Le jeu du livre

Alexandre Dumas ?
Étienne Bruhl - Variantes. Nouvelles Et Pastiches ?

Posté en tant qu’invité par Piolet-Cannes06:

[quote=« Boum, id: 1642817, post:400, topic:145106 »]

il s’agit bien d’une course vers la Meije.[/quote]

Oui, c’est le mot « muraille », très employé dans la littérature pour désigner la Meije, qui m’a fait penser à Boileau.

Cherchons dans une autre direction. …

[quote=« catherine, id: 1642818, post:401, topic:145106 »]Alexandre Dumas ?
Étienne Bruhl - Variantes. Nouvelles Et Pastiches ?[/quote]

Non catherine,
Même si l’écriture y est souvent légère il ne s’agit pas de pastiche ni de parodie d’ailleurs. :stuck_out_tongue:

Coolidge ?

Non catherine, pas Coolidge.

Demain d’autres indices… :slight_smile:

Est-ce un récit d’aventure?

L’écrivain est-il français?

[quote=« Dek, id: 1642848, post:406, topic:145106 »]Est-ce un récit d’aventure?

L’écrivain est-il français?[/quote]

Non ce ne sont pas des récits d’aventures, mais bien de courses.
Oui de nationalité française

était-il guide ?
était-il porteur ?

Posté en tant qu’invité par Piolet-Cannes06:

Henri Duhamel ?!

:wink:

Non ce n’est pas Henri Duhamel.
Et concernant la question du guide :

« Et voilà qu’un beau jour les alpinistes en eurent assez de toujours marcher derrière leur guide, de toujours s’en remettre à lui de la responsabilité de la course, que ce soient décisions à prendre ou difficultés à franchir. Ils sentirent bouillonner en eux un désir juvénile d’indépendance. »

Suite du premier extrait :

« Allons, je m’affole pour rien. Il n’y a qu’à partir avec l’intention bien arrêtée de faire demi-tour au premier danger. On est très ferme et on déclare avec calme : « Moi, je n’irai pas plus loin. » Après tout, personne ne peut m’obliger à… Ce raisonnement est absurde, je sais trop bien que les accidents arrivent toujours à l’improviste, au moment où l’on se croit le plus en sécurité. Et je me rappelle les deux petits incidents qui, jadis, marquèrent ma descente de la Grande Muraille : cette énorme chandelle de glace qui tombant de cinquante mètres vint s’écraser près de moi avec un bruit d’obus qui explose, m’éclaboussant de ses débris ! Quelques centimètres de plus… Et cette plaque de rocher à laquelle je m’étais suspendue, heureusement d’une seule main, pour descendre en pendule et qui, soudain, vola dans les airs ! Si je l’avais empoignée des deux mains… »

sur C2C je lis :
"La voie des arêtes rouges est ouverte en chaussures à clous et sans piton par Roubène Toumayeff et Jean Verney, le 31 juillet 1926 signant ainsi une des « grandes premières » sans guide. "

cela a t-il un rapport avec le livre que nous devons découvrir ?

[quote=« catherine, id: 1642860, post:412, topic:145106 »]sur C2C je lis :
"La voie des arêtes rouges est ouverte en chaussures à clous et sans piton par Roubène Toumayeff et Jean Verney, le 31 juillet 1926 signant ainsi une des « grandes premières » sans guide. "

cela a t-il un rapport avec le livre que nous devons découvrir ?[/quote]

Non.

Posté en tant qu’invité par Piolet-Cannes06:

Maurice Fourastier ? :slight_smile:

Bon, reprenons, et Boum s’il te plait, tu corrigeras s’il y a des erreurs :

  • il s’agit d’un livre de récit(s) de sa (ses) course(s)
  • l’auteur n’est pas contemporain
  • l’auteur a fait la Meije, mais après Boileau de Castelnau
  • il s’agit bien d’une course vers la Meije
  • l’écriture y est souvent légère il ne s’agit pas de pastiche ni de parodie
  • tout le chapitre concerne plutôt cette trouille, tenace, lancinante des préparatifs d’un départ
  • puis d’un renoncement suivit d’un autre départ dont les trois dernières lignes seulement ! relatent le succès… car c’est aussi une première
  • cette première comprend une belle traversée d’arêtes aériennes
  • cette première est sans guide

l’auteur n’est pas :

  • Alphonse daudet
  • Alexandre Dumas
  • Étienne Bruhl
  • Henri Duhamel

Bon, je tente :
Maurice Fourastier
Casimir Rodier

(aïe, pour Fourastier, c’est déjà pris ! :stuck_out_tongue: j’ai mis trop de temps à poster)
Mais c’est vrai que « les 3 dernières lignes » font penser au « Z » à la Meije

Bon récapitulatif catherine.
Mais mais mais.
Relisez attentivement le dernier extrait de ce matin.

Henri Isselin?

l’auteur est une femme ?

Bravo catherine.

Mary Paillon ?

je vens de découvrir ce texte :
http://clio.revues.org/1896

et là, on lit : http://amnis.revues.org/1080#bodyftn39
« En 1895, elle récidive avec le récit dans la Revue alpine de la première féminine et troisième ascension du pic oriental de la Meije. »