Les Longueurs : présentation sous forme de tableau [TUTO]

Tout cela est possible.
Voir l’aide sur la mise en forme des longueurs.

Le dièdre de l’Orchis a été ouvert par Gérad (je crois…) Durou et Christian Sébie.

Par ailleurs, j’ai reçu un mp pour « intervenir » (ou parce que j’ai rédigé des erreurs ??) sur ce fil, par Borut. Quelqu’un peut m’expliquer pourquoi ?

Comme tous les contributeurs du site, puisque Borut nous a lancé un appel collectif dans ce post : Les Longueurs : présentation sous forme de tableau [TUTO]
:wink:

Merci, c’est ce que je voulais.

Désolé, mais je ne comprends pas toujours pas complètement…
Il faudrait qu’on corrige les erreurs de typo, de police, d’autres contributeurs ? mais on n’est pas modo, on n’a pas les droits…
Ou alors c’est autre chose ?

1 Like

Pour les itinéraires, tout est collaboratif, c’est à dire que n’importe qui qui a un compte sur camptocamp.org a des droits pour faire des modifications, qui peuvent être de fond si on connaît l’itinéraire ou s’il y a une erreur manifeste, ou de forme (orthographe…) dans n’importe quel cas.

2 Likes

Hello Circus,

C’est un appel aux bonnes volontés

Le sujet pointé par Borut (Vérifications automatiques) liste les contributions remontés par le robot sur lesquelles un check, voir une correction.

Et sur le topoguide (itinéraires, points de passages…) tu peux directement corriger si tu vois une erreur, pas besoin d’etre modo. Et plus on est de fous, plus le boulot est fait efficacement :slight_smile:

edit grillé par @tintin

1 Like

Perso, j’aime bien faire des mises en forme de L#. Cela me permet, en ce faisant, de suivre les itinéraires plus en détail (en + vrai, quoi :smile:).

Les Longueurs [tuto]

Pour décrire les longueurs sous forme de tableau, on utilise la balise L# (et le pipe |)

Code :

L# | 6a | 30 m | blabla
L# | 5c | 35 m | bla
L# | 6a+ | 30 m | blablabla

Rendu :


Pour créer un tel tableau, appuyer sur l’outil # qui se trouve dans la barre d’outils du champ description.

On obtient :

Puis il faut remplacer par vos infos…


Voir aussi l’aide sur la mise en forme des longueurs.

(edit : mef)

Pour les cotations à l’ancienne mieux vaut laisser tel quel . La correspondance est très variable en fonction des massifs/voies.
Le IV peut aller jusqu’au 5b et le IV+ quasi 5c . Quant au V on a souvent affaire a du 5c/6a.
Bref, la cotation montagne indique aussi aux repetiteurs qu’il s’engage dans quelque chose de flou, douteux , qui est difficilement mesurable par le biais d’une cotation escalade sportive.
Pour moi, elle indique souvent une escalade en grosse, avec sac plus ou moins lourd. De plus, he be connais pas trop de montagnards qui s’amusent à coter et se souvenir de chaque longueur, pseudo longueur, portion de 300m…
Bref, laisser tel quel!

1 Like

… et pour d’autres elle indique un rocher douteux
Pour d’autres, une escalade en fissures.
Pour d’autres, une escalade en cheminée.
Pour d’autres, simplement que les points sont éloignés de 3m ou plus.
En gros, chacun a son interprétation, du coup il y a de nombreux malentendus quand un grimpeur interprète la cotation romaine mise par un autre grimpeur.

Tout est cotable en cotation française.
Et si le rocher est douteux, ou que c’est en cheminée, ou que les points sont loins, il suffit de l’indiquer en toute lettre dans là description de la longueur.

Par contre il ne faut pas remplacer les cotations en chiffres romains sans avoir grimpé la voie, car justement on ne connaît pas quelle interprétation a utilisé le grimpeur qui a coté.

Oui. J’ai du mal à comprendre ceux qui persistent à utiliser la cotation en chiffres romains, pour moi une survivance des temps anciens. Une sorte de coquetterie ou de pédantisme ? Une façon de se distinguer de la plèbe varappeuse ?
Rien n’empêche en effet de préciser une plage de cotation si on a du mal à coter, ou d’ajouter une caractéristique (cheminée en 3c souvent verglacée plutôt que III+)

Si on la connait, et qu’elle soit consistante.

a l’etranger les cotations françaises utilisées sont souvent celle des années 1980

ça doit être des etrangers :smiley: (en gros tout le monde presque partout :joy:)

Un non-grimpeur (moi par exemple) qui grimpe en grosses trouve plus simple les chiffres romains, car plus vagues et intégrant un zeste de cotation d’exposition, que les cotations avec divisions et sub-divisions, bien trop précises par rapport à son référentiel d’expériences ou par rapport au terrain.
Je comprends mieux un topo avec une cotation III (+ un adjectif à la con du genre « soutenu », « délicat ») que trouver une différence entre un 3b, un 3c et ne parlons pas des + et des -.
Au-delà du V+ les chiffres romains deviennent trop vagues par rapport à l’escalade demandée, et la cotation française prend son sens car les marges entre les divisions et sub-divisions s’amenuisent.
Et comme dit Bubu, les chiffres romains sont révélateurs d’un type de grimpe (rocher moyen/foireux, ta, en grosses, escalade dans des dièdres, cheminées, rétablissements…)

1 Like

a une epoque,
en France

noter au passage l’utilisation du I

Si tu penses que III signifie « 'entre III- et III+ », tu te trompes.
III = 3b et c’est tout.
Bien sûr, souvent dans les passages faciles, on indiquait III pour dire que c’est facile, et sur le terrain ça peut varier entre 2 et 4a.
Mais quand on veut être vague, on indique une plage. Il y avait une expression : « ensemble de III ».

Mais dans les grandes voies modernes c’est pareil : une longueur cotée 6b est souvent un ensemble de 5c, 6a et 6b.
C’est dans la description de la longueur (ou sur le schema) qu’on peut détailler la cotation de chaque portion de la longueur (ce qu’on ne fait généralement pas pour les longueurs faciles, d’où « ensemble de … »).

Tout ceci est vraiment HS


Edit :

Et donc VI = 6b (6b actuel) ?

Y’en a une majorité qui ne veut pas des chiffres arabes.