Post à insectes... et autres petites bestioles

Hier, sur le sentier entre Ailefroide et le Pré de Madame Carle, tout plein de jolis criquets, tous plutôt de petite taille, vifs, sautant dans tous les sens.
Sauf celui-ci, de couleur rouille, faisant je pense plus que 4cm, et très cool :slight_smile:
Je vais chercher son identification.


.

Petite rando hier en versant sud vers le Rocher Pointu (Vallouise). Quelques chardons encore en fleur, butinés par de rares insectes dont surtout ces beaux pépères de bourdons Cul-blanc.



Une Scolie


Une Zygène à col rouge

Très grosse… sphynx du liseron ? (dans les vignes de Chateauneuf)


Les timarches (mon insecte préféré je crois, il est marrant) s’activent…

1 Like

Belle grande chenille :heart_eyes: je pense aussi du sphinx du liseron.
Le papillon (de nuit), de ce sphinx, est grand et beau aussi, et butine en vol stationnaire avec une trompe déroulante de 10 à 15 cm !

Un grand criquet aux yeux rayés.
À priori un criquet égyptien.


__

1 Like

Es-tu allée en Égypte pour le voir ? :wink:

1 Like

En Ardèche nord :wink:
Avec le réchauffement climatique, certaines bestioles remontent pour retrouver une certaine fraîcheur.
D’autres sont apportés via les importations d’Asie :
Aujourd’hui, en rando LPO à Annonay, j’ai découvert un nid de frelons asiatiques dans un grand cèdre :scream_cat:

1 Like

On le trouve dans le midi : un cette semaine à Orange. Et c’est pas la première fois.

1 Like

J’en ai vu un hier aux Glyphes

1 Like

c’est où les Glyphes ?

Résumé

Hier aux Glyphes —> hiéroglyphes

:joy:

Je découvre que les syrphes ceinturés migrent en automne

1 Like

j’avais pas mon tel sur moi et j’étais en train de grimper donc j’aurais pas pu faire de photo. mais un papillon avec le dessous jaune/vert pâle, et le dessus du même jaune/vert et 2 grosses taches oranges vif. Une idée de ce que c’est ?
Edith, google a trouvé.
C’est un citron de Provence (Gonepteryx cleopatra ).
C’est courant en Novembre dans l’agglo grenobloise ?

Une liste rouge des abeilles sauvages en Isère va être élaborée
Elle a pour but de

  • connaitre le statut de conservation des différentes espèces d’abeilles
  • identifier les espèces les plus menacées et prioritaires
  • Proposer des mesures de conservation
  • Sensibiliser et mobiliser les acteurs des territoires sur l’importance de la conservation des abeilles sauvages et des territoires.
    Une action menée dans la Métropole de Grenoble et en lsère par le Club entomologique ROSALIA en collaboration avec ARTHROPOLOGIA

Des ateliers et sortie sur le terrain sont proposés pour apprendre à les reconnaître.
j’ai été étonnée que les ateliers utilisent « l’épinglage » : ça se fait toujours de tuer ces insectes et de les épingler pour mieux les étudier et apprendre à les reconnaître ?

ça m’insupporte. Dans quelques cas je peux comprendre, mais 9 fois sur 10 c’est aberrant. la plupart des entomo te diront que non mais c’est la même chose que ce qu’on faisait autrefois pour les oiseaux et pour eux ça a changé pas pour les insectes. Avec les moyens modernes d’identification (photos hyper précises) ça devrait être banni, au moins pour les espèces identifiables sans les genitalia. L’exemple le plus dingue que je connais c’est un syrphe hyper rarissime trouvé dans le haut verdon, comme c’était la seule obs connue, qu’est-ce qu’on a fait ? on l’a tué puis épinglé, ça c’est une idée qu’elle est bonne, maintenant on peut observer un syrphe mort, ça fait vachement avancer la science…

1 Like

Ce n’est pas possible de capturer une abeille, l’endormir (avec du froid par exemple), pour la photographier, l’observer…
Je ne sais plus pour quel insecte, les chercheurs lui prélevaient un petit morceau (sur une patte je crois) pour identifier son adn.
Puis le relâchaient

Pas besoin d’endormir : dans une boite de Petri avec le matos moderne tu peux la photographier sous toutes les coutures avant de la relâcher. Et les tuer, sur le plan pédagogique… :roll_eyes: :roll_eyes:

Ça me rappelle une anecdote. J’ai toujours été fasciné par la nature sous tous ses angles. Gamin, j’avais trouvé une chenille de sphinx de l’euphorbe. J’étais émerveillé. Je l’avais nourris, couvé. Elle avait chrisalidé, elle était devenu papillon et je l’ai aussitôt flingué pour la garder dans ma collection.
Quelle horreur!
Avec du recul, je me demande pourquoi je ne trouvais pas ça anormal et pourquoi mes parents me laissaient ‹ ‹ jouer › › comme ça avec du vivant sans réagir.

2 Likes

Parce que c’était une autre époque, le « vivant » non humain était considéré comme inférieur, moins important, et aussi pas en danger car se renouvelant naturellement ?
Bien sûr que nous avons fait des erreurs dans le passé. Le plus important est de le comprendre et de ne plus les faire maintenant.

Bernard

1 Like