Posté en tant qu’invité par Kalimero:
Pourquoi les alpinistes prennent-ils du plaisir a mettre leur vie en danger?
Je rammasse les copies dans 4 heures
Posté en tant qu’invité par Kalimero:
Pourquoi les alpinistes prennent-ils du plaisir a mettre leur vie en danger?
Je rammasse les copies dans 4 heures
Posté en tant qu’invité par âlex:
Moi je rends copie blanche (le cancre)…
Posté en tant qu’invité par Bubu:
Pourquoi les alpinistes prennent-ils du plaisir a mettre leur
vie en danger?
Tu sous entends que les alpinistes sont definis comme des personnes qui aiment mettre leur vie en danger.
Pourquoi les definis-tu ainsi ?
Je ramasse la copie dans 10mn ;-0
Posté en tant qu’invité par Kalimero:
L’alpinisme est forcemment dangereux car le risque zero n’exite pas, donc l’alpiniste se fait plaisir et prend des risques en connaissance de cause ( pour les plus experimentés).
Posté en tant qu’invité par FredK:
En évoluant dans un milieu particulièrement violent, ils répriment leur propre violence intrinsèque.
Posté en tant qu’invité par vince:
et l’automobiliste, le piéton, celui qui fume une clope ou celui qui mange un steak de vache folle (sans le savoir)…gout du risque aussi…par contre ta question aurait du etre gout du PLAISIR…car grimper (sous toutes ses formes : c’est que du bonheur)
Posté en tant qu’invité par Mic’hel:
Kalimero a écrit:
L’alpinisme est forcemment dangereux car le risque zero
n’exite pas, donc l’alpiniste se fait plaisir et prend des
risques en connaissance de cause ( pour les plus experimentés).
le risque est inhérant l’activité, ça veut pas dire qu’on l’aime et qu’on le recherche!
Mic’hel 20/20
Posté en tant qu’invité par Francois:
Les alpinistes sont:
- des égoïstes
- des handicapés affectifs
- à tendances suicidaires.
Conclusion d’une très sérieuse étude sur la psychologie des alpinistes (je ne me souviens plus d’où ça sort).
Le risque 0 n’existant pas, on peut aussi transposer cette question aux joueurs de dominos (par exemple).
En conclusion de cette conclusion, je concluerai en faisant remarquer que l’accent circonflexe se met sur le haut du « u » et non sur le haut du « o ».
Duo des dahus.
Posté en tant qu’invité par Dom:
Kalimero a écrit:
L’alpinisme est forcemment dangereux car le risque zero
n’exite pas, donc l’alpiniste se fait plaisir et prend des
risques en connaissance de cause ( pour les plus experimentés).
ce qui donne, en poursuivant ton raisonnement, …
comme le risque zéro n’existe pas, tout devient dangereux, alors autant faire de l’alpinisme, puisque l’alpiniste se fait plaisir …
cqfd
Posté en tant qu’invité par alex:
La vie c’est dangereux : elle a toujours une issue fatale.
On est plus en sécurité quand on est mort : au moins on ne risque pas de se tuer !
Tout le monde prend des risques en connaissance de cause : en mangeant du boeuf, en baisant avec la voisine, en circulant sur la route, en bossant aussi, etc … C’est pourquoi ta question fait un peu rigoler.
Ah, ah, ah !!
Posté en tant qu’invité par Brigitte:
Avant de rendre sa copie, il faut bien lire le sujet . Or dans le sujet, il y a deux choses :
A mon avis, les moments où on met sa vie en danger (et où on est conscient du danger) sont plutôt vécus comme des moments galères et non pas de plaisir. Parfois on en éprouve un peu de honte . On passe beaucoup de temps à éviter ça (achats, lectures, cours pour progresser …)
On pourrait à la limite dire que l’on tire du plaisir à être sorti entier des moments délicats, après coup, si c’est dû à notre ingéniosité (résistance … technique …) Mais si à la base du moment délicat il y a une erreur, aucun plaisir …
Mais le plaisir est bien plus grand si on a réussi une belle course SANS prendre de risques inutiles, sans la gaspiller, dans l’aisance et la sensation de « maîtrise » (tout est relatif).
Le plaisir est alors plus dans le défi que dans le risque lui-même, même si d’autres aspects interviennent (découverte d’un coin … contemplation… amitié … contact avec la nature, que sais-je encore !) .
Posté en tant qu’invité par FredK:
Eros a toujours été proche de Thanatos…
Posté en tant qu’invité par Francois:
Dis donc, Kalimero, tu te laisses avoir par ce genre d’imagerie d’Epinal véhiculée par les medias?
Posté en tant qu’invité par Kalimero:
Moi j’ai distribué le sujet de dissertation, debrouillez vous tout seul maintenant,et ne copiez pas.
Posté en tant qu’invité par pierre-olivier:
Les alpinistes prennent du plaisir à éviter de mettre leur vie en danger.
Posté en tant qu’invité par Nicoduck:
Pour ceci ...Des moments magiques…
Nico
Posté en tant qu’invité par Brigitte:
Moi, la question ne me fait pas rigoler, je la trouve très intéressante au contraire.
Je pense que l’être humain a besoin d’affronter le réel et que c’est inné ; le réel, c’est aussi des dangers, c’est un monde ou les choix ont des conséquences.
Beaucoup de gens pensent qu’il faut encore et toujours sécuriser, protéger les gens contre eux même, mettre des rembourrages partout. De toute façon, c’est une illusion. Et de plus, je suis persuadée que cela prive les personnes d’une part d’eux même plus essentielle qu’ils le croient.
Ce besoin d’affronter le réel, réapparaît perverti dans certaines formes de violence, ou dans des prises de risque sans prise de conscience véritable, sans apprentissage …
Posté en tant qu’invité par Francois:
Excuse-moi, Brigitte, mais moi, la question, elle me fait rigoler. On retrouve là tous les lieux communs véhiculés par la télé, les canards à sensation etc.: l’alpiniste qui gravit au péril de sa vie, le côté spectaculaire, toute une philosophie plus ou moins nietzchéo-wagnérienne, le regard froid fixé sur la ligne bleue des Vosges, le grimpeur qui affronte d’un coeur ferme son destin (en général tragique)…tout ça.
Bref, tout ça, ça me gonfle.
Et le réel, qu’on le veuille ou non, on est bien obligé de l’affronter.
Posté en tant qu’invité par ölivier:
C’est une question plus adaptée aux sports à risques, comme le Base Jump par exemple, il y en a d’autres.
Moi j’aurais dis : Pourquoi les alpinistes prennent-ils du plaisir à se faire du mal.
La réponse de Nico, vaut encore
Posté en tant qu’invité par Francois:
"Moi j’aurais dis : Pourquoi les alpinistes prennent-ils du plaisir à se
faire du mal. "
Quoi?! Qu’est-ce que c’est encore que ça!? V’là aut’ chose!!!