Toi je t’aime !
Les grosses erreurs et conneries du cinéma sur la montagne !
Ah non hein, j’aurais trop peur du résultat… Je ne veux pas qu’on me massacre la scène de la soupe de l’abri Vallot, parmi tant d’autres.
Samivel en film… Quel talent il y faudrait.
Et pourquoi pas les Nouvelles d’en haut ou les Contes à pic en courts métrages, pendant qu’on y est (d’ailleurs, pourquoi pas ?)
de la grimpe, Made in France: Altitudes sur France 3 - tous les replay sur france.tv
Pas des casques … mais de belles images
Le jour où « le port de la mer de glace » sera repris fidèlement sur grand écran, là on pourra reparler de réalisme.
Ça serait cool quand même !
Il faudrait regarder les épisodes, mais je suppose que la série « extrême limite » regorgeait d’âneries concernant l’escalade…
Ah ça c’est clair que celui-là j’irai le voir mais sacré challenge de faire du fidèle sur un tel livre !!! Quant au réalisme… Mais bon, chacun boit bien ce qu’il veut en montagne et ailleurs
Pas de méchant, pas de conflit, pas d’action. Résultat : la plus grande fiction de tous les temps.
Bon, comme prévu Vertical Limit et Cliffhanger ressortent le plus souvent, rien de surprenant
Je précise quand même que le but de cette discussion n’est pas non plus de snober ces films du haut de nos connaissances de montagnards affirmés. Ces films sont, au pire, des divertissements inoffensifs et, au mieux, d’excellentes œuvres qui ne méritent pas qu’on les méprisent juste pour une ou deux approximations de réalisme.
On ne parle pas de documentaires, mais bien d’œuvres de fiction dont c’est l’habitude jongler sans vergogne avec la réalité pour le bien du processus narratif.
Les petites touches d’irréalisme font partie intégrante du langage cinématographique, je voulais surtout parler ici des petits détails invisibles au non-pratiquant de la montagne (typiquement le coup du perforateur - planteur de spit magique de Cliffhanger) qui ont fait voler votre suspension d’incrédulité en éclat au moment du visionnage.
Merci pour « Below: Miracle On The Mountain », je vais y jeter un œil au plus vite.
PS : les elfes n’ont pas besoin de raquettes et ne s’enfoncent jamais dans la neige, tout le monde sait ça !
Si vous n’avez pas froid aux yeux (et vraiment du temps à perdre) vous pouvez regarder Vertige, très instructif sur la via ferrata
Des gens qui grimpent élégamment sans grogner ni péter, c’est encore ça la plus grosse blague non ?
@lyneci, as tu envisagé de prendre un contrepoint sur ces films en parlant de leurs liens réels avec le monde de la montagne (Ed Viesturs sur Vertical Limit, Wolfgang Gullich et l’origine du scenario pour Cliffhanger).
J’ai regardé la Meije, joli, merci.
Mais je note un détail intéressant pour le propos : la séquence filmée s’arrête dès qu’ils arrivent au refuge de l’Aigle… alors pour les pets, je pense qu’ils se sont simplement retenus jusque là. La nuit, on n’a pas d’image… ni de son. D’ailleurs, la nuit, tous les chats sont gris. Mais ça n’a aucun rapport, d’accord. Simplement parfois, il faut faire des citations pour avoir l’air intelligent. Alors je fais des citations. Et si quelqu’un n’est pas content, il a qu’à pas lire, na!
franchement la scene de début en TA tout sableux est très bien faite sur la façon dont une cordée au dessus peut arracher une cordée en dessous…j’ai encore regardé l’extrait dans l ‹ interview de Alex Honnold ›, à la nuance des friends qui reculent sous charge constante alors qu’ils viennent de bloquer un plomb dément à 5 personnes…c’est quand même très bien fait et bien filmé, et assez « probable ».
Il y a bien plus « bidon », dans les films cités. A comparré Cliffhanger, là c’est vraiment du nimp.
Bonne semaine à tous.
Et le double jeté sur Pulsar tu le sens crédible Sans compter pour reprendre les termes du vieil article que je citais « tout ce joli monde qui se balade pèpère à 8000m avec de la nitro dans le dos… »
Cliffhanger reste un film d’action qui utilise un décors pour excuse à des scènes d’actions. Vertical Limit prends comme excuse une histoire de montagne, c’est ce qui le pousse plus haut sur le podium du délire pour moi
Terminator 1 ?
Volte Face, de John Woo ? (j’avais trouvé excellent !)
Mais ca n’est pas en montagne…
En ce moment sur les chaines Canal : « Sauvetage au sommet » : une production chinoise.
Sans parler du nationalisme effréné à chaque image et propos (il y a même des autocollants « I China » sur les casques), du scenario stupide avec reprise du concept des traumas familiaux à l’américaine (dur de ne pas rire sur la scène de l’accident), le traitement des scènes d’escalade est vraiment à mourir de rire …
Pour les scènes de montagne ce n’est pas le pire loin de là : Totem pôle et la Face Nord de l’Eiger c’est pas mal, et sacrément gonflé pour une des premières réalisations d’Eastwood.
On y trouve des références au drame de John Harlin (et son groupe de grimpeurs de nationalités multiples) et bien sûr la reconstitution de la célébrissime photographie du corps suspendu de Toni Kurz.
Bon le scénario est en bois : bourré d’incohérences et l’identité du « méchant » ne fait guère de doutes dés sa première apparition.
Le propos vis à vis des femmes et des minorités sexuelles est très … caricatural : comme toujours avec Eastwood la question de l’intention se pose tellement c’est provocateur.
Le film est fidèle au livre rendons à Trevanian ce qu’il a ecrit