Posté en tant qu’invité par tétras:
Je crois que je me suis pas bien fait comprendre.
Lors de la création du PNV, les polémiques entre les utilisateurs du milieux et les institutions ont étés énormes. Le résultat, c’est que pour imposer une réglementation énorme en zone centrale, les institution ont fermer les yeux sur tout ce qui ce passé en zone périférique. Le résultat, c’est qu’aujourd’hui il y a une ceinture de montagne « usine » autour d’un ilot qui fait office de vitrine portant la mention « ne pas toucher ».
Il est trop tard pour faire reculer ces station qui sont en grande parti en terrain priver. L’erreur, c’est qu’il aurait fallu encadrer le dévellopement de ces zones touristiques quand l’état avait encore du pouvoir sur celles-ci. Maintenant enrichie, les stations font ceux que bon leur semble et vont même jusqu’a déplacer les limites des réserves (en dehors des zone d’intérêt écologique).
La protection de l’environnement ne passe pas oblgatoirement par la protection intégrale (voir intégriste) du milieu. Cela aboutit en général à une organisation très hétérogène du territoire, avec des zone « vitrine » et des zones « dévasté ».
Les parcs naturels Régionnaux proposent une approche plus ouverte de la protection de l’environnement. Les fait d’impliquer les acteur locaux dans la protection de leur environement est beaucoup plus viable, surtout si ces acteurs percoivent un retour.
C’est PNR ne sont surment pas encore parfait mais s’inscrive davantage dans une démarche de dévelopement durable qu’un PN.
Quand au génépi (et toutes les autre plantes comestibles), tout le monde n’en ramasse pas, et plutot que d’en interdire la récolte, il serait préférable d’inciter à un ramassage respecteux.