Posté en tant qu’invité par corridor73:
Néologisme ou confusion linguistique ?
Si Mme Simone Weil avait été guide, je l’aurais suivie sur tous les sommets de la terre car, dans cette affaire, ce n’est pas une question de force physique mais de caractère qui fait qu’une femme-guide est crédible ou pas.
N’est pas S. Weil qui veut.Les envolées lyriques sur le thème de la castration, du ressentiment anti-homme est souvent spectaculaire, toujours contre-productif.
Tes arguments et ton sens de la formule ne valent pas mieux que ceux que tu es censée démonter. L’agitation ridicule et médiatique, à l’instar des femen et autres organisations du même accabit, desservent la cause qu’elles défendent. Dans le cas qui nous intéressent, le métier de guide, il n’y a pas lieu de s’étonner d’une si maigre présence féminine et elles-seules peuvent en donner les raisons.Ton statut de porte-drapeau (cf. ton pseudo) d’une idéologie que tu affiches avec ostentation ne trompe personne et t’attire de l’hostilité et de la frustration : tu le dis toi - même : tu ne comprends pas tes contemporains.C’est un aveu d’échec.
Laissons les femmes embrasser la carrière de guide de haute montagne. Les portes leur sont grandes ouvertes. Pour autant, je ne suis pas certain que la désaffection féminine pour ce métier soit totalement imputable à l’hostilité masculine.Ne pas vouloir admettre qu’elle ont la lucidité de comprendre que ce métier présente des caractéristiques difficilement conciliables avec une vie de femme, c’est déjà une forme d’obscurantisme.Non, tout ne peut pas imposé au nom d’une sacro-sainte égalité.