sans attendre la réponse d’Alex (pardon à toi), étant sur de la réponse, je propose :
« Il est des morts qui ne semblent pas possible : celle de Franz Lochmatter est de celles-là. Comment se fait il qu’en un instant si prompt, ce qui était force harmonieuse et exacte combinaison de l’intelligence soit désormais incorporé dans le silence éternel ? Comment se peut-il que brusquement soit brisé cet élan et éteinte cette flamme, cette vie ardente soudain saisie en pleine action et aujourd’hui imprégnée dans l’austère immobilité de tout. »