Posté en tant qu’invité par glaciériste:
john john, duperray gérald, j’admire vos capacités à détourner le sujet en invoquant la simplicité, la part de rêve du glaciériste, des belles fêtes etc.
La réalité est plus simple. Il s’agit de détourner un label pour faire mousser un événement. Effectivement, le glaciériste lambda n’a pas besoin du code du sport pour pratique et se faire plaisir.
C’est tous le contraire de ces fédérations et structures utilisant le code du sport (via le label « Championnat de France ») pour faire du vent, « s’approprier » une pratique et s’auto-proclamer gestionnaire d’une activité en pondant des textes et règlements.
Il n’y a pas beaucoup de rêve et de glace dans les 75 pages de règlements permettant de passer entre les mailles du code du sport : http://www.ffme.fr/escalade/COMPETITION_index.php
Il n’y a pas beaucoup de rêve et de glace dans les amendes évoqués par la FFME à l’encontre des personnes souhaitant organiser une manifestation sportive.
[quote=« glaciériste, id: 1116447, post:11, topic:106775 »]L’article L.331-6 du code du sport a institué une contravention de 5ème classe à l’encontre de ceux qui auraient organisé une manifestation sportive donnant lieu à remise de prix dont la valeur excède 3000 euros (article A.331-1 du code du sport) et dont l’autorisation n’aurait pas été demandée à la fédération dirigeante.
Le fait d’organiser une manifestation sportive sans l’autorisation de la fédération délégataire est puni d’une amende de 15000 euros
Tout licencié qui participe à une manifestation qui n’a pas reçu l’autorisation de la Fédération dont il est membre, s’expose à des sanctions disciplinaires dont le niveau a été fixé par le barème des peines (article L.331-7 du code du sport)[/quote]
La FFME, DTS utilisent abusivement les termes de Championnat de France mais en plus ils voudraient interdire à d’autres d’organiser un événement sportif similaire.
Chacun est libre d’apprécier à sa juste valeur l’esprit « novateur » de la démarche consistant à s’approprier quelque chose de public et à en interdire l’usage à d’autres.