Pas beaucoup de femmes guides

Qu’est ce que tu croyais miss!! Les comportements changent à la vitesses des hommes (et des femmes). Il faut compter en génération. Par ailleurs, on n’obtient rien sans rien. La personne acceptant de rester au foyer pour élever les gosses le veut bien. En France et en 2009, si la personne refuse cette situation, il suffit de partir et de trouver un autre partenaire dont les pratiques lui conviennent mieux. C’est tout et ce n’est pas plus compliqué. On peut également vivre seul, ne pas faire de gamins etc. La vie n’est pas belle !!!
Dans une cordée en montagne, il y a 2 types de partenaires : ceux qui vont au charbon et ceux qui n’y vont pas. Que le partenaire pisse debout ou assis n’est vraiment pas un problème.

Par ailleurs, les propos globaux sur les valeurs féminines sont à pisser de rire (assis et debout). Demandez donc à des femmes du Mossad si elles se désintéressent de

Demandez donc à Thatcher ! Si on n’accepte pas le risque ou qu’on ne souhaite pas se dépasser, il est effectivement préférable de ne pas faire de la montagne, encore moins d’être en tête de cordée, sans même parler d’exercer un métier ayant un taux de mortalité nettement supérieure à la moyenne.

Posté en tant qu’invité par Simpleguide:

[quote=« Mouloud, id: 901085, post:61, topic:88981 »]

Qu’est ce que tu croyais miss!! Les comportements changent à la vitesses des hommes (et des femmes). Il faut compter en génération. Par ailleurs, on n’obtient rien sans rien. La personne acceptant de rester au foyer pour élever les gosses le veut bien. En France et en 2009, si la personne refuse cette situation, il suffit de partir et de trouver un autre partenaire dont les pratiques lui conviennent mieux. C’est tout et ce n’est pas plus compliqué. On peut également vivre seul, ne pas faire de gamins etc. La vie n’est pas belle !!!
Dans une cordée en montagne, il y a 2 types de partenaires : ceux qui vont au charbon et ceux qui n’y vont pas. Que le partenaire pisse debout ou assis n’est vraiment pas un problème.

Par ailleurs, les propos globaux sur les valeurs féminines sont à pisser de rire (assis et debout). Demandez donc à des femmes du Mossad si elles se désintéressent de

Demandez donc à Thatcher ! Si on n’accepte pas le risque ou qu’on ne souhaite pas se dépasser, il est effectivement préférable de ne pas faire de la montagne, encore moins d’être en tête de cordée, sans même parler d’exercer un métier ayant un taux de mortalité nettement supérieure à la moyenne.[/quote]
***** Le problème avec les nanas qui se dépassent (et même certaines autres)… c’est qu’elles me dépassent :lol: .
***** Un taux de mortalité supérieur à la moyenne… au travail. Néanmoins, le taux de joie de vivre est lui aussi supérieur à la moyenne :slight_smile: .

[quote=« Simpleguide, id: 901216, post:62, topic:88981 »]***** Le problème avec les nanas qui se dépassent (et même certaines autres)… c’est qu’elles me dépassent :lol: .
***** Un taux de mortalité supérieur à la moyenne… au travail. Néanmoins, le taux de joie de vivre est lui aussi supérieur à la moyenne :slight_smile: .[/quote]

Ca c’est mignon ça…

Salut à tous,

C’est marrant ces forums, dès que j’ai cinq minute, j’aime bien y polémiquer …

Concernant cette assertion, je suis bien d’accord avec la randonneuz, même si j’en suis un parfait contre-exemple. Cela à toujours été un grand sujet de discorde à la maison. Hormis le nettoyage du sol, des vitres and so on pour lequel je n’ai pas d’avis particulier. En ce qui concerne la vaisselle, je suis toujours tombé sur des femmes prétendant pouvoir faire plusieurs choses en même temps et me laissant de la bouffe entre les dents des fourchettes, des femmes ne maitrisant pas la machine à laver, ses cycles et ses températures, des femmes ne pigeant en rien la physique de l’étendage des vêtements pour ne pas qu’ils se déforment et gagner cinq minutes au pliage, … En gros, au bout d’un mois, je préfère tout faire. Oui, je suis machiste.`

Concernant le sujet en cours, il se trouve que je connaissais bien, à une époque, une femme ayant réussi le proba du guide. Il est évident qu’elle avait des capacités physiques élevées, un moral d’acier et une rusticité hallucinante. Maintenant, pour passer la barrière du probatoire qui n’est axé que sur le physique et le caractère gymnique de la chose, elle a du s’affuter un max, voire limite au-delà du raisonnable … Ce qui veut dire que sa capacité de récup’ et sa capacité à souffrir à l’effort en était amoindri … Et qu’elle n’avait pas une marge énorme vis-à-vis des blessures ! Même si c’est moi qui me suis blessé à l’entrainement une fois avec elle ! :confused: mais nous n’avions pas la même intensité de sollicitation physique journalière à cette époque, et puis moi, je n’ai jamais réussi :frowning: ce qui prouve que j’étais en deçà de son niveau (et de celui du proba par la même occasion).

Pour avoir fait des choses vraiment longues (genre bien au-delà de vingt heures, voire trois ou quatre fois plus sur des choses pas physiques) soit au travail, soit en montagne, j’ai l’impression (mais ce n’est qu’une impression sans fondement scientifiquement prouvé) que les femmes supportent mieux mentalement et moralement la fatigue, les hommes supportent mieux physiquement et physiologiquement la fatigue. Après, qu’est-ce qu’il vaut le mieux, je ne saurais répondre.

Alexis.

[quote=« Alexis, id: 902814, post:64, topic:88981 »]j’ai l’impression (mais ce n’est qu’une impression sans fondement scientifiquement prouvé) que les femmes supportent mieux mentalement et moralement la fatigue, les hommes supportent mieux physiquement et physiologiquement la fatigue. Après, qu’est-ce qu’il vaut le mieux, je ne saurais répondre.

Alexis.[/quote]

oui c’est probablement vrai ce que tu dis. Et toujours dans l’idée de recentrer le sujet sur les femmes guides, mais en digressant sur les femmes pompiers et autres sauveteurs secouristes ou pilotes de mirage ou autre métier ultra-macho et ultra-masculins, toute la question, tu l’as bien posée, c’est « qu’est-ce qui vaut le mieux » : je pense que c’est la collaboration entre les deux, point.
C’est la richesse de la mixité que ces milieux n’ont pas encore intégrée.
Les gros pompiers velus avec des gros biceps te prouveront toujours qu’une femme ne peut pas faire ci ou ça, ils oublient de préciser ce qu’elles peuvent apporter au métier, toujours dans l’esprit de collaboration.
Une femme-guide n’aura pas forcément toujours à moufler un client de 100kg hors d’un mauvais pas, elle pourra sans doute aussi bien (ou mieux ?) qu’un mec, tirer la cordée d’un mauvais pas avec son mental, son sang-froid sa technique etc… d’où la grosse connerie de ne baser les tests de proba que majoritairement sur le physique (même s’il doit être irréprochable, ça va de soi)
En ce qui me concerne j’ai travaillé au pétrole, autre métier hautement masculin, et après ces années à me côtoyer mes collègues ont intégré certaines pratiques qui permettaient de pallier à un physique forcément moindre, et ils s’en portaient très bien, ils étaient même plutôt contents d’économiser leur dos, leurs muscles et le reste en utilisant un peu de jugeotte : je ne dis pas que les mecs sont plus cons, parce que je crois qu’il y a stricte égalité dans ce domaine, mais simplement que lorsqu’ils ont le choix ils foncent tête baissée vers les solutions les plus faciles : le physique, l’immédiat.
Voilà voilà, et vive les super-macho qui font la vaisselle (moi j’ai rien contre, plutôt tout-contre…)

En tout cas je dis chapeau bas à Sarah pour avoir réussi là où beaucoup d’homme ont échoué!