Meilleurs réseaux de téléphonie mobile en zones isolées

Pour les antennes orange oui. Mais quid des f-contact installées par d’autres opérateurs ? Et quid du débit ?

Les F-Contact marchent avec Sosh.

J’y suis depuis 7 ou 8 ans, aucun problème. Pour le service client, j’en sais rien, j’en ai jamais eu besoin!

Toutes ?

Si c’est une antenne Bouygues partagée f-contact ça marche ?

Ça, j’en ai aucune idée, je sais que je suis déjà passé des F-contact (c’est marqué sur mon tel) pour sms/appels.

Après, où c’était et pas qui elles ont été installées, je n’en sais fichtrement rien.

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Pour ma part j’ai jamais vu de f-contact sur mon téléphone, j’ai toujours été sur le réseau Orange (en étant abonné Sosh). Quand je parlais en montagne je pensais plus aux vallées sans villages, en effet à Ailefroide, La bérarde etc ça passe très bien de même que dans le centre de la France plus perdu (Creuse, Lot notamment ou j’ai eu l’occasion d’aller assez régulièrement). J’aime bien aussi la connexion avec les opérateurs étrangers en limite de frontière, avec de la data inclue dans le forfait on dépasse pas et ça assure d’avoir du réseau à l’étranger.

Ils en ont de ces questions les Alpins!

Dans les Pyrénées, je mets le mode avion, et je compte pas avoir de réseau. De 1, c’est peu probable. De 2, je m’en fou.

Blablabli blablabla pour prévenir les secours. Ben j’essaye de faire en sorte de pas en avoir besoin et si j’en ai besoin, je croise les doigts.

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Je n’ai pas parlé de secours. mais de pouvoir être joignable et pouvoir joindre mes potes. Quand je suis au fin fond du Trièves par exemple…
Ceci dit, pour m’être déjà planté en montagne, j’étais bien content d’avoir joint les secours rapidement. Même s’ils on mis deux bonnes heures pour arriver et encore quatre heures pour me descendre jusqu’a l’hosto :wink: .

quel rapport ? Sans data ou avec un vieux nokia3310 en 2G on n’aurait pas de réseau téléphonique ?

Déjà cet été il n’y avait plus un pet de réseau pour les abonnés Free à la Bérarde, alors que pendant quelques années on avait la 3G, voire 4G. Après c’était pas vraiment désagréable non plus…

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Pour nous, c’est clair: excepté si on est près d’une station de ski, on ne captera pas (un peu plus de chances côté espagnol) et même dans les vallées profondes où il y a quelques habitants permanents, faut pas rêver non plus!

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question bête, quand on change d’opérateur (en demandant à garder son numéro de téléphone), comment ça se passe la migration ? On reste un certain temps sans téléphone (entre le moment où l’ancien opérateur désactive la ligne et le moment ou le nouveau active la sienne et où on récupère la sim) ?

non les deux se chevauchent, tu peux activer la nouvelle ligne avant que l’ancienne soit désactivée, dès que tu reçois la carte SIM (3 ou 4 jours)

Je suis passé récemment de Sosh (orange) à Free, car d’un coup je captais très mal les réseaux voire pas du tout avec Sosh, de manière inexpliquée (ou du moins leur SAV n’a pas pu me l’expliquer).
Ma femme est resté chez Sosh et n’a pas de problèmes.
J’ai pas encore fait d’étude comparé de la couverture réseau entre les deux, d’façon en Suisse les deux ont des accords avec Swisscom.

Il est possible que les opérateurs favorisent leurs propres abonnés et font passer ensuite les opérateurs virtuels avec lesquels ils ont des accords. Même quand c’est la même boîte au final (soh/orange). Avec le même téléphone, tu auras plus de réseau/débit avec un abonnement Bouygues qu’avec un abonnement NRJ MobileNRJ Mobile.

https://monreseaumobile.arcep.fr/

(mais ça ne marche que pour les « vrais » opérateurs).

et ça reste de la modélisation - mieux vaut ne pas parier sa vie là-dessus.

« En vrai », par rapport à cette carte de couverture et qualité, on a des surprises bonnes ou mauvaises.

Perso, je ne parie pas ma vie sur la couverture réseau, mais sur ma capacité à sortir de la voie :wink:

C’est un argument fréquent de qui veut planter des antennes dans les coins un peu jolis donc touristiques donc fréquentés donc accidenteux : « oui mais pour appeler les secours si jamais blablabla » :grimacing:
Je me demande si ça a vraiment tant sauvé de montagnards que ça, en plus d’attirer en ces lieux des « pinpins en tongs » capables de se coller au ravin en voulant livestreamer un selfie vidéo.

bah je pense quand même que la grande majorité des sauvetages en montagne sont à la base signalés par un appel téléphonique depuis un portable.

Le pigeon voyageur ou les signaux de fumée sont peut-être encore utilisés dans certains coins je ne sais pas.

Avec le développement des téléphones/balises satellitaires, les coins isolés sans réseau ne le sont plus vraiment non plus.

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Grande majorité pourquoi pas, mais avant de mailler des étendues sauvages « au cas où » ça demanderait à être quantifié (via les archives), les lieux d’accidents couverts par GSM - par opposition à ceux où il fallait galoper 30 minutes jusqu’au col ou refuge voisin pour déclencher des secours urgents.

Et évaluer ça en regard de l’évolution de fréquentation (en nombre, et en pratiques) - pour vérifier s’il est plus économe en vies et moyens d’attirer des myriades de casse-cou dans une montagne « où ça capte », ou au contraire former/désinciter les casse-cou et s’économiser quelques antennes.

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C’est étrange comme point de vue.
Tu voudrais dire qu’en ne mettant volontairement pas d’antennes, les gens vont avoir peur de ne pas pouvoir alerter les secours s’ils font une sortie et donc ils ne vont pas y aller ?

Je dois dire que personnellement le fait qu’il y ait du réseau ou pas quelque part n’entre pas en ligne de compte dans le choix d’une sortie…

Bon dans tous les cas ceux qui ont peur de ne pas avoir de réseau, ils prennent un Garmin Inreach et la question est réglée.

Pas seulement « les antennes », mais tout l’aménagement en amont contribuant à inciter (pour des raisons nobles - sport, enviro - ou moins nobles - manne financière) des gens peu formés à s’aventurer dans un environnement qui reste dangereux. En se reposant de façon accrue sur les secours/antennes en aval.

Quand je lis cet article, la petite phrase « L’après-Covid a conduit beaucoup de néophytes sur les sentiers. Résultat : 1 secours sur 3 consiste à retrouver des marcheurs indemnes, mais égarés. » a de quoi interroger : y avait-il autant de personnes égarées à aller remettre sur le sentier avant-Covid ou il y a « 20 ans » ? Quel(s) éventuel(s) (dé)couplage entre évolution des pratiquants, évolution des aménagements, évolution des accidents ? À mon avis, tout ne coule pas de source.

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