J'ai peur en ski

Tu t’en souviens ? :lol:

Nan, à 52 ans, senior, faut pas déconner ! On continue à skier dans la pente et dans la trafollée! J’en ai plus et ça va encore bien. :slight_smile:

Posté en tant qu’invité par corridor73:

La finalité de cette discussion n’est pas que chacun expose ses petits exploits perso qu’il conviendrait d’ailleurs de vérifier in situ (entre la contribution confortablement installé devant son ordi et le même contributeur devant Bellevarde à Valdiz, c’est plus la même chanson :lol: ), mais bien d’apporter des éléments de réponse personnalisés au pseudo zezeme, au vu de son témoignage. Chaque cas réclame une approche différente selon que l’on est un skieur épisodique et de niveau très moyen (zezeme) ou une élite membre de l’équipe de France senior (même s’il s’en defend) de descente en déambulateur (jfc) :cool:

Je parlais du cas de zezeme, simplement. Mais corridor73 a bien résumé la problématique.

Putain, quand j’avais 52 ans, je descendais des pistes noires à fond dans les bosses et sans m’arrêter sur 800m de déniv.! Par exemple le second tronçon des Grands Montets … A 52 ans, je descendais des couloirs à 45° en ski de rando que ce soit en poudreuse ou en croutée !
Vous avez de la chance les jeunots de 52 ans, c’est le début de la forme pour les ascensions himalayennes 52 ans !

[quote=« Epicure, id: 1674575, post:64, topic:83712 »]

Putain, quand j’avais 52 ans, je descendais des pistes noires à fond dans les bosses et sans m’arrêter sur 800m de déniv.! Par exemple le second tronçon des Grands Montets … A 52 ans, je descendais des couloirs à 45° en ski de rando que ce soit en poudreuse ou en croutée !
Vous avez de la chance les jeunots de 52 ans, c’est le début de la forme pour les ascensions himalayennes 52 ans ![/quote]

Oui mais tu n’as pas appris à skier à 52 ans tu étais déjà expérimenté.

ce dialogue de sourds

Posté en tant qu’invité par corridor73:

Bof, c’est pas les bosses qui font la difficulté de la piste.Si on sait les apprivoiser, ça tourne facile et sans effort.La qualité de la neige, elle, peut corser l’affaire, suivant le niveau du skieur.

Tu vois le bon skieur à 52 ans, il voit la bosse, il tourne. Alors que le mauvais skieur, lui à 52 ans, il voit la bosse, ben y tourne.

Posté en tant qu’invité par corridor73:

Ton expertise a oublié d’intégrer que pour un même résultat, le mauvais skieur se fatigue en exécutant les mauvais gestes associés à des gestes parasites qui, bien souvent, se concluent par des déséquilibres, voire la chute.Le bon skieur, lui, skie à l’économie, donc plus longtemps et, accessoirement, il est plus élégant sur ses skis.

Xactement. C’est comme en vélo: ce qui compte avant tout, c’est la qualité du revêtement.