Posté en tant qu’invité par fab:
Qu’est ce que vous me conseillé comme préparation physique pour participer au stage neige et glace ou alpinisme de l’UCPA?
merci , a+
fab
Posté en tant qu’invité par fab:
Qu’est ce que vous me conseillé comme préparation physique pour participer au stage neige et glace ou alpinisme de l’UCPA?
merci , a+
fab
Posté en tant qu’invité par Ren:
Salut,
Je cherche à faire ce style de stage mais sur le site de l’UCPA je n’ai pas trouvé le lien correspondant…
Pourrai tu me donner l’adresse ou le numéro de la fiche ??
Merci
Posté en tant qu’invité par fab:
je sais pas exactement l’adresse mais l’ai trouvée en passant par google en tapant : UCPA+alpinisme
Posté en tant qu’invité par catherine:
j’en ai fait tout plein des stages UCPA, dans des domaines différents, entre autres alpinisme et perfectionnement en neige et glace.
Je ne faisais pas de « préparation particulière » et pourtant j’habitais la région parisienne à l’époque !
Bon, j’avais la pêche, j’étais jeune, je faisais pas mal de jogging, un peu d’escalade à Fontainebleau, du vélo en vallée de Chevreuse.
Ah oui, pour les dénivellés, le circuit « des 25 bosses » à Fontainebleau, près de Milly la Forêt.
Mais ça, ce n’était pas « spécialement pour l’UCPA », c’était régulièrement tout au long de l’année, même parfois en semaine (la vie d’étudiante à Orsay, c’était bien sympa).
C’est vrai aussi que je pratiquais déjà l’alpinisme avec mes frères et mon papa, et que j’avais déjà des bases quand j’ai fait mon 1er stage UCPA en montagne.
Mais si tu fais régulièrement du sport, surtout des sports d’endurance, même sans être un super athlète, tu ne devrais pas avoir de problème !
Le ou les 1ers jours permettent de tester les stagiaires et de faire des groupes par niveau.
En tous cas, j’avais bien apprécié tous ces stages.
Posté en tant qu’invité par Ren:
Ok merci Fab
Posté en tant qu’invité par Dom:
sauf erreur, tu n’auras pas d’accès aux fiches qui correspondent à des programmes hors du catalogue en cours; il faudrait donc attendre le catalogue d’été pour retrouver les fiches alpinisme, mis à part les stages cascades de glace à St-Véran.
Posté en tant qu’invité par Ren:
Ca existait déjà l’UCPA à cette époque ??? :-)))))
Posté en tant qu’invité par catherine:
Ren a écrit:
Ca existait déjà l’UCPA à cette époque ??? :-)))))
vouiiii, avant ça s’appellait l’UNCM (l’union des centres de montagne) je crois, mais moi j’ai pas connu.
Par contre, j’peux dire que l’UCPA, c’était pas comme maintenant :
par exemple, il y avait des tours de « corvée » (enfin, ça avait peut-être un nom plus sympa comme « tours de service ») et en début de stage on attribuait aux équipe une sorte de planning des corv… (pardon !) des services. C’est ainsi que certains jours on était de vaisselle, d’autres d’épluchage de patates, d’autres de ménage etc … Ah, c’est pas comme maintenant, les p’tits jeunes ils se mettent les pieds sous la table, c’est tout juste si on ne leur fait pas leurs lits !
En stage de voile je me souviens qu’il y avait un tour pour réparer les bateaux, ça motivait pour faire gaffe dans les régattes à ne pas trop se cartonner parceque c’était un sacré boulot de reboucher les trous dans les coques !
En stage de montagne, je ne me souviens plus bien si il y avait des tours pour réparer le matos …
Voilà, mais maintenant, c’est presque le club med’ !
enfin peut-être pas trop pour les stages montagne quand même parceque les soirées karaoké jusqu’à 4 h du mat’ juste avant une montée en refuge, ça doit être dur dur !
Posté en tant qu’invité par Dom:
catherine a écrit:
Par contre, j’peux dire que l’UCPA, c’était pas comme
maintenant :
par exemple, il y avait des tours de « corvée » (enfin, ça
avait peut-être un nom plus sympa comme « tours de service »)
et en début de stage on attribuait aux équipe une sorte de
planning des corv… (pardon !) des services. C’est ainsi que
certains jours on était de vaisselle, d’autres d’épluchage de
patates, d’autres de ménage etc …
voui voui … même que la vaisselle et le tri des couverts avant l’époque des lave-vaisselles, dans les centres de 100 personnes, les jours de spaghetti bolognèse, c’était pas triste…, pi y avait le balai dans les couloirs, etc …, et les piaules qui se faisaient porter pâles qui se faisaient engueuler, mais on rigolait bien … c’était pas l’époque des 78 tours mais presque ;-)))
Par contre pour l’entretien du matériel montagne, on était pas priés, sauf pour les surfs, à l’époque héroïque où ils étaient construits de nos blanches mains avec des feuilles de multiplex et mis sous presse chaque soir dans l’atelier, recouverts de vernis limé pour faire des « carres », jamais autant ri à un stage …
bon, ça fait un peu ancien combattant tout ça ;-))
Posté en tant qu’invité par Etienne:
Si il n’ont pas changé leurs menus depuis les 80’s, ça pourrait être une bonne idée de faire ausssi un petit régime avant de partir. Histoire de compenser d’avance tout ce que tu vas prendre.
Les kilos de bouffe que tu devais te coltiner dans le sac à dos pour les montées en refuge, c’était l’horreur! Et tu en redescendais les 3/4 . Je ne parle que pour la Bérarde…
Si tu vas à Argentières il vaut mieux avoir la caisse. J’y avais été l’année précédant le bicentenaire de la première du Mt Blanc. Du coup, ils nous l’ont fait faire, histoire de voir la faisabilité sur des clampins, alors qu’on n’avait que trois jours de présence et qu’on n’était pas montés plus haut que l’M. Sans compter les sprints à chaque course pour ne pas rater la dernière benne (en septembre )…
Un mois avant de partir je faisais un max de vélo, du footing, les 25 Bosses avec grosses et sac à dos, les circuits montagne avec sac à dos…Plus tu en auras « bavé » avant, moins tu en baveras pendant. Quoiqu’il en soit tu vas bien t’amuser. Bonnes vacances!
Posté en tant qu’invité par Bubu:
Si il n’ont pas changé leurs menus depuis les 80’s, ça
pourrait être une bonne idée de faire ausssi un petit régime
avant de partir. Histoire de compenser d’avance tout ce que
tu vas prendre.Les kilos de bouffe que tu devais te coltiner dans le sac à
dos pour les montées en refuge, c’était l’horreur! Et tu en
redescendais les 3/4 . Je ne parle que pour la Bérarde…
Et voila comment on est mis sur la mauvaise piste des le debut… On a beau critiquer mes menus, n’empeche que c’est le plus leger (en poids) qui soit et c’est 100% glyco(gène)²
Posté en tant qu’invité par catherine:
c’est vrai que la qualité des menus à l’UCPA dépendait pas mal des centres, et en fait des cuistots. Peut-être que maintenant il y a des « normes » gustatives et diététiques ?
En tous cas, moi je maigrissais plutôt pendant ces stages, mais je ne reprennais pas 3 fois de chaque plat
Posté en tant qu’invité par Rozenn:
Eh les fossiles!!! Ca fait pas si longtemps que ça que ça d’est dégradé l’UCEP. En 1990 (ah, si quand même…) il y avait encore les corvées dans le vieux centre de Serre-Chevalier. Ca créait l’ambiance.
La bouffe à l’UCEP c’est plutôt le point positif.
Je suis en revanche en train de me fâcher de + en + avec eux parce qu’ils s’éloignent de l’esprit montagne des débuts (enfin, ceux que mes parents m’avaient contés, lorsque gamine, ils me disaient : « toi aussi quand tu seras grande, tu iras à l’UCEPA »). C’est de plus en lpus clientéliste mais des deux côtés : y’a pas que le public qui se dégrade (probablement moins sur des stage ski-alpinisme, plus puristes peut-être). Les temps d’encadrement sont parfois calculés pil-poil. Faut savoir que depuis deux ans, le jeudi après-midi est « libre ». Pour certaines discipline, à des niveaux deébutants ça signifie : tu vas jouer aux cartes en attendant la « soirée des moniteurs », voire noyer ton chagrin dans l’alcool (au risque de niquer la journée du lendemain, certes).
Ce qui me gêne le plus c’est que sur certains stages (dixit du vécu de guide qui a bossé à l’UCEP) du genre « le Kilimandjaro en 9 jours », ils n’hésitent pas à surcharger les groupes par rapport au maximum légal et au guide de se démerder. Comment fait-il ? La solution : épuiser les stagiaires pendant les premiers jours et, au moment de l’ascension, faire constater aux plus faibles qu’ils ne sont pas en état. Au final, le groupe revient à un nombre raisonnable (ou légal).
Franchement, c’est peut-être mon année supplémentaire qui me rend aigrie mais j’aime plus l’UCEP. Cet été, j’ai préféré faire un stage avec un guide.
Ca ne répond absolument pas à ta question…
Mais en tout cas, ça va mieux en le disant!
Rozenn
Posté en tant qu’invité par Etienne:
Il y a des jours comme ça où on ferait mieux de la fermer ( je parle pour moi ).
Alors:
je parle des 80’s
si j’ai chaque fois pris du poids, c’est que j’en reprenais, contrairement à Catherine, et si j’en reprenais, c’est que je trouvais ça bon .
je n’ai pleuré que sur le poids des rations de course. Déjà que les refuges ne sont pas à côté en Oisans, en plus transporter des trucs dont tu sais que tu n’arriveras pas à les finir ça n’était pas marrant. Entre autres un gros pain par jour et par personne, c’est effectivement beaucoup de glycogène, donc très bon pour l’effort, cependant en rapport poids/énergie ou volume à avaler/énergie c’est un peu rustique…
si ça m’avait tant gêné que ça je n’y serais pas retourné trois fois.
Je ne pousserai pas la flagornerie jusqu’à conseiller vivement la Bérarde aujourd’hui, puisque je ne sais pas ce que c’est devenu depuis quinze ans. Les courses, elles, n’ont pas dû changer, à quelques centaines de spits près, et valent largement la visite.
Merci pour des tas de bons souvenirs. Vous acceptez encore les quadras quartos?
Posté en tant qu’invité par Dom:
Rozenn a écrit:
Eh les fossiles!!!
Eh la jeunette !!
T’as mauvaise mémoire, y a toujours eu un après-midi « libre » dans les stages …
Je suis en revanche en train de me fâcher de + en + avec eux
parce qu’ils s’éloignent de l’esprit montagne des débuts
(enfin, ceux que mes parents m’avaient contés, lorsque
gamine, ils me disaient : « toi aussi quand tu seras grande,
tu iras à l’UCEPA »).
Tout à fait d’accord avec toi, l’évolution qu’ils ont choisi de faire leur a fait perdre ce qui constituait leur identité et qualité première qui était d’offrir une formation sportive de qualité dans un contexte associatif. C’est d’autant plus dommage qu’ils étaient au sommet sur ce terrain et qu’ils se retrouvent maintenant entre deux chaises, ayant perdu en partie leur identité et en concurrence avec des « voyagistes » plus ou moins quelconques.
La solution : épuiser les
stagiaires pendant les premiers jours et, au moment de
l’ascension, faire constater aux plus faibles qu’ils ne sont
pas en état. Au final, le groupe revient à un nombre
raisonnable (ou légal).
Difficile à dire parce qu’on voit quand même régulièrement des stagiaires pas préparés justement … (jogging, natation, gym, tout est bon tant que c’est régulier …)
Ca ne répond absolument pas à ta question…
Mais en tout cas, ça va mieux en le disant!
De même …
Posté en tant qu’invité par Dom:
Pleure pas Etienne, pleure pas, les gros pains en montagne et pour les raids à skis sont toujours d’actualité, et on les promène consciencieusement jusqu’au moment où … il leur arrive un accident … ooh, dommage, l’est parti le pain …
Voui voui, ils acceptent toujours les quadras (sur dérogation); d’ailleurs, pour le ski de rando par exemple, on peut pas dire que les jeûûûnes s’y bousculent trop …
Posté en tant qu’invité par Etienne:
« d’ailleurs, pour le ski de rando par exemple, on peut pas dire que les jeûûûnes s’y bousculent trop … »
Ils ne savent pas ce qu’ils perdent . Ah, le ski de rando, je m’y remettrais bien aussi. Un peu plus tard dans la saison, y aurait-il des gentils volontaires pour traîner un cardiaque sur le Canigou?
Quant aux histoires de gros pain, j’aurais encore plus pleuré si j’avais eu pas assez que trop. Il ne faudrait pas faire une fixette sur ce qui n’était au départ qu’un clin d’oeil aux ucépistes ( de l’utilité des frimousses… ).
En juin 82 (promis, je ne mettrai pas le topo sur le forum ) je suis parti faire la Haute Route Chamonix-Zermatt à pieds avec en projet quelques courses en passant. Comme à cette époque de l’année les refuges n’étaient pas gardés pour la plupart, nous sommes partis avec quinze jours d’ autonomie en vivres + matériel de bivouac + matériel de course.
Afin de diminuer le poids des sacs on avait privilégié les lyophilisés, ce qui donnait tout de même 30 bons kg à monter le premier jour. Je peux donc affirmer d’expérience que d’absorber la bonne quantité de calories ne suffit pas à repaître: ne manger que des bouillies, aussi bonnes soient-elles, sans jamais avoir à mâcher, ça n’est pas satisfaisant. Les derniers tours de léchage de fond de gamelle ont failli se régler à coups de piolets! A ma grande honte, j’avoue que lorsqu’on est tombés sur un stock de pâtes aux Vignettes on l’a sérieusement entamé ( et payé, tout de même).
Posté en tant qu’invité par martine:
« d’ailleurs, pour le ski de rando par exemple, on peut pas dire que les jeûûûnes s’y bousculent trop … »
Ils ne savent pas ce qu'ils perdent . Ah, le ski de rando, je m'y remettrais bien aussi. Un peu plus tard
dans la saison, y aurait-il des gentils volontaires pour traîner un cardiaque sur le Canigou?
ah de la rando à un rhythme ‹ abordable ›…
que cela me tente!
Posté en tant qu’invité par alexis:
Rozenn a écrit:
tu vas jouer aux cartes en
attendant la « soirée des moniteurs », voire noyer ton chagrin
dans l’alcool (au risque de niquer la journée du lendemain,
certes).
Et oui, tu t’es vu quand t’as bu ? Et le samedi, vous ne saviez même plus avec qui vous aviez nique le vendredi !!!
Posté en tant qu’invité par R1:
Je ne pousserai pas la flagornerie jusqu’à conseiller
vivement la Bérarde aujourd’hui, puisque je ne sais pas ce
que c’est devenu depuis quinze ans. Les courses, elles, n’ont
pas dû changer, à quelques centaines de spits près, et valent
largement la visite.
Merci pour des tas de bons souvenirs. Vous acceptez encore
les quadras quartos?
A priori l’ucpa n’accepte pas les + de 40…
Pratiquement pour l’alpinisme, pas de problème dans les centres, les guides et responsables de centre se contrefoutent de la limite d’âge du moment que les participants sont motivés…
La seule épreuve pénible est le serveur téléphonique d’inscription, car la question perverse n’est pas: quel
âge avez vous? (euh… 39 trois quart…) mais bien: quelle est votre date de naissance? Et là, mieux vaut avoir fait les calculs avant pour avoir effectivement moins de 40…
Bref, on peut mentir. C’est pas agréable, mais c’est le prix à payer pour faire de l’alpinisme avec un organisme pour qui la planète est « ton terrain de jeux »…(enfin, plutôt celui des trentenaires blancs à salaire élevés de la région parisienne…)
Je m’égare: dans les stages alpinisme, au moins ceux de Monêtier
et la Bérarde je n’ai jamais été déçu, et l’ambiance a toujours été très bonne, l’encadrement parfait pour apprendre l’autonomie, et la bouffe délicieuse (bon moi j’aime bien manger, tant pis pour les kilos, j’ai moins froid en bivouac…)