Au retour évidemment. C’est à dire après l’inspection interne de la conduite forcée Ø 80. Et tu vas voir qu’en plus la vanne de tête va être fuyarde à tous les coups.
Non, pour aller travailler, ça descend, ouf, je devrais être à l’heure.
Pourquoi c'est si dur le vélo, dans un objectif d'écomobilité ?
Réfléchis, réfléchis, il en restera toujours qq chose.
1 Like
Il faudrait demander, ou pas, à ceux montant des pentes de 5-10% à 15 km/h.
Pour ma part, je suis très significativement en-dessous des 10 km/h en vélo taf à la montée sur une pente de 6% de 2 km. A la descente, je peux aller à 60-70 km/h. Libre à toi de réaliser, ou pas, une moyenne et d’y attacher une importance, ou pas.
Même avec un VAE performant, ça commence à être long et va nécessiter une recharge sur place, et être certains de ne pas tomber en panne au retour. Le problème de l’assistance électrique est le bridage à 25 km/h. C’est bien à la montée mais ça rame sur le plat, à comparer d’un vélo performant avec une personne entrainée. Même avec un VAE, il faudra 1h30 - 2h pour faire les 35 km.
Si on est bricoleur et joueur avec son assurance, on peut également monter un moteur électrique non bridé sur un vélo pour atteindre des vitesses de 40-50 km/h, au lieu des 25 km/h maximum d’un VAE. Ca se vend également, cher, mais c’est considéré comme un cyclomoteur, avec donc la réglementation en conséquence (casque, immatriculation, assurance …)
35 c’est très long. VAE c’est bien si tu n’as pas trop de plat (ou en prendre un léger) Avec une batterie 500Ah ça doit passer en aller/retour surtout que tu ne vas pas l’utiliser à l’aller
Si c’est l’aller simple que tu donnes, et que tu veux faire l’aller retour quotidiennement, l’assistance me paraît indispensable. Je faisais moins de la moitié à un moment et c’est quand même costaud même si on s’habitue.
1 Like
Zut ! L’occasion manquée ! 
Je fais A/R 54 km et 500m de D+ avec un VAE. Je ne le fais pas tous les jours, car avec des % important, mon VAE peine au retour, ça se ressent sur le bonhomme. Après en se donnant la peine, avec le VAE et en étant assidu, ça passe crème. 55min aller comme retour.
En vélo sec, le D+ même entrainé, c’est vraiment pas la même !
Pas du tout…
C’est fini (sauf chez quelques irréductibles) l’époque où on gonflait à 8bars des pneus de 19mm sur route.
C’est un vaste sujet et il y a énormément de paramètres qui entrent en jeux dans la pression idéale des pneus mais pour donner un ordre d’idée, avec le matériel moderne en pratique route « sportive », avec pneus de 28mm tubeless, jantes de 21mm de largeur interne pour un mec de 80kg la pression max est de l’ordre de 5,5bars.
Le rendement d’un pneu augmente effectivement avec la pression de gonflage mais ce n’est valable que sur banc d’essai…
Dans la vrai vie même sur des routes avec un revêtement billard, il y a une pression optimale à trouver. En deça on a des pertes de rendement importantes liées à la déformation du pneu, au delà on à des pertes liées aux vibrations transmises au cycliste (ça ne paraît pas mais ça compte) et aux micro-pertes d’adhérence imperceptible pour le cycliste.
L’impression de meilleur rendement avec un pneu surgonflé qui ressort souvent est attribuée à un biais cognitif (sensation de dureté, moins de deformation,…). Des essais en double aveugle ont été effectués et ils ont tous montré que malgré l’impression de meilleur rendement avec pneus surgonflé à cycliste et parcours identique, on est plus rapide avec pneu à pression optimale que pneu surgonflé.
Désolé pour la parenthèse.
6 Likes
Tu as oublié de reprendre le smiley !
Mon propos sont simplement que la plupart des personnes ne savent même pas à combien elles gonflent leurs pneus pour des déplacements quotidiens et ne vérifient pas cela tous les jours. Combien ont une pompe avec mano et vérifie la pression quotidiennement !
Pour ma part, je monte à 8 bars mon vélo taf avec des pneus slick de VTT dont je ne vérifie pas la pression quotidiennement. Ca me permet donc de garantir de rester au-dessus des 5 bars pendant un temps certains. Avec un vélo « lourd », équipé de sacoche parfois pleines, c’est également une garantie qd je monte des trottoirs et que je me ratte.
Ensuite, on peut faire mal aux mouches sur un contre-la-montre avec un vélo à 10 k€. Mais, ce n’est pas vraiment le sujet.
Je gonfle moins les pneus de mon vélo carbone route que les pneus de mon vélo taf. Simplement parce que j’ajuste la pression des pneus du vélo route à chaque sortie.
Tant qu’on ne fait pas exploser son pneu ou sa chambre à air, il n’y aucun inconvénient à gonfler au maximum ses pneus. Il y a surtout l’avantage d’avoir une pression suffisante pour une durée certaine, à fortiori en automne qd la température baisse et que donc la pression ds le pneu baisse en conséquence.
En tous cas
Plus j’pédale moins vite, moins j’arrive plus tôt
Une fois posés les diamètres de roues, les pourcentages de pente et autres circonférences de mollets et volumes pulmonaires…
Peut-être pourrions-nous nous interroger sur ce rapport à la « difficulté » ? Voire à la transpiration ?
Pour moi aussi le vélo c’est dur, je transpire après quelques mètres et sans déniv’, mais c’est ok pour moi de transpirer et d’en chier (plus que d’investir dans du matos qui me permettra de moins souffrir en tout cas…)
Bref, il semblerait que tu aies les éléments techniques pour t’éclairer sur le pourquoi des difficultés rencontrées. Pour le « comment en avoir moins », c’est en pratiquant que ça rentrera, non ?
Avaient-ils pas le même rapport à l’inconfort (et/ou à l’effort utile) que nous ?
4 Likes
Tu n’es pas hors specs ? sur mon VTC c’est noté 4.5max. Sinon j’ai tjs gonflé sans mano (jusqu’à que l’on m’en donne un) et c’est ça le fait bien, sur la même roue je mettais plutôt 2.5bars (avec le mano je mets 3, pas plus je trouve que c’est très dur sur chemin).
Ca mérite réflexion. Profil de pente ?
Mon parcours pour remonter à la maison est de 11km et 650m déniv en 32 minutes avec un VAE en ce moment. Mais c’est raide. Avec la remorque de 40kg, ma batterie de 540Ah passe sans marge (genre reste une barre) si je mets le mode tantqueçapeut sur le parcours précité et le parcours passe en 45 minutes du coup. Précision : je fais 105 Kg et j’ai un très gros phare à l’avant qui prend sur la batterie. Il me semble que ce sera juste sur ton parcours. Si les pentes sont importantes, passer avec un moteur coupleux (genre 85Nm) sera un plus, tu pourras bénéficier d’une meilleure assistance dans le pentes raides. J’ai 70Nm, et je trouve que c’est trop juste dans les pentes les plus raides.
A priori impossible depuis le 1er janvier 2018. Voir la législation à ce sujet. Il faudrait notamment recalculer le cadre et le freinage pour repasser l’homologation propre aux véhicules L1e, ce qui me paraît compliqué. Pour les amoureux de la petite reine au boulot, je conseille : le code du cycliste.
A ce niveau de discussion (Contact pneu/route), je suis étonné que l’on a pas encore parlé du modèle de PACEJKA !
Mec génial, qui a travaillé la dessus pendant des années et qui a pondu une « formule magique » qui marche super bien alors qu’il n’y a pas de physique derrière ! (bon il a mis tellement de paramètres que l’on arrive toujours à caler le modèle).
Allez @mollotof, d’abord tu nous optimises tout ça et ensuite tu pourras acheter ton pain, en transpirant comme tout le monde 
Bon courage !
1 Like
Merci pour l’info. C’est assez logique que la réglementation ait évolué.
In fine, c’est comme pour l’assureur, il faut être joueur et ne pas se faire avoir. 
Il y a des moteurs roues de 1000 W sur Amazon. Sans bridages, ça doit pouvoir monter à 40 - 50 km/h. En cas d’accident, c’est un truc à avoir des gros soucis sans assureurs.
J’imagine que tu étais passé aux freins à disques justement pour ta roue avant et la remorque de 40kg. Ca doit tout de même bien aider le freinage à 25 km/h sous la pluie.
Pourquoi avoir changé les roues ? Largeur des pneus ?
Surtout parceque j’y connaissais rien et que je pensais naïvement que 700 seraient mieux que 26 pouces. Et que j’ai eu accès à des roues avec un hub dynamo pas chères du tout en 700. Finalement, 2 ans plus tard, c’est pas un bon plan :
- les roues sont très souples …
- les axes Qr sont trop souples et les démontages-remontages successifs pour les TGV les endommagent …
- les pneus sont un peu petits pour mes déplacements effectifs depuis 2 ans : pavés, chemins, ville …
- Ca passe juste-juste avec des 32 actuellement et les haubans particuliers des vélos Commençal de début 2000.
Là, comme cadeau de Noel, je cherche à passer en 650b avec un joli hub dynamo et des pneus plus gros … Le tout en plus rigide, axe traversant 12x100 devant (changement de fourche encore) et axe traversant 10x135 arrière.
Bon, c’est que j’aime bricoler les vélo quasi plus que de rouler avec !!! J’ai donc deux vélotaf : un VAE et un musculaire.
Non. C’était mon VTT de 2004 à 2019. Il était déjà passé en freins à disque. C’est quand même plus souple et confortable d’utilisation que des freins sur jantes. Et limite moins cher à l’usage…
1 Like
Au cazou : si ça signifie « t’aurais quand même pu te mettre plus près de ton boulot », la réponse est : non. Quant au développement du pourquoi du comment, je crains l’ouverture d’une longue digression…
Pas grave, c’est un sujet initié par mollotof, on peut le pourrir comme il faut. Il nous le rendra bien (et il nous l’a déjà bien rendu ).
je blague. Remarque … 
3 Likes
alors si on parle que de dénivelé, 800m de dénivelé ça fait une énergie potentielle de 630 000j. Si on compte en kcal, plus souvent utilisé dans le sport, on arrive à 150kcal. Si on compte que le rendement d’un cycliste est de l’ordre de 25%, ça nous fait une dépense énergétique de 600kcal.
Donc sans envisager tout le reste du parcours, on arrive déjà à 1/3 de la dépense énergétique normale d’un homme.
Nous sommes donc sur une dépense énergétique non négligeable, sans être dans l’excessif.
Le dénivelé important ne rend pas trivial le recours à un vélo couché.
Donc soit tu deviens sportif (ça reste une distance faisable surtout si la descente est à l’aller), soit t’envisage le vae, mais tu déppasseras pas les 25km/h sur le plat.
Disons que j’aurais pu te répondre que ça méritait une réflexion bien plus large que les éléments que tu nous indiquais (si on parle seulement du vélo, c’est pas clair si les 35km correspondent à un A/R ou seulement à un A, si tu te rends 5j par semaine au taf…). Mais tu sembles en avoir conscience :
Et désolé, si j’ai interprété ton post comme un brin trollesque (j’ai compris que tu détestais le vélo et que tu avais un boulot physique. me suis je trompé ?). Ta réflexion est peut être très sérieuse !