Je ne mésinterprette pas tes propos, je ne les ai pas interprétés du tout. J’ai fait ce schéma selon mon idée et les suggestions de mon pote. J’ai bien évoqué avec lui la question de l’angle d’incidence contre la paroi. Il lui semblait tout de même à première vue que son impact doit être négligeable. Je le cite :
Concernant l’angle d’impact, il est clair que l’impact est moins violent sur la courbe verte (d’un facteur sinus de l’angle), mais pour quantifier l’effet et voir si il n’est pas négligeable il faut connaître l’angle exact qui risque quand même d’être peu différent de 90°. je pense que la manière dont l’alpiniste va amortir le choc en fléchissant les genoux au moment de l’impact aura un effet bien supérieur.
Concernant l’angle d’impact il ne dépend pas que de la variation relative de la longueur de la corde mais de la vitesse d’allongement de cette dernière au moment du choc : si l’allongement s’est terminé avant le choc alors l’angle sera environ de 90°, pour que l’angle soit plus faible il faut que la corde possède une vitesse verticale descendante au moment du choc, c’est à dire qu’elle soit encore en cours d’allongement.
En gros il faut que l’assureur soit encore en train de dynamiser au moment du choc contre la paroi (et pas seulement au moment où la corde se met en tension) pour que ça ait un impact. Et encore, il lui semblait que ça devait être négligeable (mais il n’est pas grimpeur). La relation entre la dynamisation et vitesse d’arrivée nous semblait avoir davantage d’importance. Mais ça resterait à mesurer pour confirmer. Tu as l’impression inverse ?
Non mais tu le fais exprès ou quoi ? J’ai déjà répondu à cette objection plus haut. C’est un simple raisonnement par récurrence.