Posté en tant qu’invité par Paul:
Je cite CSA :
J’ai pris, comme toujours l’arva, enfoui au fond du sac.
Salut, comme ton ARVA ne te sert à rien je te l’achète 20 Euro, pour le reste Je rigole bien.
C’est dommage tu te prive de ce genre de descente:
http://www.eliecarraux.ch/page3/IMG_1842.JPG
Photo que tu peux voir aussi sur:
Alors pour l’ARVA c’est oui…
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par Robert:
J2LH a écrit:
Bof, si le réchauffement peut provoquer des avalanches il
s’agit pour la plupart du temps de coulées peu dangereuses.
On aura tout lu!!! Tu vas en montagne de temps en temps? Tu as vu l’ampleur de certaines avalanches de fonte? Même si elles descendent moins vite, si elle fait 500m de large et que tu es au milieu de la trajectoire, bonne chance et cours vite sans te prendre les pieds dans les raquettes!
Et ne réponds pas que tu as dit la plupart du temps, certaines etc…Quand il fait chaud on ne se balade pas sur ou sous des pentes en soupe sup à 25 30°. Et là non plus ne viens pas chipoter sur les degrés de pente.
Je pense qu’il y a des choses qu’il ne faut pas dire sur un forum, surtout quand on est formateur! Tu vas même jusqu’à dire que c’est une idée reçue, je rêve?
C’est pas la peine de nous concocter des logiciels en 3 couleurs pour nous donner les courses possibles et de raconter des inepties pareilles.
De la même façon qu’il est irresponsable de dire sur un forum que l’on se balade avec l’arva dans le sac! (ça c’est pour CSA). Même si l’ arva n’est évidemment pas un pare avalanches!
Ne
pas croire que l’on prend beaucoup moins de risque en partant
tôt. C’est un peu une idée reçue cette histoire.
Bien sûr avec les conditions de la semaine dernière, neige
béton le matin et soupe l’après-midi, on peut penser que le
risque est beaucoup plus important l’après-midi ce qui n’est
pas faux, il est tellement faible le matin qu’il ne peut être
que plus important l’après-midi.
Je n’ai pas dit qu’il ne fallait pas partir tôt, seulement
qu’on surestimait sans doute l’importance d’un départ tôt pour
ce qui concerne le risque d’avalanche.
Et là le couplet habituel pour essayer d’embrouiller tout le monde: « je l’ai dit mais je l’ai pas dit complètement, vous me comprenez mal, je vais vous réexpliquer… »
Enfin tu l’as dit et écrit ci dessus.
Bon ça y est il m’a encore énervé!
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par J2LH:
Robert a écrit:
On aura tout lu!!!
Tu auras tout lu mais tu n’auras rien compris et surtout pas les nuances. Les avalanches de fonte sont un risque mais parce qu’on a identifié ce risque il ne faut pas en profiter pour le surestimer et ne plus voir que ça.
La semaine dernière c’était le risque le plus important mais ça ne veut pas dire qu’on prenait des risques significatifs à être encore en montagne l’après-midi.
Posté en tant qu’invité par Robert:
J2LH a écrit:
Robert a écrit:
On aura tout lu!!!
Tu auras tout lu mais tu n’auras rien compris et surtout pas
les nuances. Les avalanches de fonte sont un risque mais parce
qu’on a identifié ce risque il ne faut pas en profiter pour le
surestimer et ne plus voir que ça.La semaine dernière c’était le risque le plus important mais ça
ne veut pas dire qu’on prenait des risques significatifs à être
encore en montagne l’après-midi.
…que dis je? l’empereur, le dieu de la nuance…
Posté en tant qu’invité par Hugues:
C’est dommage de laisser l’Arva dans le sac alors qu’il ne pèse pas plus lourd autour de la poitrine. Même si tu ne l’allumes pas, au moins au cas où tu serais surpris (il peut suffire d’une seule fois pour y rester), tu peux peut-être réussir à le brancher en catastrophe alors que s’il est dans le sac…
Sinon, je préfère une position comme la tienne que celle de certains ayatollahs de l’Arva…
Posté en tant qu’invité par levieux:
devant de telles stupidités je n’ai pas voulu reprendre j2lh. et je suis d’accord avec toi robert.
Posté en tant qu’invité par catherine:
Je trouve l’exemple d’Ai@ce, avec l’airbag très approprié et bien parlant !
On n’est pas des casses-cou, et si on pense que ça craint, on n’y va pas.
L’Arva sert en cas d’un accident d’avalanche imprévue.
Même parmi les meilleurs se sont fait prendre, et qui n’étaient pas des « têtes brûlées »…
Je ne sais pas les stats sur les accidents d’avalanche, mais il me semble que ce sont surtout avec des avalanches de plaque : et ça, c’est [b]moins facile [/b] à déceler que le risque de coulée de neige humide en face Sud en plein soleil au printemps !
[b]moins facile[/b] est pour moi un euphémisme…
Je conseille la lecture de :
Prévision des avalanches de plaques : mission impossible ? Duclos A.,
n°84, déc. 1998, pp. 2-10
et plus récent (mais pas en contradiction avec la phrase ci-dessus) :
sur le site d’Alain Duclos
Le déclenchement d’une avalanche de plaque :
une combinaison de quatre mécanismes en série
==> voir la conclusion…
attention à des certitudes du style « Je m’y connais, je prends toutes les précautions, je ne risque rien…Mon Arva, c’est juste pour donner un coup de main pour un secours… »
Posté en tant qu’invité par J2LH:
catherine a écrit:
Je ne sais pas les stats sur les accidents d’avalanche, mais il
me semble que ce sont surtout avec des avalanches de plaque
90% des accidents mais attention quand même, un temps doux peut être à l’origine d’une avalanche de plaque.
Posté en tant qu’invité par Ficellou:
c’est de plus en plus gros
Posté en tant qu’invité par catherine:
ATTENTION !
Je n’ai pas dit que les avalanches de neige humide n’étaient pas dangereuses !l
et on peut très bien se recevoir une belle avalanche de neige humide (ou pas humide, mais declenché par le soleil) alors qu’on randonne sur du quasi plat, à l’ombre, sur de la neige encore gelée…
Il n’y a qu’à voir les belles avalanches qui descendent du rateau vers le vallon du Chatelleret : impressionnant !
Posté en tant qu’invité par Tarasov 1er:
Alors la je crois que le sommet de la stupiditée est bientôt en vue si tu as un arva tu le met et tu l’enclenche point barre.
Posté en tant qu’invité par Chevalier Blanc:
Il est clair qu’un bon nombre de randonneurs sous pretexte qu’ils ont un ARVA tentent le diable, surtout pour les bitos issuent de la « génération ARVA »…c’est à dire les jeunes randonneurs qui dès leur première course pouvaient se permettre de s’offrir un ARVA, élément couteux, peu répandu, et complexe d’utilisation il n’y a ne serait-ce qu’une quinzaine d’années. L’apprentissage de la montagne enneigée sans ARVA, par la force des choses je précise, permet lors de l’acquisition de l’appareil de na pas changer son comportement « prudent », absence d’ARVA oblige. Je rejoins par là la position de CSA quoique lui aussi integriste sur les heures auxquelles doivent se faire les courses. Il est bien evidemment plus difficile d’enquiller une pente raide en neige béton que de se lancer dans le même couloir en poudre avec son ARVA … L’un compte sur sa technique, l’autre sur l’hypothetique stabilité de la pente et la présence de son ARVA…
Posté en tant qu’invité par catherine:
Je me suis posé la question du troll, mais on ne sait jamais…
J’ai vu il y a quelque temps déjà des randonnées où quasi tous les randonneurs à ski étaient équipés, mais pas les randonneurs à raquette !
Posté en tant qu’invité par papayouen:
c’est quoi un troll ?
Posté en tant qu’invité par strider:
papayouen a écrit:
c’est quoi un troll ?
c’est le cousin germain du gobelin et l’ancêtre de l’homme de néanderthal
attention à ne pas le nourrir avec de la trollite!
Posté en tant qu’invité par catherine:
papayouen a écrit:
c’est quoi un troll ?
grâce à wikipedia : définition du troll (internet)
Posté en tant qu’invité par Halibut:
Bonsoir à tous,
Ce débat m’étonne un peu. Je croyais que tout le monde savait à quel point il est primordial de porter son ARVA??!!
Je suis encore en vie grâce non seulement à mon ARVA que je portais comme d’hab quand l’avalanche m’a eu le 10 mars dernier sous le refuge du Mont Vélan, MAIS - et surtout- je suis encore en vie grâce au randonneur en amont qui savait manipuler son propre ARVA. Du coup, bien qu’il ait fait tout comme il faut, j’ai passé dix minutes sous 1m de neige : n’oubliez pas le temps d’enlever les skis parce que vous étiez en train de monter, de redescendre en courant dans la tracée de l’avalanche, le temps de repérer le premier signal bien que vous avez vu où la personne a disparu sous la neige, de préciser le lieu, de sonder, de peller …
Je dois ma vie à cet homme qui a tout fait vite et bien et qui n’a pas cédé à la panique.
Mes seuls conseils: comportez vous bien de façon responsable & « montagnarde », faites demi-tour si vous « ne sentez pas » la course, portez un ARVA, pratiquez régulièrement avec et FORCEZ les gens qui sortent avec vous de s’entraîner avec aussi!!
Mon mari et moi passons souvent pour des gens « hyper sécurit » voire « trop prudents », mais je compte pouvoir faire des randos encore 40 ans… Vous pouvez être aussi prudents que vous voulez, le risque zéro n’existe pas. Avec l’ARVA, nous avons un tout petit chance (et la chance y est pour beaucoup) de plus de s’en sortir si jamais …
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par Boule de neige:
C’est sérieux!
A mon avis, la prestigieuse institution devrait y regarder de plus près… Se passer des contributions d’un spécialiste comme J2LH est navrant!
Posté en tant qu’invité par catherine:
Halibut a écrit:
Je suis encore en vie grâce non seulement à mon ARVA que je
portais comme d’hab quand l’avalanche m’a eu le 10 mars dernier
sous le refuge du Mont Vélan, MAIS - et surtout- je suis encore
en vie grâce au randonneur en amont qui savait manipuler son
propre ARVA.
[…]
Vous pouvez être aussi prudents que vous
voulez, le risque zéro n’existe pas. Avec l’ARVA, nous avons un
tout petit chance (et la chance y est pour beaucoup) de plus de
s’en sortir si jamais …
Merci Halibut pour ce témoignage qui donne plus de poids à tous nos conseils !
de la prudence, bien sûr, mais… au cas où : arva (sur soi en en émission)/pelle/sonde et entraînement au secours.
Posté en tant qu’invité par levieux:
tu parles de l’ ena ou de l anena?
