Agrhhhh. Je sens que je ne vais pas me faire que des amis, mais je me risque à ouvrir la discussion.
La montagne est un espace de liberté, de découverte et de ressourcement. Mais parfois sur une course, les gens sont à la queue leu leu à la montée et se rentre dedans à la descente. Renseignements pris, on constate que certaines personnes choisissent leurs courses en fonction des courses récemment référencées (ce qui est peut-être un but de c2c).
Mais maintenant, si une personne rentre une course comme étant excellente, le jour suivant c’est le regroupement sur cette course si vous avez la chance de pouvoir vous libérer. Et si ce n’est pas le cas, vous devrez descendre dans un champ de bosse, parfois digne de Chavanette.
Ce regroupement de personnes sur ces courses pousse à réfléchir à des nouveaux itinéraires, ce qui est , à priori, une bonne chose. Malheureusement, les nouveaux itinéraires restent connus aux personnes qui se sont donné la peine de les chercher, jusqu’au moment où une personne rentre la course sur c2c (ce qui est peut-être un autre but de c2c). Après, malheureusement, on se retrouve à nouveau dans la situation ci-dessus. Que l’itinéraire soit accessible aux plus grand nombre ou qu’il soit plus raide.
Personne n’est obligé de se connecter à un réseau social. Le consulter ou pas est un choix personnel. Mais si après avoir réfléchi à une course pour le lendemain, et pour éviter de se retrouver dans une file de supermarché à la montée et une horde de chiens fous à la descente, on en devient à être obligé de consulter c2c pour éviter cette situation, je me pose la question suivante :
Est-ce que c2c n’est pas un site qui, finalement, dénature l’esprit montagne ?