Pourquoi pas. Mais quand on a toute la bagnole occupée, avec juste deux places pour le conducteur et le passager, c’est pas simple 
… Enfin, il y a des modèles plus généreux.
Intempéries du côté de La Bérarde et Saint-Christophe
Ça c’est frappé au coin du bon sens !
Les vélos pourraient aussi venir de plus loin que Bourg d’Oisans, et là, la présence des voitures est un sacré sujet. Il faut un vrai réseau pour que ça marche, surtout pour les touristes.
Personnellement, ça fait quelques années que j’envisage un petit tour en cyclotourisme dans ce coin, entre Lyon et la vallée de la Grave, et franchement, plus que la pente, c’est la combinaison de pente + voitures qui me fait bloque. Toute la portion de la RD1091 entre le Clapier et la Grave… avec le vélo chargé, à moins de 10km/h dans les montées, j’ai peur de me faire tuer.
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Effectivement toute la vallée de la Romanche est particulièrement désagréable en vélo.
Bon c’est pareil pour la Guisane. Pourtant il y en a beaucoup qui roulent.
Les routes côté Maurienne sont beaucoup plus agréables en vélo.
Il y a une voie verte qui existe déjå entre Allemont et Venosc qui évite dėja qques km de routes depuis Rochetaillėe. Des travaux sont en cours pour la prolonger jusque dans le bas de la vallėe de la Romanche. La partie entre la Danchère et Venosc/Bourg d’Arud a dû être endommagėe avec la crue, alors qu’ils venaient juste de la refaire suite aux intempėries de l’automne.
A part les cyclistes entrainés et ils sont nombreux dans l’Oisans en particulier les ėtrangers, les accès en vélo jusqu’à la Bérarde ou la Grave pour faire de la montagne ne concernera qu’une poignėe de personnes. Et pour la Grave, il y en a plus les tunnels å traverser surtout ceux côté 05 qui sont limites dangereux pour les cyclistes.
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On est loin d’une crue milléniale ou centenale apparemment.
Plutôt une combinaison d’affaiblissements successifs provoqués par les crues précédentes.
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Sur ce point il y a un truc qu’on ne trouve que très rarement mais qui déjà aiderai beaucoup sur le coté transports en commun c’est la présence de consignes dans des lieux de ce genre. Là tu peux éventuellement compter sur la gentillesse des gens du gite ou du camping où tu vas dormir après mais tu ne peux pas préparer ton séjour en considérant que tu pourras laisser ton surplus d’affaires dans un endroit sécure. Ce n’est pas propre à la Berarde mais je pense que ça fait partie des points qui aideraient grandement à l’augmentation d’utilisation des TC surtout sur longue distance.
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Sur ce coup avec le développement du vélo électrique ça peut aider (même si ça ne sera pas une majorité). Avec là aussi l’importance d’une possibilité de laisser son vélo 3j sans craindre de ne pas le retrouver.
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Je me demandais si ça pouvait être le cas, vu que côté Ailefroide les dégâts n’étaient pas si importantes que ça…
Oui c’est sur mais l’avantage c’est qu’il ne faut rien d’autre qu’un logiciel en ligne et surtout de la publicité…
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Article intéressant !
Cependant ( et c’est le propre des chercheurs 
), on cherche peut-être un peu la petite bête…
Les causes sont très sûrement multiples (enneigement, précipitations, morraines découvertes….), toujours est-il qu’à la Bérarde, le torrent des Étançons est sorti de son lit, et que ça n’était probablement pas arrivé de manière aussi aiguë depuis que le hameau (et sa chapelle XIXè?) ont été implantés sur cette rive du Vénéon!
Au passage je note une absurdité dans cet article (malheureusement habituelle de nos élus locaux 
) quand le maire de Vallouise/Pelvoux demande à ce que l’on creuse les torrents !!! 
…. Torrents qui seront rebouchés par quelques crues mineures bien rapidement 
Dans le Sud certains maires demandent à ce qu’on remette du sable sur la plage (enlevé par la tempête suivante).
Certains n’envisagent qu’un « affrontement » face à la nature, je crains que ce ne soit perdu d’avances…
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La maire ne demande pas à ce que l’on creuse les torrents. Elle demande l’autorisation d’aménager le lit ; c’est à dire, effectivement, de creuser aux endroits où il est proche des habitations/aménagements urbains, et d’en sécuriser (digues, blocs rocheux) les bords à certains endroits. Ces travaux sont quasi systématiquement refusés par les « agences de l’eau » (elles ont parfois des noms différents), au prétexte qu’il faut laisser faire la Nature. En octobre dernier, quand l’Onde avait détruit une partie du camping et défoncé la route (de Vallouise à Entraygues) et la piste rive droite, elle avait dit qu’il fallait aménager, pour supporter/évacuer les futures grosses crues. Refus. On savait aussi que le Gyr (venant du Pré de Mme Carles), finirait tôt ou tard par emporter la gravière (grand parking de Vallouise), et qu’il était indispensable d’aménager le lit du torrent. On attendait toujours la réponse. En même temps que La Bérarde a été dévastée, une grande partie des accès à Vallouise, et une partie du parking, ont été emportés (vous avez dû voir la vidéo de la voiture garée basculer dans le Gyr).
Ta remarque - que j’imagine documentée : tu sais probablement que lors des dégâts d’octobre 2023 à Vallouise, un grand nombre d’habitants ont été privés d’eau pendant plusieurs semaines - semble pencher du côté de ceux qui préfèrent laisser faire la Nature, même si cela fait porter de gros risques aux infrastructures, aux habitations, et aux personnes.
Creuser les lits et canaliser les rivières trop vindicatives est effectivement une absurdité. Augmentation de la vitesse du courant et de l’érosion.
Les américains, qui sont pourtant un peu primates, commencent à le comprendre. Il me semble que, en Californie notamment, non seulement ils arrêtent de canaliser, mais encore ilq décanalisent certaines rivières pour laisser les crues s’étaler. En bonus, ça apporte des alluvions fertiles. Les égyptiens s’en sont aperçu il y a 4000 ans, mais il n’est jamais trop tard pour apprendre.
Il est vrai que les américains ont plus de place que nous.
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Disons que……
Que ce soit en Vesubie, au Grand Bornand ou en Vallouise….
Les zones menacées /emportées sont toujours de construction récente !
J’ai remonté la Roya et la Vesubie à vélo ces derniers été… c’est archi net !
Alors oui, on peut continuer à aménager les lits majeurs, construire moult digues, creuser les torrents….
Tôt ou tard il reprendront leur droits !
Arpente la vallée du Var par ex. tu verras comme aucune construction de plus d’un bon siècle n’est dans le lit majeur…
…sagesse de nos aïeux….
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Ça c’est la responsabilité de certains maires qui délivrent des PC pour n’importe où.
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La priorité du gouvernement… est de faire des promesses.
Ca me laisse perplexe : réaction sur le coup de l’émotion ? coup électoral ?
J’aurais pensé que plutôt que de promettre de reconstruire, il fallait se poser qqs questions, avec les habitants de la vallée :
- Est il souhaitable de reconstruire la même chose au même endroit ?
- ou faut il faire des aménagements en plus, et combien ca coute ?
- N’y a-t-il pas d’autres solutions à plus long terme, la catastrophe étant aussi l’occasion de repenser l’aménagement, le mode d’accès, de voir la praticité par rapport au cout d’entretien annuel, etc… ?
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Bizarre… Je pensais que Vallouise avait été créée il y a plus de 100 ans… 
Mais nos aïeux Vallouisiens tenaient peut-être plus des crétins des Alpes que des sages ?
Dans la vallée de Champoléon, dans le Champsaur, lors de la catastrophe de 1914, le Drac Blanc a emporté de très nombreuses habitations. Le cimetière n’a pas été épargné, et des cercueils ont été retrouvés des dizaines de kilomètres en aval. Aujourd’hui, on voit encore les traces de cette crue exceptionnelle (une avalanche a créé un barrage de pierres en amont, et quand il a lâché, les eaux ont tout emporté) : le lit du torrent est à certains endroits 10 fois plus large que le torrent lui-même, et rien n’a jamais repoussé sur le chaos (où sont passé ces alluvions fertiles qui seraient inévitablement portées par les crues ?).
Il ne t’a pas échappé que, à Vallouise, les dégats n’ont rien à voir avec ceux de la Bérarde. Aucune habitation n’a été touchée.
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Responsabilité difficile.
Pas facile pour un maire de refuser un permis de construire, même s’il a de bonnes raisons ! Ca va à encontre des intérêts de qq un, soit celui qui vend le terrain, soit celui qui veut sa belle maison à cet endroit. Personne n’accepte que ses envies soient considérées comme contraire au bien public, et l’intéressé est parfois un voisin.
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