Oui, vive la liberté d’expression, vive la liberté de rire.
Chacun doit rester libre, d’appliquer, ou pas, ce que Desproges explique : ont peut rire de tout, même de choses horribles, à condition de pouvoir en rire avec ceux qui sont victimes de ces choses horribles. C’est aussi ce qu’il dit dans sa formule : « il vaut mieux rire d’Auschwitz avec un juif que de jouer au scrabble avec Klaus Barbie ».
Mais encore une fois, chacun reste libre d’adopter ce principe ou non, dans le choix de noms de voies ou ailleurs.
Et chacun doit rester libre de discuter de l’humour des autres, aussi.