Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Après un court passage sur la roche mythique de Buoux, le regret bien sûr que de grandes classiques soient fort patinées, mais le plaisir d’en parcourir d’autres bien saines, et de découvrir ces remarquables trous, juste une petite question.
Pourquoi le toit de la dernière longueur de la Béda, immortalisé par Edlinger dans le film « La vie aux bouts des doigts », est-il déséquipé ? La voie s’arrête sur une chaîne juste sous le toit. La sortie de ce dernier m’a parut bien patinée ; est-ce la raison ? Ou y a-t-il fragilité de la roche à cet endroit ?