Tu as récolté les fruits de ce que tu as semé Ahbon.
Peut être que si tu avais été moins pédant, plus ouvert, moins catégorique, les choses se seraient passées autrement…
Une leçon à retenir peut-être?
Tu as récolté les fruits de ce que tu as semé Ahbon.
Peut être que si tu avais été moins pédant, plus ouvert, moins catégorique, les choses se seraient passées autrement…
Une leçon à retenir peut-être?
Trop fort l’auteur de son propre sujet fait dériver la discussion vers la société de consommation, joli.
T’es mûr pour te trouver une grotte.
Si non j’aime beaucoup l’alliance de circonstance entre le nihiliste et la grenouille de bénitier.
en conclusion +1 avec Bubu
Ahem…
y a quelques posts, on parlait du cancer, c’est pas une blessure que je sache?
Posté en tant qu’invité par Canigou:
Moi quand j’suis malade, j’ai pas la dalle du tout !! Au contraire de mon chien qui bouffe comme pas possible, même quand on le croit à l’article de la mort ! (Il a du encore mater les pub Royal canin pour sur !!)
[quote=« mai, id: 1556573, post:39, topic:137440 »]Le jeûne favorise la cicatrisation seulement, ainsi une blessure qui guérit plus rapidement permettra à l’animal
de pouvoir rechercher rapidement de la nourriture et donc de ne pas mourir de faim si la convalescence est trop longue.
Il semble que l’animal a une connaissance de ce processus.[/quote]
Bonjour,
En ce qui concerne les blessures, je ne suis pas sûr que l’animal ait une volonté de jeûner : s’il se déplace pour chercher de la nourriture, la blessure lui fait mal. Donc il attend que la blessure cicatrise et lui fasse moins mal. S’il est obligé de trop attendre, il s’affaiblit et meurt. Ce qui est nécessaire à la cicatrisation de sa blessure, c’est qu’il n’y ait pas de mouvement (à défaut de pouvoir naturellement se faire un bandage ou un platre). Mais il n’est pas du tout sûr que le jeûne y arrange quoi que ce soit. D’ailleurs, souvent, les animaux blessés acceptent d’être nourris en attendant d’être capables de chercher eux-même à nouveau leur nourriture, et semblent reconnaissants envers ceux qui les nourrissent dans de telles conditions.
Bernard
Posté en tant qu’invité par Canigou:
A mon avis, avant de commencer à se prendre la tête pour se faire des jeunes bénéfiques (très dur à mettre en place pour ne pas aller droit dans le mur…), je pense que le commencement est de se faire une diète béton qui aura un impact bien plus important sur la santé quotidienne. Après, pour les jusqu’auboutistes pinailleurs, pourqui pas penser à des jeunes de temps en temps mais ça me semble loin d’être le plus important en terme de nutrition.
Ce n’est pas un argument mais en l’absence d’études probantes et reproductibles, ils ne peuvent prendre ce risque, c’est une question de bon sens.
D’autre part une chimiothérapie pouvant être épuisante, je doute que le jeûne soit approprié, le malade étant déjà suffisamment affaibli.
Quel rapport avec le sujet ?
en fait dans le documentaire, il est dit que les recherches sur le jeune ne sont pas financées parce que le jeûne n’apporterait pas de revenu à l’industrie pharmaceutique.
L’autre rapport que je vois résulte d’une confusion entre le trop(mal) manger et le jeûne.
Nos sociétés consomment beaucoup. Et nous mangeons souvent trop en rapport à nos dépenses énergétiques. Mais bon, mieux et moins manger, n’est pas assimilable à pratiquer le jeûne.
ça me semble un peu déplacé vu les propos tenus par ailleurs… (enfin la paille dans l’oeil du voisin…)
je viens de trouver une étude récente assez complète sur le jeûne et qui a fait l’objet d’une thèse
L’appellation ‹ ‹ jeûne thérapeutique › › est elle fondée ou usurpée?.
Posté en tant qu’invité par bobby:
Et dont voici un extrait de la conclusion : « Si leurs indications
pressenties sont extrêmement nombreuses, nous n’en avons trouvé que quelques-unes à
avoir fait l’objet de publications ciblées et référencées, conférant ainsi un statut de
croyances non scientifiquement prouvées à la majeure partie du (et des) jeûne(s)
thérapeutique(s). Cette littérature a permis néanmoins une analyse plus approfondie de certains de ses aspects, plus ou moins spécifiquement au type de jeûne thérapeutique. La
lecture critique de ces articles a donné des résultats parfois intéressants, souvent contrastés
et de faible niveau de preuve à court-terme, et des résultats majoritairement manquants à
long-terme. Dans ces études, certains biais ont paru évitables et justiciables d’une évaluation
plus rigoureuse. D’autres difficultés méthodologiques questionnent sur la potentialité
d’obtenir des preuves factuelles solides lorsque le jeûne est évalué en intention de traiter.
Enfin, les bénéfices réels liés à ces pratiques sont restés à l’image de leurs mécanismes
d’action, inconnus, imprécis et hypothétiques. »
Ou comment se tirer une balle dans le pied…
Pourquoi, ce n’est qu’une approche scientifique et je sais comment ça fonctionne sinon je n’aurais pas donné cette référence.
Ceux qui veulent savoir ce qui se passe doivent pratiquer le jeune et je peux comprendre pour la plupart leur réticence car le jeûne est en rapport avec l’esprit (les désirs de la chair sont contraires à ceux de l’esprit)
Pour ma part mon point de vue n’a pas changé car je sais ce que m’apporte le jeûne lorsque je le pratique.
bonne diète
Posté en tant qu’invité par Canigou:
[quote=« mai, id: 1556714, post:51, topic:137440 »]
Ceux qui veulent savoir ce qui se passe doivent pratiquer le jeune et je peux comprendre pour la plupart leur réticence car le jeûne est en rapport avec l’esprit (les désirs de la chair sont contraires à ceux de l’esprit)[/quote]
Pas d’acord du tout, les désirs de l’esprit comme tu dis, c’est un peu notre instinct animal, et on peut dire qu’à ce niveau là on est super au point. Si on a faim, c’est avant tout parceque manger c’est vital, comme on a envie de faire l’amour car c’est nécessaire à la survie de l’espèce. Pourquoi mettre des freins à tout ça ?
Posté en tant qu’invité par K2:
Jeune, je ne jeûne pas.
Une telle évidence ne peut échapper à personne, en effet c’est l’une des différences entres l’homme et l’animal.
[quote=« mai, id: 1556649, post:49, topic:137440 »]je viens de trouver une étude récente assez complète sur le jeûne et qui a fait l’objet d’une thèse
L’appellation ‹ ‹ jeûne thérapeutique › › est elle fondée ou usurpée?.[/quote]
En pharma, ca reste de la bibliographie. Ton lien ne renvoie qu’à une étude bibliographique de pharmacie qu’on appelle thèse en pharma et qui n’est pas une thèse en Sciences!
l’homme s’encombre de superstitions stupides c’est ça?
oui mais cela n’empêche pas un ours d’hiberner pendant plusieurs mois
[quote=« Canigou, id: 1556745, post:52, topic:137440 »][/quote]
c’est parce qu’une superstition établi que nous sommes sur terre pour expier nos fautes et que le plaisir c’est le mal.
vivre dans la culpabilité pour un meilleur asservissement.
i y a encore une différence : l’esprit est propre à l’homme ce qui n’est pas le cas de l’animal
Pas sûr que ce soit aussi simple (voire simpliste)
Parles-en à toutes ces personnes qui n’arrivent plus à retrouver la sensation de satiété