Le jeu du livre

non, pas Giono.

du Sud ?

Pyrénées ?

ça ne peut pas etre Giono puisque ce n’est pas un roman. N’essaie pas de nous embrouiller François.

non, pas pyrénées.
C’est vrai que l’auteur du livre est né dans le midi, mais sa famille n’en n’était pas du tout originaire.

allez, un autre extrait :

Toutes cette organisation sportive dernier cri était pour lui le comble de la stupéfaction : cette folie de descente le mettait hors de lui. Descendre à tombeau ouvert, puis remonter, descendre encore, et aussi souvent qu’il est possible dans la journée, c’était quelque chose qu’il n’arrivait pas à comprendre : c’était peut-être du sport, dans un cadre qui ne jouait qu’un rôle secondaire, mais ce n’était certainement pas de la montagne. Et puis, ces gens éprouvaient-ils vraiment du plaisir ?

c’est un alpiniste ?
né à Toulouse ?

non, l’auteur n’est pas né à Toulouse.
Il n’était pas alpiniste, il était écrivain, dessinateur et peintre.
Entre autres, passionné par la neige et le ski.

un autre passage de ce livre :

La vallée se rétrécit maintenant. C’est la Combe des Morts, toute balisée entre des pentes à avalanches; Soudain ils aperçoivent un point noir qui descend rapidement, se rapproche d’eux. C’est un religieux en soutane, qui, dans un arrêt grand style, s’arrête devant les deux skieurs. Il parait que des touristes ont téléphoné depuis le poste de l’Hospice pour demander que l’on vienne à leur rencontre; Mais évidemment, il s’agit d’autres gens. Le père, très gentiment, tend sa gourde aux visiteurs.

Posté en tant qu’invité par Piolet - Cannes06:

[quote=« catherine, id: 1645789, post:767, topic:145106 »]non, l’auteur n’est pas né à Toulouse.
Il n’était pas alpiniste, il était écrivain, dessinateur et peintre.
Entre autres, passionné par la neige et le ski.[/quote]

Passionné par le ski ?! Dans le passage que tu as cité précédemment, il tient des propos assez critiques sur les skieurs :frowning:

C’est une autobiographie ?

tous les skieurs ? :stuck_out_tongue:

non, ce n’est pas une autobiographie.

il est né dans le midi. Sud Est ou Sud Ouest ?
Sete ?

Pierre de Champeville « Nos sports d’hiver au mont Ventoux » ? :rolleyes:

Posté en tant qu’invité par Piolet - Cannes06:

[quote=« catherine, id: 1645798, post:769, topic:145106 »]

tous les skieurs ? :stuck_out_tongue:

non, ce n’est pas une autobiographie.[/quote]

Donc passionné de ski mais réfractaire au ski alpin ? (ou plus précisément, pour coller à la description, au ski de piste)

Posté en tant qu’invité par pierrre:

« peuchère » + « edelweiss » = grande confusion, profond dépit…

Champeville est né à st Etienne ça peut pas coller.

C’est juste!..

L’auteur est né dans le Sud Est, mais pas à Sète.

non.

l’auteur est né dans le midi :lol:

Bon, il me semble que le personnage principal du livre sera plus facile à trouver que l’auteur du livre.

oui ! Du moins le personnage principal du livre. Pour l’auteur, en fait j’imagine aussi (mais je ne suis pas sûre)

un autre extrait :
Des crevasses s’ouvraient dans toutes les directions; Il lui fallut louvoyer à droite, à gauche, revenir sur ses pas, chercher des ponts de neige; mais la montée à skis lui rendit facile le passage des obstacles, et il pointa vers le Sattel.
Dans le ciel des nuées vagues s’épaississaient, qui bientôt voilèrent complètement le soleil; La Cime du Cervin disparut sous un capuchon. C’était le mauvais temps qui arrivait.

Posté en tant qu’invité par Piolet - Cannes06:

A. Daudet, « Tartarin sur les Alpes ».

le personnage principal du livre est un alpiniste français ?

à Piolet - Cannes06 :
J’adore ce livre d’Alphonse Daudet, mais celui que je propose n’est pas un roman.

à balaitous :
oui, le personnage principal du livre est un alpiniste français.

allez encore un extrait :

[i]Dehors, il faisait un temps de chien.

  • « Vous devriez attendre, conseilla le père Simond. Vous n’êtes pas à un jour près. ça peut s’améliorer. »
    Mais ils avaient la tente, l’abri sûr et toujours prêt en cas de danger; Que risquaient-ils ? Et dans le petit jour mélancolique où le vent chassait les brumes, dans le matin grelottant et bouché, ils s’en allèrent pour leur course en hauteur, vers les déserts de glace que frôlent les nuages;
    Montée terrible encore. Malgré les skis, ils enfonçaient dans la neige fraîche jusqu’à mi-jambes et n’avançaient que lentement. Il leur fallait se relayer pour faire la trace, tant était dur l’effort pour se frayer un chemin dans l’épaisse couche pas encore tassée.[/i]