Posté en tant qu’invité par ni D, ni M.:
Chers amis, je trouve cette conversation assez riche et variée. Et finalement, assez consensuelle.
Simplement, et c’est bien sûr ce qui rend l’affaire intéressante, personne ne parle vraiment de la même chose.
Prenez Octave … nous savons désormais sans nul doute quelle est la marque de ses sous- vêtements – cf son post n°11 et son post n°30.(Hé, l’Octave, tu perds du blé, tu devrais te faire sponsoriser, sans déc’ !).
Il a bien sûr raison : cette façon horripilante de coller un truc en « ing » sur des manières de faire tout à fait anciennes, pour faire « mode », et « grave dans le mouve, kôa » est franchement insupportable.
Mais je peux encore renchérir sur son « mouleburnerunning » : il serait encore plus tendance d’associer deux mots d’origine anglo saxonne !
Par exemple : imaginons un couple se formant sur l’UTBM. Comment appeler ça autrement que du speed-dating-running » ? Hein, hein, comment ?
P’tain, l’Octave, on tient un Koncept, là … Tu ne crois pas qu’ avant qu’on nous le pique, nous devrions contacter viterunning les héritiers de ce monsieur Dassler,?
Par ailleurs : pour les sponsors …
Je ne crois pas avoir lu une intervention qui jugeât cette affaire choquante ou scandaleuse, franchement. Cela permet à quelques athlètes de vivre plutôt bien –on l’espère pour eux ! Quoi que d’une manière bien dangereuse, il me semble, sur ce coup-là.
Je ne vois pas là matière à scandale.
La question que j’avais cru comprendre au départ concernait le sens de la vidéo proposée.
Je me suis livré à un petit calcul. Il y a une image que nous voyons 4750fois dans la vidéo (3‘ 10, 25 images par sec).
Nous ne voyons qu’une seule fois –une seule ! toutes les autres …
C’est à dire qu’une image représentant le logo d’une marque commerciale est quatre-mille-sept-cent cinquante fois plus prégnante que n’importe quelle autre.
Donc : quel est le sens de ce qui nous est proposé ?
Je souscris totalement à l’expression de vref du « détournement d’images », c’est-à-dire que ce que nous voyons N’EST PAS ce que nous regardons.
Ce que l’on en fait, de ce détournement de sens, qu’on s’en accommode ou qu’on s’en scandalise, qu’on le trouve normal ou bien pervers n’est plus qu’une affaire de jugement personnel.
Chacun son histoire, après tout … ses obsessions, ses fantasmes, ses peurs ou ses convictions.
Mais je trouve qu’il serait dommage de ne pas le voir.