C’est une grosse classique, je l’ai fait il y a 30 ans en juillet avec mes parents en mode rando (alors que c’était skiable avec 30cm de fraiche, mais je ne faisais pas de ski de rando à l’époque).
Idée de randonnée sauvage en bivouac de 10 jours
Je n’irais pas jusque là, ça ne m’étonnerait pas de ne croiser personne en plein été dans ce col. Et je parle bien en été (donc pas à skis).
Mais OK je note.
Je l’ai fait en été à pied, mais il y avait assez de neige pour que ce soit intéressant à ski.
« grosse classique » car mes parents ont eu l’idée par des amis pas alpiniste (ou facile) qui l’avaient fait, en gros tout le monde connaissaient cette rando comme une rando facile avec de la neige (un peu comme la grande Sassière).
Crampons piolet ou pas du coup? il ya 30 ans il devait rester un peu plus de glacier en versant nord.
Glacier tout plat sous 4m de neige, on n’a rien vu.
Vaut mieux prévoir des petits crampons si on n’est pas sûr qu’il reste de la neige (mais ça passe peut être sur la glace sans crampons si c’est encore tout plat, à voir).
En tout cas cette année c’est bien sec dans le coin. Levanna occidentale faite en baskets dimanche.
Le bout de glacier qui reste n’a pas l’air plat d’après Géoportail et s’il est sec et qu’on ne peut pas l’éviter à droite ou à gauche ça risque de glisser un peu
Sympa, une belle aventure même si parfois un peu engagée au niveau du terrain !
J’espère qu’il y aura d’autres photos
Voici une double Hrp avec photos
https://www.randonner-leger.org/forum/viewtopic.php?id=41473
Hé non, c’est l’intégralité des photos que l’on a prises
Oh les vilains…
Vous êtes passés par des coins magnifiques, des tas de lacs…
Je note 4 boules Quiès (AMHA) en trop qui m’aurait permis de m’encombrer d’au moins un tiers de la longueur du manche de la brosse à dent original « bio » ( que j’aurai scié ) et du coup de pouvoir facilement , en tenant délicatement le bout de manche en pincette entre le pouce et index main droite (et surtout pas main gauche réservé à d’autre basse oeuvre ), d’accéder aux molaires du fond
C’est important en randonnée l’hygiène des molaire du fond sur un périple aussi long .
Le lavage des mains une fois par jour aussi mais pas assez de place pour un bout de savon digne de ce nom dans un sac MUL
Signé : un repenti toujours en cure de désintoxication mais vacciné
Le PQ fait double emploi avec le gant de toilette.
Ou l’inverse.
En vrai ça sert à quoi un gant de toilette ?
Cela serait bien de copier l’intégralité de la liste parce que là tu reste sur la caricature …on en reparlera quand tu fera une double Hrp
Avec une poche à eau souple ( et un dispositif de récupération bricolé) le gant c’est utile pour pouvoir (au moins) se rincer avec très peu d’eau loin du point d’eau.
Et pour ce qui est de la poche à eau c’est indispensable pour récupérer et déporter de l’eau ( vaisselle ou lavage ) et éviter de toute pollution dans le point d’eau surtout si l’eau ne court pas .
Tester et approuvé sur un parcours de 4 jours /3 nuit en autonomie complète dans une zone où l’eau était vraiment rare.
J’ai un peu de mal à comprendre.
Il suffit de faire son lavage après s’être éloigné du point d’eau. Ça marche aussi avec une gourde ou bouteille.
Bon je pensais à la vaisselle. Pour le lavage du corps je comprends un peu mieux l’intérêt du gant mais pas trop celui de la poche.
Après on peut se laver sans savon dans un torrent ça suffit et ça ne doit pas trop polluer quand même (c’est juste une baignade quoi)
La poche à eau ou la gourde c’est comme marcher seul ou à deux ,la tente double toit ou la tarp , le jeu de triple boule Quies ou le manche de brosse à dent, puer le bouc ou pas ou l’hygiène avec le bout savon ou pas (voir le produit de nettoyage à tout faire « bio » et qui pollue quand même ) : chacun voit midi à sa porte quand on se « mulifie » à divers degrés.
Je suis plutôt dans la philosophie d’un Simon Dubuis sur ce plan.
Double toit . Grosse pompe, sac à dos confortable et en bonne compagnie ( interdiction de puer la sueur dans la tente le soir ) .
PS En fait je n’ai pas un gant mais un gros bout d’une éponge synthétique coupé en deux . C’est encore plus pratique avec la poche à eau pour tout faire quand l’eau se fait ( très) rare .
Genre ?
C’est sûr que selon les coins…
Bon moi pas me laver 4 jours me pose aucun problème en montagne. Reste la vaisselle et les dents. Et boire!
3 litres à l’heure contre un escarpement perdu dans des alpages en pleine sécheresse en milieu d’été .
Une pissette capté avec un petit tuyau et une bouteille découpé en goulette avec de la boue partout autour parce que les moutons ou autres bestioles étaient venu piétiner autour .
Pas de possibilité de récupérer de l’eau facilement donc pas de bivouac possible et donc personne à des kilomètres autour.
La tranquillité .