je ne sais pas si mon jugement est « objectif » mais je trouve, de ma petite expérience coté Suisse, qu’il y a beaucoup moins de problèmes en Suisse par exemple : meilleure « éducation » des chiots ?
Problèmes de cohabitation entre patous et randonneurs
Je comprends l’intérêt d’un dépôt de plainte rapide mais je vous avoue que j’ai clairement d’autres priorités en ce moment, en premier lieu les soins à ma chienne.
Par ailleurs, j’ai l’intuition que la plainte ne sera pas forcément recevable car l’attaque des CPT sur ma chienne a eu lieu sur un alpage interdit aux chiens. Je pourrais plutôt être considéré comme fautif. À la limite la mairie n’ayant pas mis de panneau sur le sentier par lequel je suis arrivé pourrait être considérée comme second responsable mais pas le berger.
Ce que je peux reprocher au berger c’est « juste » de nous avoir ignoré pendant 10 minutes après l’attaque alors que nous étions juste à côté de lui. Mais bien que c’était de sa part une attitude inacceptable, elle n’a pas eu de conséquences à proprement parler car les chiens ne nous ont pas attaqué durant cette période.
Le minimum serait de poser une main courante et informer la mairie.
J’ai aussi un border auquel je suis très attaché et avec qui je fais beaucoup de montagne hiver comme été.Peut être que ton post lui a sauvé la vie,cf plus haut.Grand merci.Je comprends donc tout à fait que ta chienne soit une priorité et je lui souhaite une prompte guérison sans séquelle.Malgré tout une main courante serait un minimum.
Quant à mon pote,il est assez introverti et je doute de sa collaboration éventuelle.
Soigne bien ta chienne,panse tes plaies et bon courage.
C’est dommage je n’ai pas l’article en entier
On en remet une couche :Si vous voulez grimper a hostiaz(01) vous risquez de prendre un but avant même d’arriver aux voies, patou agressif sur le sentier, pas possible d’avancer, même en faisant demi tour il revenait au contact. Ça a bien duré 10mn.Aucune trace du troupeau, pas de berger bien sûr.

J’adore l’'euphémisme.
Je remets une pièce dans la machine :
Comme je n’ai pas accès à la totalité de l’article, c’est vraiment du troll 
Hier en rando en forêt de Fontainebleau, nous avons croisé un couple accompagné d’un énooorme patou de type chien de montagne des Pyrénées.
Les maîtres ont peur… des loups, qui seraient remontés à Bleau par la forêt d’Orléans
.
Le patou en question, au début assez méfiant, est venu se coucher à nos pieds. On a même joué avec lui pour finir. Comme quoi, certains patous s’éduquent.
La semaine dernière sur la route de Lure un copain a attendu que le troupeau dégage la route avant d’avancer, un kangal est venu et a mordu carrément dans la carrosserie et y a fait une profonde marque (pas de berger en vue) on peut imaginer ce qu’il se serait passé si le copain était descendu de sa voiture …
Il va avoir besoin d’aller chez le dentiste le chien !
À quand les fusils à seringue hypodermique au rayon randonnée du Vieux ? 
Trop de risque d’usage sur les ronfleurs en refuge…
Et comme d’hab on va encore dire que c’est sa faute, qu’il a eu un mauvais comportement et patati et patata …
dommage, pas d’accès à l’article…
Bien sûr, jeudi j’ai du traverser un troupeau, et 2 bergers d’anatolie sont arrivés en courant vers moi sans aboyer.
La je me suis dit je suis mal.
Pas du tout, ils voulaient se faire caresser ce que j 'ai fait puis j’ai traversé le troupeau sans problème.
Le berger que je n’avais pas vu était en contre bas.
Bref avec une bonne éducation, pas de problème.
En recherchant un peu on trouve son récit sur sa page instagram.
Son récit :
A leur goût, mes jambes manquaient de cicatrices… 
Récit d’aventures sous la tête Combaz. Zone à proscrire l’été ! Ce troupeau-là, je l’ai déjà traversé plusieurs fois. Hier, sans le savoir, l’histoire allait être différente.
En sortie longue dans le brouillard et sous la pluie, je tombe sur le troupeau qui descend vers moi, bientôt sur le chemin. J’arrête de courir et commence à marcher tranquillement. J’entends les aboiements des patous se rapprocher. Les voyant arriver, je m’arrête.
Les bras le long du corps, pas un geste. Les 3 patous sont très excités, et moi, un peu terrifié.
Je les laisse me renifler, le danger semble passer.
J’attends quelques longues secondes, qu’ils s’éloignent, pour me remettre en marche. Manque de pot, le terrain est très boueux. Après 2 pas, je glisse et tombe les mains en avant. Ce qu’il ne fallait pas faire à une dizaine de mètres des patous…
A peine le temps de me relever, que le premier me saute dessus, et m’embarque dans une nouvelle chute hors du chemin, dans la pente, toute aussi boueuse. Impossible de me remettre debout, la glissade continue et un deuxième patou s’invite à la fête. À chaque nouvelle glissade une nouvelle attaque.
J’ai peur pour mon visage et les parties sensibles de mon corps. Les deux chiens attendent attentivement ma prochaine glissade, mon prochain geste brusque, un vrai cauchemar. Heureusement, après quelques 6 ou 7 morsures et de longues secondes, je trouve un endroit plus herbeux et arrive à me stabiliser. L’horreur s’arrête, enfin pas totalement, je suis pétrifié, les patous continuent de m’aboyer très fortement et de me sauter dessus. J’essaye de rester de pierre pour ne pas retomber, et éviter la surenchère. Après quelques minutes, ils commencent à se calmer, toujours en m’observant. C’est alors que je vois le berger sortir du brouillard, j’appelle à l’aide, car toujours trop proche des chiens pour tenter de remonter sur le chemin. La scène d’horreur se termine, bien amoché.
De retour à la civilisation, en bord de route, attendant que mon père me récupère pour aller à l’hôpital, voyant mes jambes ensanglantées, un automobiliste s’arrête et prend de mes nouvelles. Je tombe de haut, il me parle d’une dizaine d’attaques de ce même troupeau l’année dernière, encore plusieurs cette année. En effet, une petite recherche sur Internet donne vite le ton… Une journée partagée entre peur, vulnérabilité, surprise — et une colère froide : comment se fait-il qu’un troupeau « connu » et ses chiens de protection restent au même endroit alors qu’ils ont déjà montré leur dangerosité ?
Qu’en est-il de la responsabilité et de la formation des bergers/chiens : si un site est à risque, ne faudrait-il pas gérer la présence humaine proche des sentiers ou déplacer le passage ?
Bref, 2 patous enragés qui s’acharnent sur moi, j’espère ne plus jamais vivre ça.
Je n’écris pas pour accabler un camp — bergers et chiens ont leur rôle — mais pour réclamer du bon sens et des mesures concrètes. On veut tous continuer à aimer la montagne sans risquer notre intégrité physique.
Encore ceux-là?
En tout cas si vous passez par le mont joly côté Contamine au dessus de l’auberge de colombaz situé à 1500m (super auberge, super gérants intégres, merci pour leur accueil chaleureux et bienveillant) l’alpage ovin commence 30min/1h au-dessus a partir de 1800m jusqu’a la tête de la combaz
Incroyable que ça continue
Je propose de recoter cet iti rando de T2 en T5 au moins!
https://www.camptocamp.org/routes/46376/fr/tete-de-la-combaz-versant-se-
