Le problème est surtout la gageure de vouloir discuter publiquement de ce genre de sujet avec des personnes qui se sont peu/pas impliqués dans le développement du projet et n’ayant pas réfléchi, et encore moins l’habitude de réfléchir sur ce genre de sujet (développement, innovation …). Qlq part, « à chacun son métier ».
En 2025, on a tout de même des personnes qui remettent en cause la géolocalisation qui était une des bases du projet V5. Ils ont donc 15-20 ans de retard sur c2c, sans bien évidement que cela ne les dérange de l’utiliser, un peu comme le bistrot.
Les demandes récentes sur les itinéraires sans parkings illustrent bien le caractère fondamental de la géolocalisation. La mobilité douce, et notamment l’accès via les TC, a besoin d’un point de départ géolocalisé pour fonctionner.
Le topoguide c2c ne peut simplement pas fonctionner sans géolocalisation des « documents ». Ils n’en savent rien puisqu’ils ne se sont pas impliqués. A fortiori parce qu’on a fait le taf sans en faire des caisses, y compris en géolocalisant massivement sur carte avec toutes les limites, y compris juridiques (si mes souvenirs sont bons, on peut d’ailleurs retrouver les sommets géolocalisés par @Bubu). Les qlqs personnes qui ont fait le gros du job y auraient probablement passé moins de temps, si des milliers de personnes avec montre GPS avaient utilisés leurs traces pour faire le job.
Utiliser les limites connus depuis des décennies de la géolocalisation grand public en milieu vertical pour taper sur Strava et la géolocalisation n’est pas d’un meilleur niveau.
Pour rigoler jaune : la traversé du Grand Pic de Belledonne attend tjrs une vrai trace GPS en 2025, à la place de ma trace dessinée sur la carte en 2010 : Camptocamp.org 15 ans ! Effectivement, il ne faudrait surtout pas avoir des velléités d’avancer sur la géolocalisation.
Comme bien d’autres choses, ça ne se fera pas sur c2c, et assurément pas au bistrot.
En même temps, ça se saurait si l’innovation, réussie ou non, se passait sur la place publique.