Posté en tant qu’invité par Charles:
Mais j’avoue qu’il la fait aussi pour Mathieu (qu’a plus de cheveux)
La passion
Posté en tant qu’invité par Charles:
Par contre il n’a pas composé pour Bernard, aussi Saint et Grand qu’il soit
Posté en tant qu’invité par Aurore:
Plus connue celle-là …
Posté en tant qu’invité par harmonik:
Inutile de vous disputer, vous avez tous raison:
St Mathieu: http://www.uquebec.ca/musique/catal/bacjs/baccatv3d.html#BWV244
St Jean: http://www.uquebec.ca/musique/catal/bacjs/baccatv3d.html#BWV245
St Luc: http://www.uquebec.ca/musique/catal/bacjs/baccatv3d.html#BWV246
St Marc: http://www.uquebec.ca/musique/catal/bacjs/baccatv3d.html#BWV247
Posté en tant qu’invité par harmonik:
Ben ça risque pas, c’est pas un apôtre. A défaut de St Bernard, je veux bien essayer de composer avec un Pastou (pour qu’il ne me dévore pas trop vite hein)
Posté en tant qu’invité par Aurore:
Vous voulez dire un patou plutôt, non?, Monsieur le poète …
Posté en tant qu’invité par harmonik:
Ca se prononce en effet « patou »:
http://www.ariege.com/chiens/patou.html
Posté en tant qu’invité par Charles:
Ma passion à moi selon Saint Marc:
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par Aurore:
Merci mon choux mais j’étais au courant … Je suis un peu du coin …
Posté en tant qu’invité par pastriste:
Charles a écrit:
Mais j’avoue qu’il la fait aussi pour Mathieu (qu’a plus de
cheveux)
Ah je l’ai cette version…sublime
j’en ai d’autres par Philip Herreweghe, René Jacobs, et la dernière enregistré chez nous dans le midi Toulousain :
en fait j’ai quasiment tout Bach…et en plusieurs versions…si si…
Posté en tant qu’invité par harmonik:
Mon ami le vent
J’aime ses éclats de rire
qui s’engouffrent entre les tours.
Alors que les êtres
s’enferment à double tour
j’ouvre grand mes fenêtres
et dévergonde ma porte
pour qu’il fasse une volute
des montagnes de mots oubliés,
qui achèvent de mourir
dans la poussière.
Il vient de l’océan agité
et s’engouffre dans les vallées
endormies où tout se tait,
en poussant une cohorte
de nuages échevelés,
loups gris égarés
qui tourbillonnent et luttent
contre le froid de l’automne
au milieu des pierres
et des troncs fantômes.
Posté en tant qu’invité par Aurore:
Très joli … Bel ode à la tramontane (bien que l’océan soit loin, très loin à l’ouest) …
Posté en tant qu’invité par Eilee:
Arrêtons de nous regarder le nombril. Il faut assumer ses choix. N’embarquons pas dans le « pathos »…
Ce n’est pas une question de se justifier ou pas, c’est assumer ses choix. ( je radote mais c’est pour la rime).
Posté en tant qu’invité par Terb:
Entièrement d’accord avec toi…
Posté en tant qu’invité par Teuf:
Aurore a écrit:
Les
extrêmes ne sont jamais bons ni d’un côté ni de l’autre …
Au contraire, au diable les passions mollassones !
Posté en tant qu’invité par LeDav:
harmonik a écrit:
Peu importe le flacon tant qu’on a l’ivresse…
Jean Yann disait fort à propos: « Peu importe le flocon, pourvu qu’on ai l’Everest »
Paix à son âme
Posté en tant qu’invité par miette:
Posté en tant qu’invité par Lilou 5E:
perso entre le bac, la mise stand by de mon paternel et une passion amoureuse avec un pas-vraiment-grimpeur-pour-ne-pas-dire-pas-du-tout-grimpeur, il a bien du s’écouler 4 ans sans grandes voies, sans rando-glaciaires, sans dénivellés supérieurs à 800 m par jour et bien je dois reconnaitre que la montagne est la plus fidèle des passions, elle ne m’en a pas voulu de l’avoir abandonné si longtemps, je ne définirais pas une passion comme quelque chose qui me tiraille tout le temps mais comme quelque chose qui est là tout le temps et sur qui on peut compter n’importe quand, bref j’entretien une passion amicale avec la montagne comme avec certaines personnes et c’est comme ça que je me sens bien.
Posté en tant qu’invité par Loulette:
Pave a écrit:
…ta passion pour
la montagne restera intacte si tu la delaisse un peu, celle de
ta femme c’est moins certain…
Quand vous aurez apris a partager une passsion
commune neuve vous saurez retourner vers les anciennes sans y
retrouver les memes problemes. >
Je suis d’accord avec cette analyse exacte. L’important est de montrer autant de passion pour « l’autre » que pour « la montagne ». Ne pas délaisser l’un pour l’autre mais veiller à garder l’équilibre.
[%sig%]