Posté en tant qu’invité par Eric:
Au final c’est assez soft et c’est une voie historique…
Posté en tant qu’invité par Eric:
Au final c’est assez soft et c’est une voie historique…
Posté en tant qu’invité par claudio:
moins drôle que tout ce qui suit, sans hésiter : Treblinka, au Cimaï.
Je ne sais pas si cette voie a été débaptisée, depuis son ouverture dans les années 80. Si ce n’est pas le cas, c’est inquiétant pour la communauté des grimpeurs.
claudio
Posté en tant qu’invité par tomtom:
La question est:
Pourquoi niveller systematiquement par le bas? Pour que les abrutis(mais non je vise personne!) qui ne savent pas écrire français comprennent? Je suis pas d’accord!
Posté en tant qu’invité par tomtom:
Et toi tu connais le français?ben ça se voit pas!
Posté en tant qu’invité par tomtom:
mais non! en dagobertien soeur s’écrit seur!
ceci dit moi aussi à 4 ans je fesait plein de fautes, c’est normal!
par contre je grimpais pas dans le 8!!!
précoce ce dag’!
lol!
Posté en tant qu’invité par octave:
Moi,je grimpe du 4 c en tête et ça va bien faire rire tout le monde
Posté en tant qu’invité par tomy:
« Partouze a la française » ravin d’urrio a Sare a faire sur le balcon du deuxiéme relais, mais attention a pas étre trop nombreux.
Posté en tant qu’invité par tomtom:
ben faut savoir hein, une partouze a pas nombreux c’est nul et pis… ça peut être dangereux hein!
Posté en tant qu’invité par Pascal:
Et juste à côté et pas mal non plus : « les files sales du métier »
Posté en tant qu’invité par prof choron:
érection pestilentielle, très connu… (je sais pas comment ça s’écrit et j’ai pas de dico sous la main, alors pas de linchage les agrégés de lettre, merci…)
Posté en tant qu’invité par octave:
Pas de souci !
Posté en tant qu’invité par Popol:
Au-dessus du camping d’Ailefroide, dans les contreforts du Pelvoux, se trouve une voie sympathique; une dizaine de longueurs bien équipées en 4+/5. C’est aussi la voie la plus facile et la plus fréquentée du secteur.
Je n’ai pas le topo en main; je l’ai déjà lu, il y a longtemps, mais je me rappelle que l’itinéraire y est évident. La descente s’effectue en rappel.
On peut d’ailleurs y voir, chaque jour de beau temps, de nombreuses cordées à l’oeuvre.
Afin d’éviter l’affluence nous partons de très bonne heure. Il fait à peine jour lorsque nous attaquons la première longueur dans la pénombre. L’escalade est fort agréable et les longueurs s’enchaînent rapidement. Nous sommes seuls dans la voie. Le soleil vient nous caresser alors que nous sommes dans la quatrième ou cinquième longueur; c’est là que nous gravissons les plus beaux passages. C’est du pur plaisir. Nous sommes au milieu de la matinée et nous arrivons bientôt tout en haut. En cette période de canicule, nous sommes bien contents de resdescendre de bonne heure; cela nous permettra de faire la sieste à l’ombre cette après-midi. On boit un coup puis on commence la descente en rappel. Celle-ci se déroule sur une grande dalle à droite de la voie de montée. C’est du moins ce que nous pensons.
Nous enchaînons trois ou quatre rappels. Je cherche le prochain relais; plus loin à gauche j’en vois un. C’est tout bon. Le nom de la voie est peint à côte des spits. Ca s’appelle « NO! ».
Un peu idiot le nom de la voie. Nous sommes à la partie inférieure de la grande dalle que nous avons descendue et qui forme un surplomb qui nous cache ce qui se passe en dessous.
C’est bizarre, les points d’ancrage ne sont pas reliés. Pour ce faire, je noue une cordelette. J’installe le rappel et commence à descendre. J’arrive bientôt sur un pan de rocher raide et délité.
Rien que de poser les pieds dessus j’ai déjà fait tomber des pierres d’une taille suffisante pour écrabouiller un casque. Je continue prudemment la descente. Plus bas une étroite vire encombrée de broussailles qui piquent. Je ne m’y attarde pas. Je vais bientôt arriver au bout des cinquante mètres. Voici un bon becquet, j’y installe une cordelette qui servira de relais. Ma compagne me rejoint. En rappelant la corde je fais de nouveau tomber une brouette de pierres; heureusement, nous ne sommes pas dans l’axe. La chance est avec nous car la corde n’est pas allée se nouer sur les broussailles de la vire supérieure comme je le craignais. Un dernier rappel nous amène sur une vire qui conduit à un sentier tout proche.
Une cordée que nous n’avions pas vue est en train de monter au départ d’une voie dans la dalle que nous avons descendue. Ils débouchent à notre niveau.
Le premier me fait remarquer qu’on pourrait faire attention à ne pas balancer des pierres.
En fait, ils étaient juste en dessous de moi quand je faisais malencontreusement du ménage dans la voie, et ils ont eu de la chance de ne pas être touchés. Je grommelle des excuses.
Puis tout s’éclaire dans ma tête !
Ce n’est pas le nom de la voie « NO! » qui est idiot !
C’est moi qui suis idiot !
Et d’ailleurs « NO! » n’est pas le nom de la voie !
On accède à cette voie uniquement en rappel et l’inscription « NO! » indique qu’on arrive au départ. Il ne faut pas descendre plus bas, c’est dangereux !
Ce jour là j’ai remercié le ciel de n’avoir blessé personne.
Dorénavant, en grande voie, j’emporte toujours une photocopie du topo.
La descente en rappel dessinée dans le descriptif passe dans un dièdre, loin d’où nous étions.
Posté en tant qu’invité par Fara:
Je fréquentai le Cimaï dans les années 80 et ceux de cette époque peuvent affirmer que Denis GARNIER a ouvert et baptisé ses magnifiques voies que sont Treblinka et Sobibor… justement pour que le monde n’oublie pas!
Si tu connaissais Denis Garnier (et sa compagne) tu aurais sans doute un peu honte de porter ce jugement de crétin (déjà porté il y a qq années par un abruti dans une revue).
Juger les choses au premier degré c’est être un gros naze Claudio et penser que taire les choses est la meilleure attitude une option de Jesuite!
Posté en tant qu’invité par Dagobert:
Comme tjs tu n’accepte pas l’avis des autres.C’est vrai FARA tu es un homme tres egocentrique.(tous le monde à ds défauts)
Tu aimes parler de toi,raconter tes histoires mais avant de faire cela il faut parfois écouter les autres.
Mais heuresement qu’il ya des gens comme toi sinon on aurai rien a raconté.
Mise à part cela je pense que tu es une personnes assez juste et que tues vraiment passioné par ce que tu fais.
Je voulais savoir,ds une vie d’ouvreur une ouvre pas simplement que des belles lignes.
Je voulais donc savoir si c’était toi qui avait ouvert « MAXI BOUZE » à neuville.
Amicalement
Posté en tant qu’invité par Thosber:
J’avais oublié à Céüse:
Bouze de 12.
et pour Octave : monsieur et madame Ergebelle ont un fils, comment l’appellent-il?
Pour le Blavet, j’ai le topo mais je n’arrive pas à y mettre la main dessus, rien que la lecture vaut le détour.
A+
Thosber
Posté en tant qu’invité par eric b1:
J’ai un faible pour « paniquer rend sourd » de B. Fara aux dentelles …
Posté en tant qu’invité par gouape:
…Tu es un peu sévère concernant l’article de la revue(Rockn’Wall je crois), qui posait juste la question de savoir si l’on pouvait mélanger travail de mémoire et l’aspect fondamentalement ludique de l’escalade…Le débat était resté ouvert à l’issue de cet article, ou l’ouvreur était d’ailleurs interviewé pour faire valoir son point de vue, non dénué de cohérence d’ailleurs…
…Mais c’est vrai que çà avait allumé cher dans le courrier des lecteurs…D’ailleurs dans un autre style, je te « renvoie » à Desproges, féroce concernant le film de Resnais « Hiroshima mon amour », dont il se proposait de faire un remake sous le titre « Auschwitz mon chou »!!
…En définitive, débat difficile à trancher, même si personnellement je penche plus pour une maladresse qu’autre chose…
Salut. Fara a écrit:
Je fréquentai le Cimaï dans les années 80 et ceux de cette
époque peuvent affirmer que Denis GARNIER a ouvert et baptisé
ses magnifiques voies que sont Treblinka et Sobibor…
justement pour que le monde n’oublie pas!
Si tu connaissais Denis Garnier (et sa compagne) tu aurais sans
doute un peu honte de porter ce jugement de crétin (déjà porté
il y a qq années par un abruti dans une revue).
Juger les choses au premier degré c’est être un gros naze
Claudio et penser que taire les choses est la meilleure
attitude une option de Jesuite!
Posté en tant qu’invité par octave:
Je donne ma langue au chat
Posté en tant qu’invité par claudio:
Heureux d’apprendre que l’appelation de « ces magnifiques voies que sont treblinka et sobibor » (dixit Fara) ne va pas sans poser problèmes.
Il y a quand même quelque chose que je ne comprends pas, Fara : comment expliques-tu, puisqu’« il ne faut pas prendre les choses au premier degré », que Denis Garnier ait baptisé ces voies ainsi « pour que le monde n’oublie pas » ? C’est contradictoire.
Soit c’est du premier degré effectivement, et dans ce cas le reproche que tu me fais est injustifié. La question que je me pose alors est de savoir si le fait de grimper ces magnifiques voies s’accorde bien avec la mémoire de la Shoah. Je pense franchement que non, et qu’il serait un peu déplacé de le croire - mieux vaut méditer les neuf heures du film de Claude Lanzmann, les récits de Primo Levi ou de Raul Hilberg, que Denis Garnier doit connaître d’ailleurs.
Soit - plus grave - c’est du second degré, et alors et alors… cela signifierait quoi au juste ? Que Treblinka et Sobibor (les voies du Cimaï), c’est dur ? Qu’à chaque fois qu’on fait un truc un peu dur, on pourrait dire « c’est Sobibor », comme à une certaine époque ça faisait bien de dire « c’est Beyrouth » en rentrant dans une pièce en désordre ? Cela, c’est faire n’importe quoi non seulement avec le langage, qui nous autorise quand même bien des libertés et des fantaisies (voir ce catalogue des « noms de voies les plus idiots », quand même bien cocasse), mais surtout avec les réalités qu’il nomme. C’est, peut-être en « jésuite », ce que j’avais compris de l’idée de Garnier.
Apparemment, ces noms de voies sont donc plutôt une maladresse à prendre au premier degré, comme des « gros nazes ».
claudio
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par Fara:
Je ne pense pas que refuser de mentionner Adolf (ou les camps) dans les manuels d’histoire change l’histoire … et même de le présenter tel qu’il était avec ses défauts (facile) et ses qualités (comme tout homme … il en avait, et particulièrement en politique pour entraîner une immense partie du peuple allemand… voire une partie des Français dans son sillage).
Je provoque c’est vrai … mais c’est une réalité!
Treblinka est un nom de voie (comme Sobibor) qui permet sans doute aussi de savoir ce qu’était Treblinka car j’ai bien peur qu’à l’exception d’Auschwitz … peu de grimpeurs le savaient!
De toute façon il y a dans ton accusation un premier niveau critiquable c’est que tu portes un jugement sans avoir connaissance des motivations de Denis GARNIER (un mec très très loin justement de l’extrême droite) et un second navrant …proposer de débaptiser une voie, parceque son nom te choque.
Mais bon la liberté c’est aussi un forum où chacun à le droit de s’exprimer … même Dagobert… et que même il me félicite (là j’ai un peu la honte :-)) SVP Dagobert ne dit pas du bien de moi…