Posté en tant qu’invité par David:
Je trouve l’idée très bonne.
Pourquoi les courses d'escalade sont sur alpinisme.camptocamp?
Posté en tant qu’invité par David:
Si les gens ne s’intéressaient pas aux topos, ils seraient
déjà partit sur d’autres sites. Hors il y a de plus en plus
de monde sur c2c. Ca veut bien dire que les gens trouvent un
interet à avoir les topos.
Effectivement, je trouve ton analyse particulièrement juste.
Il y a une raison bien précise qui date de l’origine du topo-guide interactif. Nous souhaitions associés des conditions de courses à un itinéraire clairement identifié. Cette volonté vient du fait qu’en ski de rando, on peut parfois passer un peu partout. Hors les conditions de N&A sont particulièrement variables d’une zone à l’autre.
Au regard de l’essor des sites et de l’enrichissement des bases, un autre intérêt, et non des moindres, se fait ressentir : le topo-guide.
Pour ma part, je ferai, avec bcp de modestie, l’analogie entre le topo-guide Camptocamp et les origines des guides Vallot. Ils ont pour but, au final, de capitaliser la connaissance des Alpinistes sur les itinéraires parcourus et de la diffuser largement.
J’ai d’ailleurs proposé des adaptations au Guide pour l’intégration des aspects historiques et bibliographiques dans les descriptifs de courses. Nous sommes en train d’y réfléchir pour la prochaine version des sites qui sortira cette automne. A suivre …
Posté en tant qu’invité par David:
Parque skirando est LE site de référence en tout cas pour la
Suisse, et que vu qu l’été c’est un peu mort (skirando, pas
la Suisse…), ben on s’occupe avec alpinisme.camptocamp!
En plus si je vais grimper dans des longues voies (style
Gastlosen, Miroir d’Argentine, Aiguilles Dorées…) ben j’ai
le topo et je préfère ne pas me fier à certaines descriptions
d’itinéraires de ce site!!! De plus l’achat du topo local
paye les spits et le travail des équipeurs!
En plus il existe peu de voies non decrites dans des topos,
en tout cas en alpinisme ou escalade en altitude…
En tombant dans l’extrême : je serai ravi que le topo-guide de Camptocamp puisse avoir autant d’impact sur l’équipement des voies sportives en (haute) montagne. Ce serait une très bonne nouvelle 
Plus sérieusement :
- je ne pense pas que l’impact soit aussi important sur l’achat des topos papiers
- je ne pense pas non plus que le topo papier soit la seule et l’unique source d’argent pour l’équipement
Pour la falaise, j’aurais un tout autre discours. Mais en montagne, je pense qu’il y a déjà pas mal de voies existantes et qu’il vaudrait mieux veiller au vieillissement de l’équipement et au ré-équipement des voies sportives existante que d’ouvrir de nouvelles voies … Mais là, les équipeurs se pressent moins : la notoriété n’est plus forcement au RdV 
Posté en tant qu’invité par David:
D’ailleurs, j’y aurais bien mis du canyon aussi avec les
topos !!!
Ah Non!
Posté en tant qu’invité par David:
Il est prévu d’aller plus loin dans l’intégration des 3 sites. En tout cas, la structure le permet.
Dans la prochaine version, il y aura d’avantage de ponts entre les sites, notamment à travers l’outil carto 
Posté en tant qu’invité par Claude:
L’idée est surtout bonne pour le programmeur
Avec 2 classes : sportif ou TA, on est forcement moins precis qu’avec une echelle à 4 niveaux (+demi-niveaux).
Il y a actuellement trop de différences entre les itinéraires TA du topo-guide. Quel rapport y a-t-il entre la voie des parisiens aux trois becs (**) et le pilier SE de la pointe J.Gaillard (****) en Belledonne ? Globalement les gens qui sont habitués au topo Cambon sont satisfaits de cette échelle de cotation.
En plus, discuter du nombre d’étoiles d’une voie et plus facile que de dire si elle TA ou pas. En effet chacun a sa propore définition du TA, mais pour l’échelle Cambon il n’existe qu’une seule définition.
Posté en tant qu’invité par David:
Si je reprends les arguments émis de part et d’autre, nous avons :
Points positifs :
- faire connaitre l’itinéraire
- mieux valoriser certains secteurs peu connus et mieux répartir la fréquentation
- pratique pour la préparartion de course
- pas de limite de place : on peut étaler la description, y associer des photos, etc.
- obtenir différents avis sur la voie avant de s’y aventurer
Points négatifs :
- Concurrence topo
- Ce n’est pas de l’Alpinisme
Entre deux :
- conditions de courses sur ces itinéraires : ces itinéraires ne nécessite pas une mise à jour quotidienne des informations, mais certaines infos sur l’équipement, sur l’approche ou la descente peuvent être intéressante car elles changent de temps en temps.
Voici les questions que je me pose :
Y a-t-il une réelle concurrence avec les topos papiers ? Si oui, y a-t-il une légitimité à diffuser ce contenu sur Camptocamp ?
Sinon, j’ai fwd aux modérateurs la proposition de mathieu d’intégrer dans le champs « type d’escalade », la valeur « grande voie sportive ». Je vous tiens au courant.
Posté en tant qu’invité par Claude:
David a écrit:
A chacun sa perception de ce qu’est l’Alpinisme.
Pour ma part, c’est quasiment la même chose, sauf qu’au lieu
de 45mn d’approche, il faut compter 2h30 à 3h.
Je ne comprends pas comment les gens peuvent vouloir définir l’alpinisme à partir de la longueur de la marche d’approche.
Si on compte l’approche à partir du refuge, la traversée de la Meije n’est pas de l’alpinisme. Je sais on a fait l’approche la veille mais si on reste plusieurs jours ? Est-ce qu’on divise l’approche par le nombre de courses effectuées depuis le refuge ?
Le couloir Nord (intégral) de l’aiguille de la Bérarde, c’est quoi ? De la rando avec crampons/piolets/corde ? De l’escalade sur neige ?
Si on se débrouille en montant par des vires à Chamois pour ne faire que la moitié supérieur de la Walker de Livet, est-ce que ça devient de l’alpinisme ?
Si on grimpe à la Maye alors que la route est enneigé jusqu’à St-Christophe ?
Posté en tant qu’invité par Claude:
David a écrit:
Points négatifs :
- Concurrence topo
- Ce n’est pas de l’Alpinisme
Pourquoi est-il si important de définir ce qui est de l’alpinisme ou non ? Pourquoi ne voulez vous pas que les grandes voies sportives soient qualifiées d’alpinisme ? Est-ce juste une façon de valoriser l’engagement ?
Posté en tant qu’invité par David:
OK, c’est noté …
L’autre problème, c’est que cette échelle de cotation a été conçue uniquement pour le rocher. Je ne vois pas comment l’utiliser pour la glace, par exemple.
Posté en tant qu’invité par David:
J’ai répondu à ton msg d’en dessous … Celui sur l’échelle Cambon.
Posté en tant qu’invité par Claude:
Ah d’accord.
Je ne voyais pas bien le rapport entre l’approche et le rocher.
A prioiri si on utilise cette échelle pour la glace ou le mixte, on risque d’obtenir beuacoup de *** ou **** mais ce n’est pas forcement génant. Ça peut être intéressant de savoir si les relais sont en place ou si il n’y a vraiment aucun équipement. Dans des goulottes, on trouve parfois des pitons sur le bord pour se proteger dans les longeurs. Il n’est d’ailleurs pas impossible que l’on trouve un jour des goulottes cotées deux étoiles, peut-etre meme une.
Posté en tant qu’invité par Claude:
David a écrit:
Y a-t-il une réelle concurrence avec les topos papiers ? Si
oui, y a-t-il une légitimité à diffuser ce contenu sur
Camptocamp ?
Il est certain qu’il faut répondre à cette question. Ce qui est vraiment intéressant c’est l’avis des équipeurs, sans eux le débat sera forcement creux. Il faudrait trouver comment organiser un débat avec tous les gens concernés.