Posté en tant qu’invité par davidb:
C’est du 2 contre 1
Conséquence
Je m’incline…
Posté en tant qu’invité par davidb:
C’est du 2 contre 1
Conséquence
Je m’incline…
Posté en tant qu’invité par Francois:
Pffff… franchement, ça me tue, vos petites discussions minables de glandeurs accrochés à vos claviers. C’est d’un nul, vos petites aventures de degrés et vos frissons désuets de %…
Discutailler sur des conneries, c’est tout ce que vous savez faire.
Posté en tant qu’invité par Robert:
Certes on discutaille mais quant au glandeur accroché à son clavier…
Posté en tant qu’invité par AlbanK:
Là, il y a copyright, une telle tirade, ça appartient à Teuf …
Gare au plaggia !!!
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Robert a écrit:
Je suis d’accord à ceci près que c’est plus facile de mesurer
sur la route avec le compteur qu’ à plat sous la route -)
En général, l’inclinaison est mesurée sur une carte précise. Distance horizontale avec un curvimètre, distance verticale par lecture des courbes de niveau.
Et pour cause : le cycliste, il préfère connaître la pente avant de se lancer dans l’ascension d’un col, que pendant ou après…
Posté en tant qu’invité par couscous:
« une pente à 100% est une falaise verticale » t’as tout compris toi!
Posté en tant qu’invité par catherine:
de toutes façons, pour moi, les pentes varient selon beaucoup de critères, entre autres :
Sinon pour les calculs de pentes, en montagne il me semble plus judicieux de parler d’angle plutôt que de %, c’est d’ailleurs il me semble ce qui est utilisé dans les topos ?
La définition mathématique d’une pente correspond à la tangente, mais pour les petits angles la valeur s’approche de celle du sinus, donc les 2 définitions citées dans ce fil peuvent être utilisées mais seulement pour les petits angles.
Sur route (en vélo ou en voiture) la pente est quand même plutôt faible, et dans ce cas le % utilisé pour parler de la pente est celui de la distance parcourue par rapport au dénivellé (donc c’est le sinus). Peut-être que les architectes, les géomètres, … utilisent la « vraie valeur » qui est la tangente…
Posté en tant qu’invité par catherine:
catherine a écrit:
Sur route (en vélo ou en voiture) la pente est quand même
plutôt faible, et dans ce cas le % utilisé pour parler de la
pente est celui de la distance parcourue par rapport au
dénivellé (donc c’est le sinus).
euh… disons que c’est plutôt dans l’autre sens : dénivellé par rapport à la distance parcourue !
sinon, une pente à 12%, je n’ose imaginer… ;-)))
Posté en tant qu’invité par J2LH:
catherine a écrit:
la valeur s’approche de celle du sinus
Ce qui permet de donner une valeur au pif.
Posté en tant qu’invité par Francois:
Ah mais non! il faut distinguer le vélo et la voiture.
En général (et aussi en particulier) une pente est plus raide en vélo qu’en voiture. J’ai remarqué.
Que ce soit en % ou en degrés.
Posté en tant qu’invité par Francois:
Et j’ai aussi remarqué que, en vélo, c’est plus raide à la montée qu’à la descente. A pente égale, bien sûr.
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Francois a écrit:
Ah mais non! il faut distinguer le vélo et la voiture.
En général (et aussi en particulier) une pente est plus raide
en vélo qu’en voiture. J’ai remarqué.
On voit que tu n’as jamais laissé ta voiture garée en pente, en oubliant de serrer le frein à main…
Posté en tant qu’invité par Jbapt:
L’impression de pente est accentuée du fait d’une prise de vue faite du haut. Mais les objectifs utilisés jouent aussi un rôle. En effet, un grand-angle donne une impression d’espace et de vide alors qu’un téléobjectif écrase plus les pentes et les reliefs. Compte-tenu des petites focales des appareils numériques, il n’est pas étonnant de voir les pentes se redresser.
Posté en tant qu’invité par Hugues:
Ouais, c’est effectivement cela. Maintenant on fait de la cascade de glace, donc on devient vite bon dans du très raide à la montée mais on apprend pas à descendre avec la bonne vieille technique de cramponnage d’ Armand Charlet…
Posté en tant qu’invité par J2LH:
Jbapt a écrit:
Compte-tenu des petites focales des appareils
numériques, il n’est pas étonnant de voir les pentes se
redresser.
Mais non, il faut ne faut pas prendre cette notion de façon absolue mais relative au format, c’est à dire à la taille du capteur ou du film. C’est à dire que tu auras la même perspective sur un grand format avec un grande focale que sur un petit format avec la petite focale équivalente. C’est à dire que si tu utilises une focale de 35mm sur un 24x36 tu auras la même chose avec une focale de par exemple 7mm (=35/5) sur un capteur dont les dimensions seraient 4,8x7,2 (taille théorique, 24/5 et 36/5)
PS: tout ceci pour une mise au point sur l’hyperfocale.
Posté en tant qu’invité par Bubu:
Je ne sais pas si d’autres ont la même impression, mais sur la photo en question, je trouve plutôt que c’est tout plat ! Heureusement que l’on voit la rimaye en fond, mais sans ça je ne pourrais pas juger de la pente.
Sur une photo, l’impression de pente est essentiellement due aux lignes principales de la photo : limite roche/neige, traces de boulettes sur la neige, trace de montée, arête qui borde le couloir et se découpe sur le ciel, ou tout autre ligne qui traverse la photo.
En l’abscence de repères clairs, le cerveau a tendance à prendre l’angle de ces grosses lignes comme l’angle de la pente, même si elles n’ont rien à voir, juste parce que sur une photo dans un couloir, on s’attend à voir une pente, donc par facilité on prend toute info qui pourrait donner la pente comme crédible. C’est seulement si il y a des repères clairs (horizon, verticales) que le cerveau doute et tempère l’exagération (ou l’atténuation) de la pente, sans la supprimer totalement.
Vous pouvez essayer : cadrer pour mettre une grosse ligne qui traverse la photo, l’impression de pente sera plus ou moins de l’angle de cette ligne.
Ensuite, d’autres facteurs donne une impression de pente : couloir vu de face, configuration (mais ça dépend plus des personnes). Au contraire, un couloir vu du haut ou du bas semble tout plat, mais ça dépend aussi des personnes : selon que l’on estime qu’un couloir de neige est plutôt toujours raide ou toujours à vache, on n’a pas la même impression
Posté en tant qu’invité par Mic’hel:
Bubu a écrit:
Je ne sais pas si d’autres ont la même impression, mais sur la
photo
en question, je trouve plutôt que c’est tout plat !
ouais, c’est tout plat. ça doit être des débutants, ils sont obligés de ramper à quatre pattes, plutot que de marcher sur du tout plat! Pffffff, la honte!!!
;o)
Posté en tant qu’invité par catherine:
J2LH a écrit:
catherine a écrit:
la valeur s’approche de celle du sinus
Ce qui permet de donner une valeur au pif.
très bon :-)))
Posté en tant qu’invité par jc:
Voilà J2 qui prend la tangente…
Posté en tant qu’invité par Hugues:
Bon pour bien clarifier les choses une fois pour toutes:
Dans le domaine routier ou ferroviaire où les pentes sont faibles (ben oui, une pente à 10% c’est jamais qu’une pente à 5,7 degrés seulement), l’angle que fait la pente avec l’horizontale est faible et l’on peut assimiler celui-ci - lorsqu’il est exprimé en radians - à sa tangente (rapport de la dénivelée sur la distance horizontale). En pratique les tangentes (ou pentes) sont comprises entre 0 et 0,1 (ça peut aller jusqu’à 0,2 voire un peu plus pour des routes de montagne, mais ça reste rare), qu’on peut exprimer aussi de 0% à 10% ou plus dans les rares cas suscités. Une pente à 10% vous fait gagner 10 mètres de dénivelée verticale pour 100m de distance horizontale (et non pas 100m de distance sur la ligne de pente, même si pour ces inclinaisons faibles c’est effectivement presque la même chose). L’intérêt c’est que c’est assez bien « parlant », même si en valeur absolue une pente à 5 ou à 10%, c’est pas bien raide, à vélo on sait tous ce que ça représente (les coureurs du tour de france aussi…).
En alpinisme, on est confronté à des pentes bien plus raides (ben oui, une pente à 5,7 degrés c’est de la rando, pas de l’alpinisme), on va même jusqu’à la verticale et on parle en degrés (on pourrait parler aussi en grades, mais je ne sais pas pourquoi, c’est les degrés qu’on utilise) parce-que c’est bien plus parlant que la tangente :
tg 30° = 0,58 = 58%
tg 45° = 1 = 100%
tg 60° = 1,73 = 173%
tg 75° = 3,73 = 373%
tg 90° = 1/0 = l’infini
c’est quand même plus parlant de donner des inclinaisons comprises entre 0 et 90° qu’entre 0 et l’infini %…
[%sig%]