Merci M-A 
@pire : Je pense que François voulait dire qu’une même photo apparait plus belle sur C2C que sur faune-paca.
En tous cas il y a de sacrés clichés sur ces sites faune-…
Par exemple ceux de Aurélien Audevard…
Post à piaf
Aujourd’hui à la maison du Parc des Ecrins à Vallouise c’était la naissance des petites mésanges charbonnières dans le nichoir équipé d’une webcam.
Neuf oeufs à éclore, heureusement pas tous en même temps : ça prend la journée.
Le mâle apportait de la nourriture tandis que la femelle s’occupait des oeufs et des petits.
Il y a eu un moment de flottement lorsque le mâle a apporté le picnique alors que la femelle avait dans le bec 2 gros morceaux de coquille à lui donner pour qu’il les porte loin du nid.
Ça a semblé compliqué à résoudre pour eux ou alors nous avons assisté à une scène de ménage, chacun voulant que son action en cours passe en premier !
Quand je suis partie dans l’après-midi il y avait déjà 4 petits sortis.
Affaire à suivre !
En tous cas c’est sympa à voir en direct sur un écran.
J’avais pas vu mais joli tes photos de rouge gorge!
Pour ma part, une petite photo de chocard:
J’adore ces oiseaux, je pourrais les regarder voler pendant des heures! D’ailleurs pour cette photo j’ai attendu une vingtaine de minutes, et pour la suivante j’avais une idée très précise en tête, j’ai poireauté et fait des essais pendant plus de 45’ mais sans réel succès. Les deux-là se rapproche de ce que je voulais mais pas tout à fait:
(Un photographe me dira: mais c’est pa beaucoup 45’! Oui sauf que j’étais pas là-haut particulièrement pour faire des photos 
:lol: )
Perfectionniste ?
ça dépend pour quoi Mais là ouais j’avais une idée précise en tête, va savoir pourquoi!
Super sympa tes photos de chouca, Sangria. Les sommets enneigés sont magnifiques.
Ce n’est pas facile de prendre en photo un oiseau en vol et l’environnement, avec un beau cadrage pour l’environnement.
Les oiseaux ne se placent pas forcément à l’endroit rêvé !
Bravo pour ta patience
En effet j’ai pu remarquer Mais j’aime tellement les voir virevolter en l’air, jouer avec les courants, etc. 
Même s’ils passent pas toujours où on veut niveau cadrage :lol:
C’était samedi, chez la famille, toujours aussi bon vos Reblochons.
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Bonjour,
Une rencontre unique je crois : en randonnant le long du Loing (Grez sur Loing) j’ai été en contact pendant 2 heures avec un « Petit Chevalier » de la famille des Echassiers, il est resté sur la rive pendant plus de 2 heures à un même endroit pendant qu’on se baignait (il cherchait des petits molusques avec son long bec), attitude très spéciale : vraiment pas farouche, il est originaire du Canada et si on le trouve en France c’est qu’il s’est perdu lors de sa migration vers le sud ( Amerique / sud), je posterai des photos bientôt.
Oui montre-nous les photos pour en savoir plus
Je ne m’y connais pas trop en limicoles, mais celui de tes photos me fait penser à un bécasseau variable.
Qu’en pensent les spécialistes ?
Oui; j’étais très sceptique en lisant qu’il pouvait s’agir d’un chevalier venant du Canada (quelles sont les raisons de cette précision ?), ce n’est pas un chevalier mais bien un bécasseau, variable comme l’a dit catherine (avec la prudence habituelle concernant une identification sur photo);et je précise que c’est un oiseau né cette année et en train d’acquérir son plumage d’hiver.
Merci Pierre pour la confirmation, je n’étais pas sûre.
J’aimerais avoir une clé d’identification simple ou du moins quelques astuces pour déterminer un limicole.
Ma seule ressource sur le terrain c’est le guide ornitho en comparant les pattes, le bec…
Le guide ornitho est un bon début; il y a d’autres bouquins valables, mais c’est vraiment pour ceux qui s’intéressent de près à la question. Les limicoles c’est vraiment galère, les oiseaux se ressemblent et comme il y a les plumages juvénile, hivernal, nuptial et tous les intermédiaires sans parler des fluctuations individuelles il faut du temps, de la patience et une doc fournie pour être performant. Mais on peut aussi se contenter de connaître « en gros » les espèces communes. Les trois gravelots habituels, les bécasseaux et les chevaliers classiques c’est déjà pas mal. Il n’ y a pas de clé simple, mais ta démarche est bonne; déjà le bec (longueur, épaisseur, forme) et les pattes (couleur, structure) ça oriente bien (quoique avec les variables méfiance au niveau bec). Si l’oiseau est seul c’est difficile mais s’il y en a d’autres à côté on peut comparer les tailles. Un truc pas évident mais utile c’est la longueur des ailes fermées par rapport à la queue (projection primaire visible ou pas). Pense aussi au sourcil et essaye de mémoriser le « port » de l’oiseau et son comportement (prospecte-t-il à toute vitesse ou calmement, préfère-t-il s’envoler ou partir en courant lorsqu’il est inquiet ?) Mais je t’avertis, si tu plonges là-dedans, tu vas t’arracher les cheveux
Merci Pierre pour tes astuces.
Bon je tiens à mes cheveux, je ne plongerai sans doute pas trop profond.
un coup de main pour m’aider à l’identifier ?
C’est un traquet motteux
Merci !
Posé au sol, il faisait des mouvements d’ailes répétitifs, les abaissant ~à la verticale de ses pattes (comme sur la photo, voire encore plus prononcé), ou les redressant dans l’alignement de sa queue. Est-ce caractéristique de l’espèce, ou bien serait-ce une particularité de celui-ci ?