Non parce que on a l’impression que personne n’aime les stations.
Alors ok pour les raser, mais comment apprendre à skier sans?
Non parce que on a l’impression que personne n’aime les stations.
Alors ok pour les raser, mais comment apprendre à skier sans?
En station, à 3-4 ans. Je sais, ça ne se voit pas. Et ça m’amuse toujours, sauf les attentes aux remontées, les bolides sur les pistes, et les gaz d’échappement sur les parkings. Mais j’assume.
mais savoir skier sera t’il utile encore longtemps ? s’il n’y a plus de neige …
bon, je ne suis pas totalement contre les stations, mais l’inflation actuelle de l’immobilier en montagne, surtout pour les résidences secondaires, me parait totalement déraisonnable
A Font Romeu, puis Chamrousse, puis les Arcs, Tignes, La plagne, la Rosière, etc… J’avais 4 ans.
J’apprend toujours, d’ailleurs
À la station des Monts d’Olmes en Ariège.
A la maison, bon il faut dire que ma maison c’était une gare de téléphérique j’avais juste à descendre les escaliers et prendre la benne.
On a essayé de m’apprendre, mais bon ca marche pas, rien a faire c’est pas pour moi les godiots en plastoc tordu.
La premiere fois c’etait aux Karellis, je suis monté dans le télésiege avec au moins 2g, déchiré de chez déchiré, j’avais jamais mis de ski au pied
En station, en 1973 (classe de neige !) puis 1983 (stage UCPA).
Je n’ai découvert le ski de rando que bien plus tard (2006).
Ben j’ai appris à 29 ans avec des patinettes que mon frère m’avait donné.
Le premier tire cul m’a envoyé, brouter la neige, j’en avais jusque dans les oreilles.
Ensuite, ça été gamelles sur gamelles mes potes se relayaient pour m’accompagner, ils faisaient 2 descentes pendant que j’en faisais une.
En fin de matinée ils en ont eu marre. Il m’ont largués chez les pioupious, et j’ai passé l’après midi avec des gosses de 4 ans qui avait plus de style et de technique que moi.
Quand ils sont venu me récupérer, je leur ai dit tout content « je sais m’arrêter , je vais vous montrer » et là ça été le plus beaux stricke de toute ma carrière.
Je suis rentré avec des hématomes, et dans la voiture j’ai dormi comme un bébé qui aurait été boxé pendant 15 rounds par Mike Tyson .
Sur la montagne, en ski de rando.
Je vous expliquerai les détails en une autre occasion, maintenant je m’en vaaaaaaiiiiiiiiiiiiisssssssssssss !!!
Ciao tutti !!!
Et bonnes fêtes !!!
Bon alors 4 qui se la racontent.
Et un qui a appris en dehors de station et de la pratique du ski de rando, peut être en ski nautique?
dans le massif du caroux,d’ailleurs la réhabilitation prévoit un télésiege(colombiéres/orb-lafage)avec station intermédiaire aux crétes d’arles
l’idée premiéres etait de faire de l’escalade-ski
bon je vous accorde que les progressions sont trés lentes(condition météo oblige),mais c’est la meilleure des écoles
Bon alors 4 qui se la racontent.
Disons qu’à 10 ans, je n’étais pas autonome et indépendant financièrement. D’où l’obligation malheureuse de suivre tous les week-ends mes parents en station. Sinon, tu penses bien, j’aurais appris en ridant direct sur les pentes de la Montagne Noire. Mais on ne fait pas toujours ce que l’on veut…
Je compatis tu as dû avoir une enfance difficile.
c’est possible de commencer direct par du ski de rando ?
En station, dans le massif central, j’ai commencé par ski de fond puis alpin…jamais pris de cours…et j’ai arrêté depuis pour préserver mes genoux.
Je ne savais pas que le ski de fond ça comptait
Sinon j’aurais répondu « en station » ; je me suis abstenue, trop tard !
Bon. Connexion rapide depuis l’aéroport.
ben oui. Pourquoi ça ne serait pas possible.
Il faut être prêt à se casser la gueule souvent, c’est tout.
Mais en apprenant en piste j’imagine que on se casse la gueule souvent aussi, et sur du dur! Au moins en montagne ça fait moins de mal.
Après c’est sûr que la progression est moins lente, parce que on fait moins de déniv négatif.
Ton copain a décidé de ne pas rentrer ?
Moi j’ai commencé à la Clusaz, une station très complète pour apprendre… au début je galérais un max pendant 2 jours, puis déclic le 3ième jour, plus aucune chute du séjour…et aujourd’hui presque jamais en piste du moins, et sans prendre des vitesses de compétition (je n’en ai pas la prétention du moins)
en rando c’est une autre paire de manche mais ça dépend de la qualité de la neige. J’ai pas mal chuté au début, maintenant c’est assez rare, 2 ou 3 gamelles pour saisons tout au plus. Mais je tente pas le diable.
oui, c’est tout à fait possible…m’enfin on gagnera à compléter par du ski en station pour plusieurs raisons.
Beaucoup de gens ont fait cette démarche, en faisant notamment du hors piste interstitiel et du bord de piste, en ne se focalisant que sur la descente, ils ont pu travaillé la technique…et progresser…alors qu’en rando la descente est très réduite (1/4 du temps en général), on la commence souvent entamé par la montée aussi.
Aussi avec un bon matos d’alpin et en piste, c’est un autre genre de ski que la rando, mais c’est aussi très technique si on envoie, et très intéressant sportivement parlant.
C’est un peu comme le vélo de route (« alpin ») et le VTT (« rando »)
En rando, à moins de trimballer des enclumes (et encore…) le matos est incomparablement moins bon pour la descente, que ce soit en piste ou hors piste : rien de tel qu’une bonne paire freeride équilibrée, souvent assez lourde pour de la rando, ainsi qu’une paire de godasse alpin bien rigide, bien précise, bien confortable et avec un flex progressif et des appuis répartis sur toute la longueur du pied.
Certains skirandonneurs se gargarisent de dire que leur matos aurait des qualités comparables à celui du matos alpin, d’ailleurs les marques parfois ne se privent pas de le scander, comme argument commercial, mais bien souvent, ce sont des gens qui font uniquement de la randonnée, donc ils n’ont pas le comparatif !!!
Et même avec le progrès actuel : c’est l’équation insoluble de faire du matos qui tient la route en montée, suffisamment léger pour que ce soit du plaisir, avec un débattement efficace et qui aurait les mêmes caractéristiques que l’alpin en descente.
Là c’est un peu le mirage du carbone qui soit disant serait la « solution miracle » : ces chaussures outre qu’elles sont très chères, restent faites avant tout pour la montée, elles sont souvent pas assez inclinées, le flex progressif on peut en reparler, sans parler du confort très spartiate…Bref, elles sont clairement faites pour l’efficacité en montée, et pour la compèt.
D’ailleurs si les chaussures carbone de rando étaient un miracle, ça ferait longtemps qu’elles seraient adoptées en alpin.
Moi j’ai du plaisir de temps en temps à skier en station et je le dis sans tabou… Je reviens généralement aussi fatigué qu’une bonne rando en général, à force d’enchaîner les descentes.
Moralité, la rando, pour moi c’est vraiment le plaisir de monter…et quand je veux m’éclater vraiment en descente, je sors mon matos freeride en station (en privilégiant les hors-pistes interstitiels, ou bords de pistes…voir les hors pistes si les conditions le permettent…) mais je suis sur que j’avais un matos très taillé piste, j’aurais également du plaisir à faire que de la seule piste en station.
Croix-fry !