Oui. En fonction des commodités (douches, prises pour recharger des batteries, chambres individuelles…) mais aussi en fonction de la table (choix de menus, carte…).
De plus en plus de gens veulent un hôtel.
Prendre une douche en refuge
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Et d’ailleurs il faudrait ajouter ces informations primordiales sur les fiches c2c des refuges, ainsi que la présence d’une boutique pour pouvoir faire du shopping, d’une salle de sport…
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Il y pourtant des gens avec des contraintes médicales qui imposent un régime d’hygiène plus stricte…
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On peut se laver correctement sans aucun produit.
Les cheveux resteront certes un peu gras
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Des exemples de contraintes médicales ?
Une estimation du pourcentage d’usagers des refuges que cela concerne ?
PS : l’absence de douche ne m’a jamais empêché de me laver en refuge. Il suffit d’un robinet avec de l’eau ou d’une fontaine.
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Déjà je dirais un % de la gente féminine pendant leur période menstruelle qui ont envie (voire besoin dns certains cas) d’un minimum d’hygiène.
Cela dit :
PS: je n’ai jamais pris de douche (ni chaude ni froide) en refuge dans les rares fois où j’y suis allé
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Excepté si vous ne sentez vraiment pas bon, éviter de lessiver l’épiderme : il sécrète naturellement des substances pour protéger la peau du soleil, des frottements (ampoules), déshydratation, etc…
Un gant et de l’eau claire feront aussi bien l’affaire !
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Conditions dermatologiques, gynécologiques etc.
Pas forcément beaucoup de monde mais si une tel liste les permet de mieux planifier ces sorties c’est déjà sympa.
et la télé…
Sans parler évidemment d’un accès wifi haut débit pour suivre sa série sur netflix (et poster son CR sur C2C)
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J’ai dormi une nuit á Victor Emmanuel où j’étais prêt à payer 1 douche à une personne qui sentait vraiment mauvais au point de m’empêcher de dormir 
(mais j’ai pas osé…).
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La douche en tant que telle est rarement une nécessité.
En revanche, la possibilité d’avoir un point d’eau dans un espace clos pour avoir un minimum d’intimité est un plus. Et ce n’est pas forcément moi que ça gêne de le faire en public, mais j’imagine que tous les gars ou les enfants qui pourraient passer ne sont pas prêts à me voir me laver au lavabo commun (en règle générale et encore plus pendant cette période)…
A l’auberge de la Fontasse (Calanques), il y a des salles de bain non mixtes avec de grands lavabos. Côté filles, on n’avait pas de soucis à être à poil entre nous pour se laver (voire se baigner) dans les lavabos.
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Florence_B:
j’imagine que tous les gars ou les enfants qui pourraient passer ne sont pas prêts à me voir me laver au lavabo commun (en règle générale et encore plus pendant cette période)…
Déjà laver une culotte de règles j’ai peur que qqun pense que j’ai fait un bis de l’assassinat de Trotsky…
Bah on en a vu d’autres pendant la guerre
Le problème, c’est que je n’ai toujours pas de réponse à ma question.
Certains font des suppositions, ou des affirmations non étayées.
J’aurai souhaité savoir si des usagers des refuges choisissaient VRAIMENT leur destination selon l’existence d’une douche. Avoir des témoignages. Par exemple des contributeurs qui confirme que c’est bien pour eux un critère déterminant, ou qui témoignent que leur itinéraire a été choisi parce que certaines personnes de leur groupe imposaient la présence de douches.
Je souhaite aller plus loin et réellement vérifier l’affirmation : « De plus en plus de gens veulent un hôtel. »
Dans qu’elle mesure est-ce vraiment une réalité concernant la présence de douches ?
Pourquoi @yepmevla a-t-il posé la question dans un autre post ? Est-ce important pour lui ?
Ca va être difficile de répondre car ça va dépendre de la pratique des personnes et donc du refuge. Quant tu souhaites réaliser un itinéraire mythique en conditions seulement x jours tous les ans, nécessitant un entrainement constant, le partenaire dispo etc la douche ne peut pas être un critère. Si c’est de la randonné, de l’escalade ou une autre activité avec moultes options possibles, je veux bien croire qu’il y ait une demande de douche en refuge, comme dans un gîte, dans un camping ou à l’hôtel.
Pourquoi la qualité des sanitaires ne serait pas un élément de choix, comme la qualité de la literie, la qualité des repas, le sourire de la serveuse, le prix des repas … Le client paye pour un service. C’est donc normal que la « qualité » du service intervienne dans ses choix.
La vrai question est surtout collective : faut-il accepter cette course en avant ?
On peut d’ailleurs poser le même genre de question pour la demi pension ou même la simple présence de refuges. Une demi pension, un refuge, c’est juste du confort de riches. Demi-pension et refuges ont un impact sur un milieu fragile.
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Perso, je ne vois pas pourquoi on se priverait d’un « certain confort », même si bien sûr la douche n’est pas le critère premier, que les douches qd elles existent sont souvent assez rustiques, pareil pour les chiottes, l’agencement du refuge, la qualité de la bouffe, etc
Je me souviens - il y a des années - de refuges ( auberges ) suisses au bout du monde mais totalement mignon, serviettes en dentelle, propreté absolue tout ça pour un prix - à l’époque - tout à fait raisonnable.
Rester 10j dans son jus n’est pas non plus un idéal
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Les refuges ont un impacte négatif car ils induisent une hausse de fréquentation, mais aussi un impact positif car ils concentrent tous le monde au même endroit dans une structure permanent. Il suffit de regarder les problematiques de l’explosion de la pratique du bivouac, et ça serait encore bien pire s’il n’avait pas des refuges du tout. En ce qui concerne la demi-pension je ne pense pas que ça change beaucoup la donne, ni la presence des douches.
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Qui faisait ça ? Même avant la généralisation des douches en refuge.
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Quelle est la proportion de randonneurs et autres usagers de la montagne qui couchent en refuge - ou qui sans refuge ne seraient pas venus - par rapport à la masse totale de fréquentation - touristes à la journée, nuits dans les innombrables gites, hôtels, locations, campings …??
Un refuge, c’est surtout des ressources et de l’énergie pour le construire & l’entretenir, comme tout bâtiment, voir bien plus qu’un bâtiment équivalent en plaine. A fortiori depuis que tout est monté par les airs.
Un refuge, c’est des dizaines, centaines de m2 de nature en moins, comme tout bâtiment, avec le terrain préparé en conséquence.
C’est, ou c’était, de la pollution « humaine » concentrée non assimilable par le milieu.
La demi-pension, c’est un hélicoptère, un cuistot, une cuisine, de l’eau usée …
Etc …
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