Posté en tant qu’invité par cédric:
Alors, y a de la matière dans ce message !!
feufeu a écrit:
Effectivement les forces de l’ordre couvrent tout le territoire
au même titre que les pompiers. Sache que dans les zones
montagnes elle sont converte par les PGHM et PGM mais aussi par
des groupes montagnes gendarmerie qui ont la technicité pour ce
déplacer en zone de montagne et il sont secouristes pas tout a
fait comme toi ( de part ton expèrience au quotidien) mais
CFAPCE et DSA à jour de leur recyclage.
Hors des zones montagnes, il existe également des gendarmes
formés montagnes dés lors qu’il existe des zones à consonence
montagne.
Je ne doute pas que les gendarmes sachent marcher en montagne…
Je ne doute pas qu’ils soient effectivement secouristes aussi (j’entends par secouriste, diplômé; après l’utilisation de ces connaissances dans des circonstances relevant des premiers secours, perso, en + de 10 ans de pompiers sur un secteur gendarmerie, j’ai jamais vu un gendarme masser un ACR à notre arrivé…)
Pour les SP, ils existent de même des SP « formés montagne » (initié, certifié ou breveté) dans les secteurs de moyenne montagne, même s’ils ne participent pas forcément à l’équipe de secours. Cette formation leur permet de connaitre les pratiques, les besoins et le domaine de compétence des SMO pour juger de leur déclenchement ultérieur si cela n’a pas été fait de suite et pour aider si necessaire aux tâches annexes.
Par pour toi cédric mais pour certains autres, je rapelle que
la mission première de la gendarmerie est la protection des
personnes et des biens.
De même, je rappelle que celle des SP est la protection des personnes, des biens et d l’environnement.
Ainsi n’est gendarme que celui qui sort de stage avec à minima
la formation de base en secourisme.
De plus je rapelle que les missions de secours sur la route
était au départ devolue à ces mêmes gedarmes, que la protection
sur les plages et sur les pistes de ski également. Vu le nombre
d’inter et le nombre de personnel ses missions ont été laissées
à d’autre depuis l’après guerre pour la route et depuis une
petite trentaine d’années pour les pistes et les plages (
quoique que depuis un tout petit peu moins pour les plages
année 90)
Bref tout ça pour vous dire que la place du gendarme secouriste
n’est pas usurpée.
Ne parlons pas vraiment de système de secours pour avant 1940 (j’aurais même tendance à dire pour avant 1970), le système de l’époque se rapprochant plutôt à un ramassage très sommaire pour aller à l’hopital, les forces de l’ordre jouant le rôle de « bouche trous ».
Dès que le système de secours s’est structuré, les SP ont pris la place du secouriste.
Mais l’historique du secourisme en France n’est pas le sujet, encore qu’une approche historique permette de comprendre le pourquoi du comment.
C’est un devoir de service public que de devoir secourir nos
concitoyens qui est inscrit dans la constitution.
Le problème n’est pas de savoir qui fait quoi, le problème est
de garder un service public cohérent efficace et gratuit.
Pour ça, messieur ouvrez les yeux car les lois amenants les
privatisations arrivent à grand pas CF loie du 27 fevrier 2002
art 54.
Là, y a pas photos, le front est commun contre la privatisation des secours.
Attention également à ne pas devier dans les facturations faite
par le CDIS suite à l’emploie d’organisme privé exterieur à
l’issue des secours spécifiques. (Cédric soyez vigilant là
dessus, je ne parle pas des moyens également engagé parfois
inutilement, par les préfectures, sous la pression médiatique.)
Par contre, je ne comprend pas bien ce que tu veux dire par cette phrase. Peux tu expliciter ??
Les SDIS ne facturent que ds moyens privés mis à sa disposition par les plans de secours. Il ne s’agit donc pas d’un problème propre aux SDIS, mais aux moyens que l’on met à leurs dispositions…
Je pense que là si certain d’entre-vous n’étais pas au courrent
ils devraient concentrer leur effort sur la gratuité des
secours à personnes et non savoir qui va prendre la place de
qui dans un système qui fonctionne et que le monde nous envie.
Tout à fait, ce qui est vrai pour les uns est vrai pour les autres aussi.