Pourquoi poser la question si tu refuses les réponses (légitimes) des autres ? Les autres éléments de réponse ayant par ailleurs été avancés, sous de multiples angles, afin que tu les comprennes.
J’ai l’impression que ta question n’attendait pas de réponses. J’ai du mal à comprendre à quoi elle avançait du coup (et je m’en fiche pas mal).
En tous les cas, à défaut de le pratiquer moi-même, j’ai eu plusieurs infos de première main, et c’est pas tous des mecs suicidaires ou qui font ça sous pression, bien au contraire.
Ca m’embêtait un peu de lancer cet argument un peu vicieux, mais vu que ton comportement est tout sauf sympathique, allons-y. [quote=« lovenia, post:17, topic:257218 »]
Mes activités montagnes: alpinisme, rando/ascension de sommets fastoches, trek avec gros sacs de 25kg dans des montagnes lointaines, en hiver/printemps beaucoup de snowboard (hors piste si y’a de la peuf, juste avec la pelle pour faire des sauts sinon, voir prendre les raquettes pour aller loin des télé-machins).
J’ai aussi fait quelques 6000 qui n’étaient pas forcément des gros pierriers, et j’ai même atteind les 6600m pour savoir ce que c’est que le manque d’oxygène! Enfin j’ai passé deux nuits à 6200m pour tenter le Pic Lénine.
Voilà, histoire que l’on ne me prenne pas pour un novice (qui a dit blaireau?!) directos.
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T’es clairement un novice (tout comme moi d’ailleurs). T’es peut-être bon en freeride, t’as l’air solide (25kg c’est lourd), mais t’as pas l’air de vraiment avoir connu la montagne sauvage (j’ai aussi fait le pic Lénine, et c’est pas exactement sauvage) et engagée. Tu te places en fait toi-même dans la catégorie des « blaireaux » sans vraiment t’en rendre compte, de par ton comportement.
T’as l’air parfaitement incapable de te remettre en cause, et d’admettre que d’autres peuvent avoir des modes de pensée différents de toi. Or ici, y’a un truc franchement évident, c’est que des gens vont faire ces trucs plus engagés juste par passion, pour le plaisir de se retrouver dans cet environnement unique.
A défaut d’avoir fait de l’alpi hivernal engagé, j’ai connu une météo particulièrement défavorable au Lénine (pour parler d’un truc que tu connais), du C3 au sommet. C’était dur, j’étais assez mal équipé (chaussures trop légères, et pas de masque), mais au final ça reste un de mes meilleurs souvenirs de montagne même si c’est seulement de la rando d’altitude (et le fait d’avoir fini seul y contribue clairement). C’est de ces souvenirs qui motivent une personne à repartir affronter des conditions « extrêmes ».