Pour Gérard

J’ai eu du mal à le concevoir mais il faut bien s’y résoudre, tu es parti en un dernier vol sans retour.
Tant d’heures passées ensemble sur les sites aux alentours de Toulon. Tant de coups de tamponnoir accumulés de concert pour que vivent quelques jolies lignes sur le calcaire de Tropico non loin du Baou.
Je tenais à te rendre hommage ici, toi le compagnon de cordée attentif, attentionné.
Adieu, Gérard.

André Martin