation initiale ;), vous éveillez de surcroît une insoutenable curiosité quant à la nature de ce sournois indice, que votre œil, si rompu à l’analyse littéraire, aurait pu déceler sans l’ombre d’un doute dans l’indéniable légèreté de ma plume !

Amicalement.

@ suivre :slight_smile:
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