Selon moi, Il y a une grande différence entre Naturalist et c2c, c’est que les données de Naturalist sont vérifiables par un expert (reconnaître une espèce avec des photos). Sur c2c, lorsqu’un contributeur rentre une sortie ou un itinéraire, il y a tout un tas d’informations non vérifiable à moins de soit même connaître l’itinéraire, voir y avoir été le jour même. On est obligé de faire confiance, et une modération à priori n’est pas possible. En particulier, cela rendrait moralement la modération responsable de la véracité d’ informations qu’elle ne peut pas vérifier.
La fiabilité du contenu vient de la multiplicité des contributeurs, qui corrigent avec toute la puissance du collaboratif. L’indice de fiabilité est sûrement le nombre de sorties associées, indiquant le nombre de personnes ayant vérifié les infos. Il faudrait que tout le monde ait bien en tête que les informations ne sont pas toutes objectives ou correctes (par exemple si erreur de parcours par un contributeur). A noter que le problème est le même pour les topo papier : dans les guides du Haut Dauphiné, il y a bien trop d’itinéraires pour qu’ils soient parcouru par les auteurs (comme dit dans la préface). Il faut donc faire confiance à des infos de seconde main, et sur les itinéraires moins classiques on peut avoir des surprises (je parle de but labande).
D’où l’importance de rentrer des sorties même peu complètes pour valider un descriptif.
Ce n’est que mon avis.