La montagne dans les media généralistes

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https://www.8a.nu/news/elnaz-rekabi-makes-her-return-to-international-competition-in-brixen

2ème partie dans les Écrins

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un reportage sympa sur un frère et une soeur qui font l’ascension du Mt Blanc par la voie originale, sans téléférique donc, avec leur guide, un certain Christophe Profit.

(replay pas encore dispo).

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Ça commence dans 10min:


Mais c’est déjà une rediff donc disponible en baladodiffusion!

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Les pieds sur terre :heart: :heart:

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Personne ne l’a mis ici, sans doute parce que l’article n’est pas accessible pour les non-abonnés…

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Le pic

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Dans le dernier Montagnes Magazine, p14 à 18 :

Oui, je l’avais écoutée. Me disait « tiens, chanter un ave maria, c’est pas banal, surement des amoureux de la musique classique ». Pi au générique j’ai entendu que c’était Gabarrou…

C’est pas trop un media généraliste montagnes mag

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Je viens de voir ça sur National Geographic TV:


Je me réjouissais de voir Alex Honnold et Hazel Findlay sur une paroi vierge de 1200m, mais franchement c’est une grosse déception avec cette impression désagréable d’être mené en bateau (c’est de circonstance, ils partent de l’eau) avec un tel niveau de greenwashing.

En 2023 il parait compliqué d’assumer faire de l’alpinisme lointain : il faut absolument justifier la chose par une démarche de sensibilisation au réchauffement climatique ou une étude scientifique.
Entre la présence de la glaciologue inspirante, l’escalade soit disant obligatoire, l’apparition/disparition de matériels (on comprends qu’il y a une équipe de soutien, sans doute héliportée), cette expédition fait fort.

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D’après le titre (accrocheur) et le résumé (Je n’ai pas regardé le film) je me doutais un peu que c’était un truc de ce genre.
On en revient à l’âge d’or de l’alpinisme où il fallait un prétexte scientifique au fait de gravir les montagnes (baromètre, thermomètre et tutti quanti) en moins écolo, évidemment.

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C’est le National geographic le sponsor principal c’est lui qui fixe les règles,les grimpeurs les ont acceptés et cela coûte bonbon d’aller dans des endroits quasi jamais parcourues