Petites précision

Posté en tant qu’invité par goethe:

Vous allez peut être pouvoir m’expliquer comment on peut faire une voie a vue avec les dégaines posées… il y a un larbin qui monte les poser pendant que le « perfeur » tourne la tête ?

… c’est une question existentielle que je me pose rarement, mais régulièrement (lors de chaque occasionnel feuilletage de magazine)… un peu comme certaines magnifiques photos d’ascension en solitaire…

Posté en tant qu’invité par J2LH:

M@t a écrit:

Après, on mousquetonne pour ne pas tomber par terre, pas pour
rajouter de la difficulté. Tu mousquetonnes les points que tu
veux, ça ne changera pas la cotation.

Donc si tu ne mousquetonnes rien tu ne changes pas la cotation, d’où ma question sur la moulinette avec du mou. Bon, je te taquine…

Après, si tu changes les règles du jeu, les cotations ne
veulent plus rien dire.

Justement, en compétition les règles veulent que tu mousquetonnes tous les points.

Posté en tant qu’invité par J2LH:

goethe a écrit:

Vous allez peut être pouvoir m’expliquer comment on peut faire
une voie a vue avec les dégaines posées… il y a un larbin qui
monte les poser pendant que le « perfeur » tourne la tête ?

Oui

Posté en tant qu’invité par cisa:

Bien vu pour « face », je ne relis pas toujours mes posts. Donc les puristes auront remplacé par « fasse ».

Bon ceci étant dit venons en au sujet. Je n’utilise jamais le mot « paires » pour désigner des dégaines. Il est possible que celui-ci soit utilisé, mais c’est très rares et je me pose des questions sur l’origine de cette appellation. Je ne l’ai jamais vu dans aucun écrit consacré à l’escalade. Mais bien sur je ne lis pas tout. Est-ce un effet de mode ou tout simplement une façon de parler in … ?

Ceci dit ,si tu veux appeler un « chat » un « cheval », c’est toi que celà regarde, ne viens pas te plaindre si tu n’es pas toujours compris.

@+

Posté en tant qu’invité par Christophe M.:

Arrêtez de vous prendre la tête pour des conneries.
L’ appellation du matériel varit selon les régions.
En savoie, effectivement, on dit souvant " des paires ". Une paire de mousquetons quoi !
Rien à voir avec une expression " in " comme tu dis Cisa.

Posté en tant qu’invité par J2LH:

cisa a écrit:

Bon ceci étant dit venons en au sujet. Je n’utilise jamais le
mot « paires » pour désigner des dégaines. Il est possible que
celui-ci soit utilisé, mais c’est très rares

Comme Christophe je pense que ça dépend des régions, ici (74) c’est courant.

Posté en tant qu’invité par J.Marc:

goethe a écrit:

Vous allez peut être pouvoir m’expliquer comment on peut faire
une voie a vue avec les dégaines posées… il y a un larbin qui
monte les poser pendant que le « perfeur » tourne la tête ?

Exact. Ou parfois, les dégaines sont à demeure.

Posté en tant qu’invité par cisa:

Jamais vu écrit, mais bon si c’est utilisé pourquoi pas ?

Posté en tant qu’invité par J.Marc:

cisa a écrit:

Bon ceci étant dit venons en au sujet. Je n’utilise jamais le
mot « paires » pour désigner des dégaines. Il est possible que
celui-ci soit utilisé, mais c’est très rares et je me pose des
questions sur l’origine de cette appellation.

J’ai remarqué que les grimpeurs de 7/8 disaient plutôt paires, ceux de 5/6 dégaines.
Voilà, c’était ma modeste contribution à ce débat éthymologique…

Posté en tant qu’invité par Charles:

C’est sans doute qu’il vaut mieux avoir de bonnes paires pour aller dans le 8. Dans le 6 faute de paires, on essaye d’avoir au moins la dégaine pour ne pas passer pour des brêles

Posté en tant qu’invité par BorisG:

Allons allons, faut pas s’emballer comme ça, pourquoi parler de larbin ?
Je t’explique une configuration type:
Ca ne t’arrive jamais de grimper avec 4 ou 5 amis en même temps, il n’y en a jamais un, la gueule enrayonnée de bonheur qui vient te dire: "je viens de faire une voie d’anthologie ! tu veux l’essayer à vue, j’ai déjà posé les paires (ha ha, Cisa, on dit ça partout) ???
Pour moi, ça n’a rien d’un larbin, mais tout d’un ami.

goethe a écrit:

Vous allez peut être pouvoir m’expliquer comment on peut faire
une voie a vue avec les dégaines posées… il y a un larbin qui
monte les poser pendant que le « perfeur » tourne la tête ?

… c’est une question existentielle que je me pose rarement,
mais régulièrement (lors de chaque occasionnel feuilletage de
magazine)… un peu comme certaines magnifiques photos
d’ascension en solitaire…

Posté en tant qu’invité par Nukem:

J.Marc a écrit:

J’ajouterais que pour « 1er essai », il me semble que c’est une
spécificité française, et qu’ailleurs, on parlerait de 2ème
essai, mais ça demande à être confirmé.

J’ai bien l’impression que c’est franco-français comme délire. Les anglais ou les allemands avec qui je grimpe se fendraient bien la gueule si je leur expliquais ça …

Posté en tant qu’invité par M@t:

Le comptage des essais, c’est un peu le bordel, c’est clair. J’en ai déjà vu passer 3 jours dans une voie pour comprendre les pas, essayer plusieurs méthodes, et le 4° jour, ils disent qu’ils vont faire un premier essai. Ca me fait bien marrer.

Posté en tant qu’invité par Christophe M.:

M@t a écrit:

J’en ai déjà vu passer 3 jours dans une voie pour comprendre
les pas, essayer plusieurs méthodes, et le 4° jour, ils disent
qu’ils vont faire un premier essai. Ca me fait bien marrer.

Exact !
Alors quand dans Grimper tu lis : untel a fait un 8c+ au 1er essai, c’ est peut être vrai, mais sûrement faux !
Perso, je pense que tu fais un éssai à chaque fois que tu vas dans une voie ( après l’ hypothétique " à vue" ).

Posté en tant qu’invité par goethe:

Moi ça ne m’arrive pas souvent, mais effectivement vu sous cet angle là ça peut arriver à l’occasion…

Mais en fait ça peut donner une super excuse pour regarder la minette qui grimpe dans la voie d’a coté… et ne pas surveiller son grimpeur :
« Non, non, je matte pas… mais tu comprends si je regarde mon premier, ça ne sera plus un « a vue » quand je la ferai mais fulgaire flash kouuua ! »