Position de rappel en S + nostalgie

Dans les années 70, il y avait deux vestes « must ».
La veste rouge « Pierre Leroux » avec porte-marteau en cuir et sangle pour passer le baudrier torse ou la corde directement.
La veste orange ou grise « Yannick Seigneur » fabriquée par Rog(g)é qui eut plus de succès que la Leroux.
Question rappel en S, il y avait des combines avec anneaux de sangle ou cordelette pour éviter de se cramer les cuisses. Il me semble en avoir déjà parlé. Par contre, pour les épaules et le cou, fallait bien faire gaffe ! Mais à l’époque, on ne faisait pas non plus des séries de rappels de 50 m !
Ah oui, et aussi question autoblocant, on n’en mettait pas, ce qui évitait pas mal de discussions…

Je viens d’éditer le titre de la file…

Parfois c’était chaud…; Je me souviens d’une descente aux bans par la voie Reynier de la face sud où le rappel du bas de la face était en fil d’araignée pour passer la rimaye. Rappel en S à l’époque et cheveux lons (on était dans les 70’s). Gros avantage les cheveux longs, c’est long . Et ça dépasse du casque. Et ça part n’importe où. Et n’importe où ce fut entre les deux brins. Et quand tu n’as pas de prussik, que tu as besoin des deux mains et tu as les tiffs entortillés dans la corde c’est …comment dire … inoubliable !!

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Dans le même genre d’idée vous avez aussi la technique du système sud africain…pour ceux qui ne le connaîtraient pas :wink:

Cojones, por favor :laughing:

Celui-là ?

Oui par exemple. Avec cette technique tu es mieux équilibré mais le frottement est plus important…

Notre ami Tintin ne sait pas prendre le rappel

tintin

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Et pourtant…


PS :

@Jeannot66

Était-ce à Goslar ?
(edit : goslar 2)

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là ça a l’air bon!

C’était dans la vallée de la Moselle, prés de Nancy, nous étions cantonnés au CEC de Pont St Vincent et la formation escalade se déroulait sur des falaises, il me semble au dessus du canal latéral à la Moselle. L’endroit s’appelait Lévèque ou Marron ? le site servait également d’entrainement au CAF local.

C’était Marron. Site très fréquenté dans les années 60-75 par les nancéiens. Après, je ne sais pourquoi, beaucoup moins.