Le dernier voyage de Patrick Edlinger

#44

elle va pour sur disparaitre, l’ayant droit dégage tout ce qui bouge, tout le temps

#45

Extraordinaire !

J’adore la bande-son, loin des musiques de m… qu’on met aujourd’hui.

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#46

marrant, moi je la trouve horrible, surtout pour quelques chose « sans montage », la personne qui a fait l’habillage sonore a utilisé seulement en boucle 2 bruitage differents de degaines de 6secondes pour 6 minutes de grimpe… c’est la base du cinema après tout, bruiter faux pour que ca sonne réel

#48

C’était l’époque d’Action directe il me semble ? (Le film date de 92).
Là, il est rando dans du 8a+, ça fait rêver.

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#49

On dirait du 6c tellement il est facile :astonished:

#50

C’est plus facile d’être dans le style « poseur » (comme disent les ricains) quand tu grimpes en dessous de ton niveau max.
Dans ton niveau max par contre…

#51

quand tu grimpes en dessous de ton niveau max
dans du 8a+, euh, comment dire …

#52

Au Cimaï à l’époque il avait fait au moins 7c en solo, si ce n’est un peu plus il me semble.

#53

Ben… que tu es en dessous de ton niveau max

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#54

8a . Orange mécanique.
A cette époque il était au top de sa forme . 8a+ c’était son meilleur niveau à vue . En plus au cimai , sa maison ,ou il connaissait tous les 8 par cœur.
C’est clair que Consensus , il la masterisait, en plus pour le film , je n’en sais rien mais il a du se préparer un peu avant et la faire plusieurs fois. J’imagine en tput cas

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#55

Il avait tout ce qu’il fallait pour être le premier dans le 9 à l’époque. Dommage…

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#56

Evidemment. Ok, il avait de la marge, il faisait du 8c… (est ce que c’était à la même époque ?)
Il y a aussi une hsitoire de style, Mais j’ai l’impression que même Ondra ou Seb Bouin ne dégagent pas une telle facilité quand ils ont de la marge (par exemple dans un 8c). A mon avis ca témoigne qu’il aurait pu faire plus dur que 8c, clairement.

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#58

Je plussoie. Il avait un souci permanant d’esthétique dans le mouvement. Cette recherche constante de fluidité et de grâce était sa signature, bien avant la course à la cotation. Il y avait quelque chose de féminin et de félin dans sa grimpe.

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#60

Le quoi ? À 25 ans et demi, on ne connaît pas cette expression.

Sinon je plussoie aussi que Edlinger est bien plus beau à regarder grimper que Ondra (même si lui est un degré au dessus).

#62

C’est pas faute d’avoir essayé… Et jamais réussi

#64

Avant de réaliser son grand projet à la voile avec sa compagne navigatrice, il avait en tête de s’attaquer au neuvième degré, à 50 ans passés. Il travaillait une voie dont j’ai oublié le nom. Il avait retrouvé la motivation de ses jeunes années.

#65

Steve haston l´a fait.
Et Erri de luca, qui lui n´est pas et n´a jamais ete créés un grimpeur pro (avec les possibilités d´entrainement et d´essais dans la voie que ça permet) fut le premier quinqua dans le 8b. En 2002.
Mais, vi, Edlinger ´ méritait bien son surnom de « Dieu ».

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#66

Si wiki dit vrai: « Manolo » (Maurizio Zanolla), 9a+ à 50 ans…record à battre avec d’autres générations.

#68

Bonjour, comment connais-tu ces anecdotes sur le film ? Quelle est ta source ?

#69

C’est vieux mais je crois que c’est son cousin, ami et partenaire de grimpe à l’époque (mais que j’ai perdu de vue depuis bien longtemps) Je ne vais pas dire son nom mais si tu es marseillais tu dois le connaître

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