C’est le coup classique de la phrase ou du bout de phrase extrait de son contexte.
Les noms de voies devraient ils être plus réfléchis ?
Ca rappelle la polémique sur le livre « dix petits nègres » (titre Français) qui a été renommé « ils étaient dix ».
Le livre « Génération Offensée : De la police de la culture à la police de la pensée » de Caroline Fourest parle de ces aspects, (pas le meilleur de Caroline Fourest, mais intéressant !)
2 Likes
For the record.
Les féministes (aka « wokistes guerrières ») ce sont des harpies mal baisées ?
2 Likes
Peut-être qu’il y a une relève feministe qui ne connaît pas bien ses classiques, et qui peine à reconstituer ce contexte?
La famille des violes, qui a dominé la vie musicale européenne dès le XVe siècle, se distingue de celle des violons principalement par le nombre des cordes (six et non quatre, en boyau), la présence de frettes divisant la touche comme sur le luth ou la guitare, la tenue de l’instrument sur ou entre les genoux (d’où le terme italien viola da gamba (prononcé : [ˈvjɔːla da ˈɡamba]) par opposition à la viola da braccio) et la tenue de l’archet, qui permet de modifier la tension des crins.
Quant aux violons…
Il faut voir la globalité et le contexte , sinon on fait comme à propos de cette exposition, on confond une partie isolée avec la totalité et on ne prend pas en compte les intentions, il ne s’agit pas de faire l’éloge de la pédophilie, mais de dénoncer des crimes de guerre :
https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/pedocriminalite-qui-veut-censurer-247470
Il y aussi le secteur « Raclure » à Ailefroide
J-C Rufin explique dans « Les flammes de pierre » que lors du développement de l’escalade sportive il y a eu une tendance à donner des noms avec des nuances de dérision ou de moquerie, peut-être par réaction avec un supposé esprit plus sérieux de l’alpinisme précédent.
Exactement, et ça va à l’encontre du but recherché. Avant on pensait « livre » et maintenant, avec le changement de titre, on pense « nègre », mot politiquement incorrect. D’ailleurs, il n’est pas dans les mots proposés par mon correcteur.
1 Like
Fréquent quand on baigne dans les statistiques - le monde anglo-saxon utilise chance/probability/odds/likelyhood sans qu’il y ait de notion de luck/lucky.
Empêcher l’emploi du mot viol en escalade pourquoi pas, mais si on interdit ‹ chance(s) › en stats ça va devenir compliqué : 9 malchances sur 10 qu’il faille réécrire tous les manuels.
Bon de toute façon le problème va vite être réglé vue que pour les d’jeunes maintenant les voies se nomment la 4c, la 6a, à droite de la 7a … ou pire la rouge, la verte.
Les noms de voies à connotation sexuelle ou autre ne posent pas de problème lorsque c’est clairement expliqué dans les topos ( et toc +1 pour un vrai topo) mais pour cela il faut bien connaitre la falaise et son historique pour faire un vrai topo (et toc +1 pour les auteurs de vrais topos)
Mais pourquoi cette voie s’appelle « la patte folle » ? par exemple.
Mouais bof . S’il faut expliquer tous les noms de voies ça va plus être des topos mais des annuaires.
Y a rien à expliquer dans un nom de voie . Si tu ne comprends pas , tu t’en réfères à la liberté d’expression , à la culture escalade et au respect de celui qui nomme.
Du moins il n’y a pas à se justifier pour un nom de voie . Une. notion que Kascade a donné au dessus c’est les noms à caractère très personnel . Comme « résilience » par exemple , une voie d’un pote . Ce n’est pas un mot à faire frémir un wokiste mais pour l’auteur cette résilience qu’il a eut la chance d’atteindre renvoie à une période de sa vie plutôt sombre que je n’aurais pas envie de lire . J’ai quelques noms dans ce thème , qui me sont très personnel et qui renvoient à quelques vacheries que j’ai vécu et qui marquent une époque de ma vie .
Pour le fameux Viol de nuit , dont on connait maintenant le ressort de création, cela aurait pu être aussi cette forme de résilience à marquer un nom qui fait référence à une période sombre de la vie de l’auteur . Je pose mon nom personnel au grand public et cela me permet d’atteindre cette résilience .
Grâce à la censure bien pensante , certains empêchent cela .
(Le « tu » employé s’adresse à tout le monde )
5 Likes
Comme pour le titre du film de 68, ça dépend de quand a été donné le nom de la voie (@K.ascade tu peux nous éclairer ?).
Je ne suis pas pour effacer ou modifier les oeuvres du passé mais donné ce type de nom à l’époque post metoo, c’est louper un truc.
Et pour @jflh, le problème ce n’est pas la connotation sexuelle !
Bref amalgamer à cette histoire différentes époques (C’est peut être pour dire que c’était mieux avant ? ) et les jeux de mots à connotation sexuelle ou caca prout, c’est à mon sens ne pas comprendre le problème si ce n’est vouloir le noyer.
(et je ne parle même pas de ceux qui voudraient faire croire à un autre sens du mot « viol » ou à un potentiel slogan féministe tronqué).
1 Like
on est bien d’accord, je me suis mal exprimé
Ca aurait pu car le président du club avant Laurent, s’appelle Laurent !
Le site a d’abord été équipé vers 1992, puis fermé (je ne sais pas trop en quelle année), puis à nouveau autorisé en 2022 avec l’ouverture de nouvelles voies (17 avant puis 30 maintenant) à priori. J’ai compris que cette voie faisait partie des nouvelles, mais je ne suis pas sûre non plus.
Ou passer complètement à côté, le mec était dans son délire de vol (chute) dans une voie obscure (de nuit) et a penser au sentier sombre (?)
Louper un truc, quoi 
Pour moi, il a choisi la bonne porte de sortie à cette affaire et il n’est nullement nécessaire de crier à la censure des jeux de mots pourris, sur le fait qu’on ne peut plus rien dire, que c’était mieux avant, que le wokiste fémististe nous font chier…
désolé j;ai du mal m’exprimer; je suis fermement contre toutes forme de censure, j’ai déposé des noms de voies " a la con" et toujours avec une ou plusieurs ( bonnes) raisons… et la notion de chance dont parlait LaBique,ma rappelé une amie très proche qui a eu cette " chance" , d’où ma réaction surement trop simple…mais viscérale…
Tu as raison, j’ai écrit trop vite mon message, l’emploi de guillemets comme tu l’as fait aurait été préférable…
Ce débat est pathétique
Merci les modérateurs qui élève le débat
Vive les noms de voies pourri et l’humour , vive la liberté
Pierre Desproges disait qu’on pouvez rire de tout mais que rire avec tout le monde c’est dur.
M… aux grognons
Pas exactement.
Et pour faire rire avec 3 mots, il faut un certain génie 
« Vive la Liberté ! » même si quand on creuse il est évident que le concept revêt une certaine dualité et donc des limites.
Pourquoi pathétique (mot qu’on met à toutes les sauces). Explique.
Oui, vive la liberté d’expression, vive la liberté de rire.
Chacun doit rester libre, d’appliquer, ou pas, ce que Desproges explique : ont peut rire de tout, même de choses horribles, à condition de pouvoir en rire avec ceux qui sont victimes de ces choses horribles. C’est aussi ce qu’il dit dans sa formule : « il vaut mieux rire d’Auschwitz avec un juif que de jouer au scrabble avec Klaus Barbie ».
Mais encore une fois, chacun reste libre d’adopter ce principe ou non, dans le choix de noms de voies ou ailleurs.
Et chacun doit rester libre de discuter de l’humour des autres, aussi.
2 Likes
Attention: les modérateurs qui sont intervenus dans cette discussion l’ont fait à titre personnel.
Il n’y a eu aucun besoin ou justification pour que nous intervenions en tant que modérateurs car les discussion sont restées tout à correctes quelques soient les désaccords importants entre les intervenants et c’est déjà une réussite de la part de tous sur ce point.
7 Likes